Au revoir Juin

Pour les amoureux de juillet,

Rassurez-vous, c’est gagné !

Plus que quelques jours à décompter

Et sur les plages vous bronzerez.

Mais pour ceux qui partent en août,

Le temps passe au compte-goutte,

Avant le départ sur les routes

Les valises et le casse-croûte.

Merci Monsieur Juin,

Tu es bien malin.

Tu m’as pris la main

Pour qu’on écrive aujourd’hui ce dialogue à deux mains

Il aurait été trop tard demain.

L’effet papillon…. C’est à cause de la clé…

Il paraît que le battement d’ailes d’un papillon peut engendrer une tornade à l’autre bout du monde.

Et si le réveil n’avait pas sonné ? Et si vous aviez manqué un rendez-vous ? Et si vous étiez en panne de GPS ? Et si…Et si….

Je vous propose de découvrir un extrait de ma nouvelle histoire en cours d’écriture que vous pouvez retrouver https://www.fyctia.com/stories/c-est-a-cause-de-la-cle

Résumé :

Cléo Rose 25 ans. Réceptionniste d’hôtel dans une petite ville touristique. Fille de directeur et directrice d’école, elle n’a pas voulu suivre leur parcours et a passé un BTS Tourisme. Diplôme en poche, elle a trouvé ce poste dans cet hôtel 4 étoiles grâce à la notoriété de son père, fils et petit-fils d’une famille connue de la ville. Arsène Maestro, 45 ans. Réalisateur très connu en quête de son héroïne pour son prochain film. Avec son meilleur ami et scénariste Claudio Copa, ils sillonnent les routes à la recherche du coup de cœur. Par un pur hasard, Cléo va croiser sa route à cause ou grâce à une clé perdue. De quiproquos en situations inattendues, Cléo et Arsène vont dérouler tambour battant le film qui va changer leur vie.

Extrait :

— Vise un peu la rouquine ! Là !

Claudio Copa montra du doigt la jolie fille qui se mettait presque à quatre pattes dans le caniveau. Scénariste et meilleur ami d’Arsène Maestro, le réalisateur de renom, il sentait l’adrénaline courir dans ses veines. Depuis des semaines, ils cherchaient tous deux l’héroïne du nouveau film de Maestro.

— Arrête-toi je te dis !

— Je vais trouver une place de parking, ne t’énerve pas.

— Regarde ! Elle est trop marrante avec ses immenses lunettes qui lui tombent sur le bout du nez. Et ses cheveux ? Tu as vu ses boucles ?

— D’accord, Claudio, j’ai compris, tu as craqué pour cette nana. Qui te dit qu’elle a une belle voix ?

— Baisse ta vitre !

— Mais…

— Baisse ta vitre, je te dis !

La rouquine en question commençait à en avoir ras le bol de ce client à qui tout était permis parce qu’il avait la bourse bien remplie. Ses lunettes glissaient à cause de la chaleur. Ses cheveux qu’elle tentait vainement de jeter vers l’arrière n’en faisaient qu’à leur tête grâce au vent qui venait de se lever. Elle prit sa voix professionnelle, celle dont ses collègues disaient qu’elle faisait penser à celle des aéroports qui annonçaient les vols.

— Je vous assure que Noé n’a pas pu perdre vos clés, il est bien trop perfectionniste.

Pourtant, elle se pencha pour les chercher au sol. Elle sentit le regard des hommes dans son dos. Sa tenue de réceptionniste avec sa mini-jupe serrée et son chemisier ouvert n’était vraiment pas top pour se mettre à quatre pattes dans le caniveau.

Une fois s’être bien rincé l’œil du spectacle, le client mal luné tâta à nouveau ses poches et éclata de rire.

— Vous avez raison, les voilà !

Il les lui glissa sous le nez et lui tendit la main pour l’aider à se relever. Ce faisant, elle avisa une Audi noire, vitre baissée. Elle apostropha l’homme qui la fixait.

— Vous voulez une photo ?

Claudio éclata de rire alors que Arsène fronçait les sourcils.

— Je ne suis pas sûr que…

— Va te garer ! C’est elle je te dis !

Cléo Rose reprit son poste à la réception ainsi que son sourire figé. Encore une heure, elle aurait terminé sa journée. À elle, le maillot et la plage, puis elle retrouverait Sidonie qui tenait la buvette de la paillote.

Elle enregistra les fiches des nouveaux arrivants, donna des clés, remplit les registres, répondit au téléphone pour les demandes de réservations. Elle ne se rendit pas compte que deux hommes, assis dans les fauteuils de l’accueil, la contemplaient.

Arsène Maestro s’imprégnait des gestes de la jeune femme. Il filmait déjà ses cheveux roux emmêlés, captait sa bouche aux lèvres pleines, découvrait ses yeux verts et sa taille fine. Pas très grande, elle pourrait correspondre au rôle principal de son long métrage, une comédie relatant la vie d’une fille qui n’a pas sa langue dans sa poche. En costume, elle serait magnifique. En effet, Ludivine, jeune femme de bonne famille ne voulait pas suivre la voie toute tracée dictée par son père, un vieux grincheux.

— Alors ? Murmura Claudio, n’avais-je pas raison ?

— Allons lui parler, on verra bien.

Ils attendirent que le dernier client soit parti avec ses bagages pour l’approcher.

— Bonjour !

Claudio entama la conversation le premier. Elle leva la tête. Les deux hommes reçurent en plein cœur le regard vert de deux émeraudes.

— Vous vous êtes bien rincé l’œil ? Ça vous a plu ?

Elle les avait donc reconnus. Arsène sourit alors que son scénariste rougissait. Il prit les choses en main. C’était toujours la même chanson, Claudio faisait le malin, puis il restait pétrifié et ne savait plus quoi dire. Devant une belle femme, il perdait tous ses moyens.

Il se présenta.

— Arsène Maestro. Excusez mon ami, il est parfois un peu…

Il hésita.

 — Lourd ?

— C’est le moins que l’on puisse dire.

Elle jeta discrètement un coup d’œil à la pendule. Plus que cinq minutes. Elle espérait que sa collègue n’allait pas être en retard. Avec un peu de chance, c’est elle qui pourrait s’occuper de ces deux pots de colle…

Les nouveaux mots du dictionnaire

Je ne vais pas m’étendre sur les nouveaux mots qui fleurissent depuis 2020 et nous empoisonnent un peu la vie comme coronavirus, vaccinodrome, cluster, covid, distanciation.

Apparaît alors le télétravail qui était impossible et d’un coup, mais si c’est possible. Faut qu’on m’explique !

Je n’ai jamais entendu autant de Tu es positif ? Il vaut mieux ne pas l’être alors qu’on nous enseigne depuis des lustres qu’il faut l’être justement.

Si jamais tu l’es, tu passes en quatorzaine. Je connaissais l’expression être en quarantaine. Oubliez la cinquantaine, c’est tout à fait autre chose 😊.

Du coup on passe en confinement, puis en déconfinement. Dommage que le reconfinement n’existe pas parce qu’on l’a bien expérimenté. Et le redéconfinement, peut-être qu’il va exister aussi. Comme disait maman, faire et défaire c’est toujours travailler. Se confiner et se déconfiner, ça occupe ! 😂

Et le click and collect, heureusement qu’il existait celui-là même s’il n’était pas encore dans le dico.

Rions un peu, enfin moi, j’ai ri, vous je ne sais pas, parce que vous êtes peut-être un peu énervé 😂

Saviez-vous ce que c’est un zèbre ?

La question était posée à une passante dans la rue. Elle a regardé le journaliste d’un air de dire C’est une blague ? Vous me prenez pour une quiche ?

Heu non ! Je ne me permettrais pas madame.

Un zèbre, mon petit monsieur, c’est un animal à rayures, vous savez celui dont on dit qu’il est en pyjama.

Excusez-moi madame, mais il s’agit d’une personne surdouée.

Ah bon ? Ce n’est pas mon cas alors !

Donc, l’expression faire le zèbre qui veut dire faire le pitre, on en fait quoi ? et Drôle de Zèbre ? Ça peut coller, c’est quelqu’un hors norme 😉 les surdoués sont hors norme ? Ah bon ?

C’est vrai que si vous participez à une conversation où ne se retrouvent que des surdoués, vous vous demandez un peu de quelle planète ils arrivent. Peut-être qu’ils formeront un cluster de zèbres ? Deux nouveaux mots dans la même phrase, top !

Autre mot très à la mode qui prend sa place dans le dictionnaire.

Influenceur : Personne qui, en raison de sa popularité et de son expertise dans un domaine donné (la mode, par exemple), est capable d’influencer les pratiques de consommation des internautes par les idées qu’elle diffuse sur un blog ou tout autre support interactif (forum, réseau social, etc.). En clair, c’est quelqu’un qui influence. Heureusement qu’il est dans le dictionnaire celui-là, j’aurais bien cherché sa définition, elle est très compliquée.

J’arrête là mon bavardage qui j’espère ne vous a pas mis de mauvais poil traduisez de mauvaise humeur 😊

À très vite …

Je ne vous ai pas oubliés

Vous pourriez penser que je vous ai oubliés ? Avouez ! Je ne vous en veux pas, mais j’ai plusieurs excuses 😊 Si c’est vrai !

Tout d’abord, j’écris tout le temps, tous les jours et ça me prend du… temps ! Même si l’expression Je n’ai pas le temps est fausse vu qu’il faut dire Je n’ai pas pris le temps de… Le résultat est le même, je n’ai pas eu le temps 😊.

Mais qu’est-ce qui a bien pris tout mon temps ?

La sortie de Noël à la maison des cœurs blessés et sa pub. J’avoue, c’est un métier que je ne maîtrise pas. L’écrire, oui ! le corriger oui ! le mettre en forme, je sais faire. J’ai même réussi à faire le broché, les marque-pages et les flyers. Mais le vendre et me vendre ça c’est une autre histoire !

Un autre concours l’effet papillon qui me plait beaucoup et auquel je participe sur https://www.fyctia.com/stories/c-est-a-cause-de-la-cle allez-y faire un tour, et dites-moi ce que vous en pensez.

Bon c’est déjà pas mal. Je ne compte pas le fait que j’ai un mari, des enfants, la maison, une petite chienne (qu’il faut que je coiffe !) un jardin que je surveille, des mésanges qui ont fait leur nid et à qui je donnais des graines de tournesol (je sais bien qu’elles doivent se débrouiller toute seule, mais j’étais trop contente de les voir venir à ma fenêtre).

J’ajoute que j’aime faire du vélo, lire, bref ! Vous l’avez compris, mon blog est passé un peu, un tout petit peu après tout ça !

J’avais préparé un billet d’humeur sur les nouveaux mots du dictionnaire, je l’ai retrouvé et il m’a fait rire. Pourquoi, ne l’ai-je pas partagé ? Si vous êtes sages et si vous me le demandez gentiment, je le publierais !

Donc, ces quelques mots, que je vais mettre dans l’étiquette J’ai quelque chose à vous dire, se terminent.

À très vite …