Au cœur des vignes -Elisa Makai

Bonjour toi 😉

Je partage avec toi ce retour de lecture.

Citadine jusqu’au bout des ongles, Rose, une élégante trentenaire, abandonne sa vie parisienne pour être interprète dans un vignoble bordelais. Adieu Paris et ses boutiques … Seule au milieu de nulle part, sans voiture et sans réseau, Rose peine à se faire à cette vie de château. Coincée entre Jing Hao, un étudiant chinois trop entreprenant, et Tom, un éleveur de chevaux arrogant et ténébreux qui n’est autre que le demi-frère de son patron, sa vie est loin d’être tranquille. Malgré ces nombreux obstacles, Rose finira-t-elle par succomber aux charmes de la campagne … et de ses habitants ?

C’est tout d’abord la couverture qui m’a attirée, comme quoi, elle se doit d’être intéressante, quoiqu’on en dise.

Je reconnais que mon choix de livres est particulier, parfois il m’appelle depuis son rayon. Ne ris pas, c’est vrai !

Ici, c’est la couleur printanière puis le titre qui résonne agréablement à mes oreilles, vient ensuite la 4e de couverture. Il ne faut pas se la raconter, elle est aussi importante. Il m’arrive d’être alpaguée par l’illustration et lorsque je lis le résumé, je repose le bouquin.

Je retiens donc qu’une jeune citadine, Rose, quitte Paris pour la campagne, qui plus est s’avère être un château avec des vignes où les réseaux se font rares. Je poursuis et découvre rapidement qu’il s’agit d’une romance. Ça tombe bien, c’est mon genre de prédilection.

L’éditeur Nouvelles Plumes. Je prends.

Sincèrement, j’ai passé un bon moment. Mais si tu t’attends à voir le travail des viticulteurs, respirer le raisin, ce roman n’est pas pour toi. Je suis ici dans une romance pure et dure et dès le début, je sais comment ça va finir. Je ne suis pas dérangée, j’aime ça, c’est simple, c’est romantique.

Je me promène avec Rose qui, j’avoue m’émeut. Une Parisienne qui n’a pas le permis parce qu’elle n’en a pas besoin pour se déplacer dans la capitale, c’est juste. Sauf que débarquée en pleine cambrouse, elle fait comment ? Elle se trouve un scooter, pardi ! Mais elle est un peu empotée la citadine et il ne lui arrive que des catastrophes. C’est là qu’intervient le bel éleveur de chevaux. Bien sûr que c’est cousu de fil blanc, mais j’aime bien. L’histoire est aboutie, je ne te raconte pas tout, je te le laisse le plaisir de la découverte.

C’est une nouvelle plume et je la félicite pour ce roman. Le ton est enlevé, sympathique et sonne juste. N’hésite pas à le lire si tu es fan de romance et de légèreté, tu passeras un bon moment et tu souriras souvent.

Dans un tout autre genre, j’ai terminé de Raphaëlle Giordano, Le bazar du zèbre à pois. Je t’en parle la semaine prochaine.

À très vite…

Pêle-mêle

Bonjour toi 😉

Quand je regarde la définition de pêle-mêle, je lis désordre complet 😉. Aujourd’hui, c’est un peu ça mon billet parce que j’ai plein de choses à dire. Rassure-toi ce n’est que du bonheur !

Je vais commencer par ce que j’ai vu ce matin de ma fenêtre. L’envol de mes bébés mésanges, enfin plus tout à fait des bébés, vu leur beau plumage et leur forme olympique pour quitter le nid. Posté derrière la fenêtre, Monsieur a réussi à capter leur départ du nid.

Il en reste une qui, depuis ce matin tourne devant la porte de sortie sans oser se lancer 😉. Les parents volettent de branche en branche devant la cabane pour l’inciter à prendre son envol et siffle à qui mieux mieux. Pendant que j’écris ce billet, elle n’est toujours pas partie. Je me souviens que l’année dernière, il restait aussi un petit dernier qui avait la trouille de s’envoler. Une fois le nid vide, c’était d’un calme sur la terrasse 😯, comme lorsque les enfants ne sont pas là, sans musique, sans copains, sans bruit là-haut, je suis un peu perdue. Comme dit tout le monde, (ça m’agace d’ailleurs), il faut tourner la page, c’est normal, tu ne peux pas les garder toujours avec toi, et cette phrase assassine on ne fait pas ses enfants pour soi ! Un petit peu quand même non ?

Voilà où commence mon pêle-mêle 😉. Du côté de chez Ma le thème des photos était Perché, je fais d’une pierre deux coups, en partageant ici ma cabane à oiseaux perchée dans les arbres. Va donc voir aussi ce que proposent les autres participants. Le blog de Ma est fleuri de jolies photos capturées au gré de ses promenades.

Sur le blog de Passiflore https://pass-if-lore.fr/un défi du 20 de chaque mois est proposé et encore une fois, j’ai laissé passer la date 😏 alors que le thème … franchement…il s’agissait de parler de 4 livres. La date est passée, le défi est raté. Le prochain est de parler de 5 oiseaux. N’hésite pas aller faire un tour sur son blog chaleureux et fort sympathique. Pour le fun, je te partage un peu de ma bibliothèque lue 😄les livres qui attendent bien sagement sont rangés ailleurs 😄.

Je te partage aussi ma nouvelle bannière sur ma page Facebook. 4 livres quand même ! 💪.

J’arrête mon bavardage pêle-mêle… Au fait, je me suis rendu compte que je ne parlais jamais de ce que je regarde à la télé ou au cinéma… Je vais donc peut-être rajouter un volet sur mes goûts. Qu’en penses-tu ?

Tu as sans doute vu que je signe toujours avec mon avatar. Bientôt, je vais changer sa tenue, avec son pull de noël, ça fait un peu hiver non ? Demain, retour de la tenue de printemps. Tu me diras ce que tu en penses.

À très vite…

Une clé pour son cœur

Bonjour toi 😏

Comme c’est lundi lecture, je te propose mon nouveau roman qui sortira le 27 avril. Voici le résumé et la couverture.

À 25 ans, Cléo habite toujours chez ses parents et se complait dans sa petite vie tranquille. Casanière, elle aime profiter des moments qu’elle passe auprès de ses proches. Un jour, alors qu’elle prend son poste de réceptionniste dans le petit hôtel touristique où elle travaille, elle se retrouve en pleine rue à chercher la clé perdue d’un client.

C’est alors que passe la voiture d’Arsène Maestro, réalisateur connu et médiatisé. En quête de l’héroïne pour son prochain film, il sillonne les routes et remarque cette rouquine qui dégage une fragilité qui le bouleverse et le séduit. Acceptera-t-il de s’embarquer avec elle dans une histoire aussi improbable qu’inattendue ?

De quiproquos en situations rocambolesques, Cléo et Arsène vont dérouler tambour battant le film qui va changer leur vie.

Une clé perdue peut-elle redistribuer les rôles ?

Alors qu’en penses-tu ?

N’oublie pas le 27 avril sur toutes les librairies en ligne 💖

À très vite …

Lecture lue : Cupkakes &Co(caïne) – Fleur Hana

Bonjour toi 😉

Si tu souhaites passer bon moment de lecture dans la joie, la bonne humeur et les éclats de rire, je te conseille Cupkakes &Co(caïne).

La folie douce d’une comédie gourmande et sexy

Charlotte, dite Charlie, avait un objectif dans la vie : faire prospérer sa boutique de cupcakes.

Quelle était la probabilité qu’elle se retrouve poursuivie par la mafia russe avec pour seule protection un flic sexy mais pas franchement aimable ?

Avec ce duo qui fait des étincelles, Fleur Hana nous régale d’hilarantes joutes verbales.

Sous le soleil de la Côte d’Azur, ce cocktail explosif de romance, d’action et d’humour est irrésistible !

Cette Charlie enchaîne gaffe sur gaffe mais elle reste hilarante et attachante. Quant à Maxence le beau flic de service, il a bien du mal à ne pas craquer sur celle qu’il doit protéger.

J’ai découvert une plume fraîche, fluide, et irrésistible. J’aime ce genre de lectures qui fait du bien, qui ne prend pas la tête et fait oublier toute la monotonie ambiante.

C’est le genre de roman où tu peux t’imaginer à la place de l’héroïne et où tu te demandes mais qu’est-ce que je ferais à sa place ? ou mais comment peut-elle être aussi naïve ? ou encore Elle le fait exprès ou quoi !

C’est aussi le livre qui te fait soit rêver entre la pâtisserie, la nature, le flic sexy et une grand-mère rigolote ou soit te met au trente-sixième dessous quand tu te fais attaquer par la mafia russe. Tu peux partir en moto accrochée à un bel apollon ou bavarder avec un poney. C’est ça Fleur Hana, un bouquin complètement déjanté. J’ai beaucoup aimé et je me suis régalée.

N’hésite pas une seconde… mais si tu souhaites un bouquin qui te fait beaucoup réfléchir, passe ton chemin 😂.

Bon lundi et bonne lecture. Au fait que lis-tu en ce moment ?

À très vite…

Lecture lue : L’odyssée de Clarence -Corinne Javelaud

Bonjour toi 😉

Je viens te parler aujourd’hui de ma dernière lecture terminée.

Ronde de la vérité et des apparences en terre corrézienne.

À la mort de sa mère adoptive, Clarence Desprez revient s’installer en ce début des années 1960 dans la maison de son enfance, à Saint-Geniez-ô-Merle, cité perchée de Corrèze. Jeune ornithologue, il trouve là un endroit idéal pour se livrer à l’observation du milan royal, une espèce qu’il veut faire protéger.
Clarence attribue d’abord la sourde inimitié que lui vouent les gens du pays à son hostilité déclarée envers la chasse mais découvre que, avant de l’abandonner et de disparaître, sa mère naturelle avait laissé dans la région un parfum de scandale. Il parvient néanmoins à vaincre la méfiance de la fille d’une personnalité
locale, Philippa Beaulieu, cavalière émérite qui s’entraîne au haras de Pompadour pour devenir jockey.
L’irruption d’une séduisante inconnue passionnée de courses hippiques, qui révèle à Clarence avoir été proche de sa mère, sème le trouble. Ensorcelé, le jeune homme ne voit pas qu’on lui tend un piège machiavélique…

De rêves en désillusions, de mensonges en révélations, Corinne Javelaud tisse, dans l’écrin de la nature limousine, les fils  d’une palpitante intrigue autour d’un homme épris d’idéal, qui apprendra à travers bien des épreuves à être à l’écoute de son propre cœur.

Je remercie en premier lieu les Éditions Calmann-Lévy territoires pour ce service de presse.

Je ne vais pas y aller par quatre chemins, c’est un livre que j’ai beaucoup beaucoup aimé. Je pourrais même dire qu’il est mon préféré écrit par Corinne Javelaud.

Il faut que tu saches que Corinne Javelaud va au bout de ses recherches et rien n’est laissé au hasard. Si elle te parle ornithologie, elle t’explique le métier et le comportement des oiseaux avec une plume (sans jeu de mots) agréable . Si elle aborde le sujet des chevaux et le travail de Jockey, idem.

En toile de fond, tu as la Corrèze et les années 60, voilà pour le décor. Lorsque, dans ce village, les habitants adeptes de la chasse voient débarquer ce jeune Clarence Desprez qui veut instaurer une sorte de respect du milan royal, ils se moquent de lui et lui font savoir qu’il ne va rien changer du tout. Il est malheureusement le fils d’une femme qui a laissé des traces de scandale dans ce même village, son insertion est très difficile. Elle se fera malgré tout parce que Clarence tient bon et qu’il est passionné par son métier. Nous y découvrons le début du baguage de ces milans et parcourons avec lui les paysages de la Corrèze.

Si lui est subjugué par les oiseaux, Philippa Beaulieu est quant à elle férue de courses hippiques et souhaite devenir Jockey. Une femme dans ce milieu n’est pas courant. Elle devra y faire sa place et s’imposer au prix d’énormes efforts qui lui coûteront cher. Elle est dirigée par Marek, un entraîneur de renom au haras de Pompadour. Un homme séduisant qui connaît parfaitement les ficelles de ce métier exigeant.

Et puis, il y a les personnages qui à priori semblent secondaires et qui peu à peu prennent leur place. Sur fond de bal musette avec Jeantou Beaulieu et son accordéon, je découvre ses fils, pas fins pour deux sous, et Emma, la belle inconnue qui ne laisse personne indifférent. Voilà pour l’intrigue.

Corinne Javelaud nous embarque alors dans le monde difficile des courses hippiques où la jalousie et l’appât du gain avec les chevaux engendrent de monstrueuses machinations.

Comme je le disais plus haut, je sens à chaque ligne le travail de recherches de Corinne Javelaud et même si parfois je peux craindre quelques longueurs dans les descriptions et les explications, je ne m’ennuie pas une seconde. J’avoue ne pas être toujours fan des éclaircissements apportés au lecteur, mais ici, la plume fluide et agréable de l’auteur ne m’a pas perturbée, bien au contraire, j’étais ravie d’en apprendre davantage sur l’ornithologie et sur les chevaux.

Une fois de plus, Corinne Javelaud nous emmène dans une région qu’elle nous décrit parfaitement et le roman de terroir y prend toute sa place. En conclusion, j’ai passé un très bon moment de lecture et je recommande vivement ce livre édité chez Calmann-Lévy.

Demande moi de t’embrasser – Beth Holland

Bonjour toi 😉

Lecture terminée et j’attends la suite avec impatience… Oui parce qu’il faut que je te prévienne, c’est À suivre. Quand je vois écrit ces mots, je fulmine je m’écrie Ah mais non ! Ben si, il faudra attendre la suite. Trêve de bavardages, je te mets ci-dessous le résumé et mon ressenti.

Pas d’homme dans ma vie, ma fille avant tout ! À presque 40 ans, Marie a une ligne directrice qui régit sa vie et elle adore s’investir dans son job.

Malgré ses 26 ans, Benjamin ne laisse aucune place pour l’improvisation et les sentiments ! Rester maître de mes choix de conquêtes, ne jamais tomber amoureux, sont quelques-unes des règles du jeune homme, play-boy collectionneur d’aventures.

Leur travail, au sein de Shows & Events, va les amener à coopérer pour l’ouverture d’une nouvelle agence.

Entre les règles que chacun s’impose et celles mises en place par leurs dirigeants, leur collaboration promet des étincelles et même quelques feux d’artifices…

Figure-toi que je connaitrai en avant-première la suite… Beth Holland est une auteure qui a fait partie, tout comme moi, de la finisher race dont je t’ai déjà parlé. Nous avons donc terminé toutes les deux nos romans, et nous avons été choisies pour être en binôme pour la relecture de nos travaux.

Bref, venons en à la lecture. J’ai aimé. Ce n’est pas difficile, tu vas me dire, c’est de la romance. Peut-être, mais pas que . L’histoire se déroule entre Cannes et Monaco, pas mal comme cadre, pas vrai ?

Marie est veuve. Elle s’occupe seule de sa fille Charlotte depuis 7 ans et elles sont très fusionnelles. Marie bosse et quand arrive cet assistant, Benjamin, elle n’imagine même pas qu’il pourrait s’intéresser à elle. Il a vingt-six ans. De toute façon, elle a rédigé les règles à ne transgresser sous aucun prétexte. Leur première rencontre est drôle et ne laisse rien présager.

Benjamin est le beau gosse de service. Il a tout pour lui et il est en passe de devenir l’assistant de Marie. Lui aussi s’est imposé des règles à ne pas trahir. Il sort d’une histoire d’amour malheureuse et peine à s’en remettre. Il a d’ailleurs une étonnante façon pour se protéger d’une éventuelle nouvelle histoire, mais ça je te le laisse découvrir. Je te dis juste qu’il m’agace et qu’il peut être un fieffé salaud.

Tout ça est bien joli, mais le cœur à ses raisons que la raison ne connait pas et évidemment, les règles de chacun vont être transgressées, ça c’était évident. Mais là où ça se complique c’est lorsque Marie fait une découverte qui va tout bouleverser et redistribuer les cartes.

D’ailleurs, je salue le travail de l’auteure qui sait terminer ses chapitres avec de sacrés cliffhanger. La plume de Beth Holland que je viens de découvrir est fluide et légère. Elle sait parfaitement décrire les situations et les sentiments des deux héros.

Alors, si tu veux découvrir l’histoire de Marie et Benjamin, n’hésite pas. Tu la découvriras ici.

Connaissais-tu cette auteure ? Sinon que lis-tu en ce moment ? Raconte-moi tout en commentaires.

À très vite…

Le temps des convoitises – Frédérick d’Onaglia

Bonjour toi 😉

Lecture terminée et je partage avec toi mon ressenti. Il faut que je te prévienne que j’ai déjà rencontré l’auteur et que j’ai lu tous ces livres. Il est à l’écoute, te parle de ses livres avec plaisir et te décrit sa façon d’écrire.

Tu vas penser que je ne vais pas être objective ? Pas du tout, je sais faire la part des choses. Est-ce ma faute si Frédérick d’Onaglia n’écrit que des bons romans 😂 ?

1977. Jeune journaliste de retour dans les Alpilles, Claire Césaire se retrouve au premier plan de la rivalité qui oppose son rédacteur en chef à Alexis Bastide. Cet homme d’affaires est à la tête d’un projet de lotissement, les Cygalines, dont le principal opposant n’est autre que… le père de Claire.
Entre scandale financier, bataille électorale et tourments de l’amour, une saga romanesque passionnante, avec en écrin de choix les beautés de la Provence. 

Il n’est pas rare de trouver dans les romans de Frédérick d’Onaglia des personnages déjà entrevus dans d’autres histoires.

C’est le cas ici, où je retrouve avec plaisir Victoire de Montauban, une femme au caractère bien trempé qui ne laisse pas le lecteur indifférent. Elle ne recule devant rien et fait tout pour sauver son domaine, peu importe les conséquences. Tu l’aimes ou pas. Elle est tour à tour attachante ou exécrable. Elle me fait penser à Violet Crawley dans Dowtown Abbey, c’est la grâce aristocratique incarnée.

L’histoire ne tourne pas autour d’elle. C’est plutôt celle de Claire, une journaliste ambitieuse qui revient au pays, qui est mise en avant. Dès le début, je sens qu’un lien la lie à la dame de Montauban. C’est à cause d’elle qu’elle est partie faire ses études de journalisme. Un secret bien gardé qui éclatera au grand jour lors de l’élection du maire de la commune de Fonvieille.

Dans les romans de Frédérick d’Onaglia, il y a toujours une histoire d’amour liée à une histoire de famille avec en toile de fond, un passé compliqué des héros. C’est le cas ici où Alexis Bastide se bat pour garder sa manufacture de tissus, son entreprise familiale à laquelle il tient. Il ne sait pas comment gérer son plus jeune fils Julien alors qu’il s’entend parfaitement avec sa fille. Alexis Bastide est attachant.

Frédérick d’Onaglia a le don de perdre le lecteur dans les méandres des divers sentiments habités par les héros. Est-ce qu’Alexis est celui qu’il prétend être ? Est-ce que Claire est une journaliste arriviste qui ne recule devant rien pour garder sa place au journal Provence Matin ? D’ailleurs, Claire, dont c’est quand même l’histoire, me laisse mitigée. Il est vrai qu’il est difficile de rivaliser avec Victoire de Montauban au verbe haut. Celle-ci occupe toute la place au détriment de la journaliste.

Victoire de Montauban agit parfois dans l’ombre, parfois en pleine lumière, mais son seul but reste son domaine Montauban. Elle ne lâchera rien qui pourrait lui nuire. Son mari, le préfet Eugène Lescure le savait parfaitement.

Dans cet opus, les magouilles financières et la bataille électorale fleurissent, sur fond d’accent provençal. Les parfums de la région chère au cœur de d’Onaglia nous enveloppent ainsi que les herbes de Provence qui s’échauffent au soleil.

Je me suis régalée du début à la fin avec les personnages riches en couleur tels que Elie le père de Claire et ses amis Phonse et Lucien. Les joutes entre eux seraient dignes de Pagnol.

T’ai-je convaincu ? Connais-tu les livres de Frédérick d’Onaglia ?

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À très vite…

Lundi Lecture : Mamma Maria – SERENA GIULIANO

Bonjour toi 😉 Nous sommes lundi et une nouvelle semaine commence. Qu’as-tu lu cette semaine ou que vas-tu lire ?

Pour ma part, je partage avec toi le roman de SERENA GIULIANO, Mamma Maria que j’ai lu avec beaucoup de plaisir.

« Ciao, Sofia, qu’est-ce que je te sers ? Comme d’habitude ? Et j’ajoute un cornetto, parce qu’il faut manger, ma fille !
– Oui, merci, Maria. »
Je m’installe en terrasse, face à la mer, comme chaque matin depuis que je suis de retour en Italie. J’aime bien travailler au son des tasses qui s’entrechoquent. Et, au Mamma Maria, j’ai toujours de la compagnie. Il y a ceux qui viennent tuer le temps. Il y a les enfants qui rêvent devant le comptoir à glaces. Il y a les ados qui sirotent un soda, monsieur le curé, et, surtout, mes partenaires de scopa.
Ici, on vient échanger quelques mots, partager un apéro, esquiver la solitude ou écouter Celentano. Moi, je viens pour me persuader que j’ai bien fait de quitter Paris… et l’autre abruti.
Il fait quand même meilleur ici.
Et puis, on cherche aussi à profiter de la bonne humeur (ou non) de Maria, qui mène, comme une mamma, tout ce petit monde à la baguette.
Bref, j’ai enfin retrouvé mon village paisible.
Enfin, paisible jusqu’au jour où…

Mamma Maria, un ristretto d’Italie

Rien que le résumé me fait encore rêver.

Ce livre fait du bien et t’enveloppe d’amour, de parfums et d’accent Italien. Tu te sens transportée dans le pays où la voix chante.

C’est un bijou ce roman, à déguster sans modération. Il regorge de bons sentiments et j’ai envie d’y aller dans le bar de Maria, de m’y accouder et de regarder.

Je m’imprégnerai de l’ambiance chaleureuse, je regarderai Maria derrière son comptoir. Toujours de bonne humeur ou presque, elle règne sur son établissement et gare à celui qui ne la respecte pas. Je rirai avec elle ou me ferai toute petite quand sa voix grondera.

Maria est formidable, amusante et sa petite-fille Sofia ne peut rien lui cacher. Si elle essaie, son secret sera dévoilé de toute façon. Rien ne lui échappe, son regard te sonde et elle sait que tu as un secret.

En fond, j’entendrais Adriano Celentano qui tient quand même une place importante dans ce bar. D’ailleurs, un poster de lui trône dans l’établissement et ses yeux suivent Maria. II arrive même à Maria de lui demander son avis. La playlist qui défile indéfiniment prouve bien qu’il est le préféré de Maria. Celui qui a le malheur d’en avoir assez de sa musique sera vite remis à sa place. Les clients de Maria sont ses enfants. Elle connait tout de leur vie et si par malheur, un habitué n’est pas là à l’heure habituelle, elle s’inquiète.

Je serais enfin conquise par le paysage, un endroit paradisiaque de zenitude.

Je ne raconte pas l’histoire, elle se déguste à petites gorgées et je m’en délecte. C’est la vie avec ses problèmes, mais tu as l’impression d’être dans un cocon où rien de grave ne peut t’arriver. Quel talent Serena Giuliano !

Connais-tu ce livre ? L’as-tu lu ? Dis-moi en commentaires si tu as aimé.

bean bag chair chill
À très vite…

Les prénoms de mes personnages

Bonjour toi 😉

Après t’avoir raconté comment je pense et vois mes personnages, je t’explique comment je trouve leurs prénoms.

Je prends toutes les lettres de l’alphabet, il y en a quand même 26 😉 et je commence par la première pour mon héros principal. Evidemment c’est le A. Exit, les prénoms communs comme Alain ou Annie, non pas qu’ils ne soient pas beaux 😏 mais pour moi ils sont trop communs. J’aime bien l’originalité et puisque je peux choisir, autant me faire plaisir. Comme mes histoires sont toujours contemporaines, j’opte évidemment pour des prénoms anciens, d’où les prénoms de Léandre et Léonie, (encore que Léonie est revenue à la mode) pour Cupidonetmoi.com.

Les prénoms choisis dépendent aussi du ton que je souhaite donner à mon roman. Pour Muguette, qui est née un 1er mai, ça n’a pas été difficile de la nommer ainsi mais comme elle souhaitait tomber amoureuse d’un homme qui portait un prénom de fleur comme elle, là j’ai dû fouiller. Entre Ambroise, Anicet, Lupin, Bleuet, j’avais le choix mais c’est Jasmin que j’ai retenu parce que j’ai immédiatement trouvé son nom de famille que je voulais avec une particule, de la Rochefleurie. J’avais donc mon couple phare, Muguette et Jasmin de la Rochefleurie. J’ai l’esprit parfois un peu coquin et tordu, j’ai décidé que mes personnages et ses amies auraient des prénoms de fruits d’où Prune et Clémentine ce qui me permettait de faire des jeux de mots quand elles se trouvaient réunies jolie salade de fruits.

Que vient faire ici Fernandel ? Le prénom de la meilleure amie de Muguette s’appelle Félicie. Toujours de bonne humeur, elle aime bien ajouter Aussi à ses fins de phrases. Son nom de famille est Gnole. Elle tombe amoureuse d’un Angelo Rossi. Rossi-Gnole, ça te parle ? Quand je te disais que la recherche des noms était aussi un travail 😊 surtout avec un esprit comme le mien 😊.

Concernant les noms de famille, ça c’est encore une autre histoire.

Je reprends mon alphabet et je décide par quelle lettre il va commencer. Va-t-il avoir une particule ? Je cherche des consonnances qui me plaisent, des noms de famille disparus français ou italiens, (j’aime bien l’Italie), et je rajoute des lettres. Le nouveau nom de famille est né.

Voilà, tu sais presque tout 😊. N’hésite pas en commentaires à me dire ce que tu en penses.

kiss emoji
À très vite …

Isabelle-Marie d’Angèle 3 romances

Bonjour toi !

Je viens te parler un peu des mes romances. Déjà 3 quand même ! Mine de rien, ça en fait des mots écrits rien que pour le dernier 423 987 caractères 😎. Je vais te dire un secret, je suis en train d’en écrire un autre. Si si ….mais chut 🤐 j’en parlerai une autre fois. Mais parlons d’abord de mes  » bébés ».

Cupidonetmoi.com une application malicieuse qui met un village sens dessus dessous.

Mon décor : un village du Sud-Ouest que je connais bien, avec une ferme, rappel de toutes mes vacances.

Mes personnages font tous partie de la vie d’un village, du boucher en passant par le bar-tabac-presse, l’épicerie, le boulanger et la coiffeuse où toutes les dames du village s’y retrouvent pour bavarder.

Mes héros ? Léandre et Léonie qui n’auraient jamais dû se rencontrer.

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Une vraie romance de Noël avec tous les ingrédients, du chocolat à la magie, en pensant par la famille.

Philippine et Georges, le couple phare mais aussi Victorien, vous feront passer un Noël à la maison des coeurs blessés où ils se retrouveront pour panser leurs plaies et retrouver le bonheur.

À consommer sans modération, un plaid sur les genoux un chocolat chaud à côté.

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Muguette ! Une héroïne aussi attachante qu’attachiante. Elle croque la vie et aime à sa manière. Elle s’est mis en tête de tomber amoureuse d’un homme qui porte un prénom de fleur comme elle. Jasmin de la Rochefleurie va en faire les frais et être pris dans ses filets.

Et si malgré tout, il aimait bien être pris dans ses filets ?

Quiconque croise Muguette n’en sort pas indemne.