Extrait Noël à la maison des cœurs blessés

Petit extrait de Noël à la maison des cœurs blessés.

Vous pouvez trouver ma romance en version numérique ici

Ou en version brochée ici

Si vous êtes intéressés par les marque-pages et Flyers avec dédicaces, contactez-moi sur isabellemariedangele@gmail.com. Je vous les offre si vous avez commandé le numérique ou le broché. Les premiers envois de mes lecteurs intéressés par la version brochée dédicacée sont partis aujourd’hui. Et vous ?

Je vous présente mes marque-pages et mes Flyers 💖.

Une romance à déguster sans modération n’importe quand…

Quarante abonnés 💖💖

Bonjour à vous 😊

Quand j’ai vu que vous étiez 40 abonnés à ce blog, sans compter ceux qui suivent ma page Facebook où là vous êtes 568 😍 oui je sais ça fait bien ! mais bon ! ce n’est rien par rapport à d’autres ! c’est juste un nombre ! Au départ, j’avais mis comme titre quarante followers, mais je préfère le mot abonné, beaucoup plus français.

C’est à vous les 40 qui êtes venus depuis peu que je m’adresse. Oui, vous, qui avez cliqué un jour sur un article au hasard, une histoire où l’héroïne vous a fait signe, une citation qui vous a interpellé, un billet d’humeur qui vous a fait rire, une chronique qui vous a fait envie d’acheter le livre. C’est tout ça que vous trouverez chez moi. C’est à vous que je dis Merci !

Je ne vais pas m’étendre sur tout ce que je fais ici, vous le savez ! Non, je vais plutôt m’étendre sur 40.

Quarante de fièvre ? Whaou, pas top !

Ali Baba et les quarante voleurs ? C’est mieux et je me souviens du film avec Fernandel et son accent. Mon papa me racontait l’histoire et j’adorais le moment où il disait Sésame ouvre-toi !  J’avais trop envie que ça arrive. Comme dans La sorcière bien-aimée j’aurais aimé savoir tortiller mon nez. Découvrir cette grotte pleine de trésors me faisait rêver.

Les quarante jours de Carême pour les chrétiens, et les quarante ans de Moïse et son peuple. Je suis d’accord, mes 40 abonnés n’ont rien à voir avec ça 😉.

Les quarante jours de déluge ! Noé et son arche. Après moi le déluge 😉.

Quarante, département des Landes. L’odeur des pins, les plages de Mimizan, Biscarosse, Hossegor. Dax et sa station thermale, sa féria et ses estrangers.

Vous n’auriez pas cru qu’en me suivant à quarante, ça ferait une belle caravane.

Et comme j’aime les expressions, je vous en cite une :

C’est reparti comme en quarante pour atteindre les 50, je pourrais alors parler des 50 nuances de Grey 😉 et vous me répondrez Je m’en fous comme de l’an quarante !

D’accord, il y en a deux ! C’est bien vous suivez ! Oui, à 40 😉.

Vous avez dit rouge

Bonjour à vous,

J’ai trouvé ça ce matin. J’aime beaucoup l’illustratrice, Mademoiselle Smoothie, et comme la citation me plaisait aussi je partage mon ressenti.

Audrey Hepburn… la classe ! Deux films me reviennent immédiatement en mémoire : Sabrina et Vacances romaines. Ils ne datent pas d’hier 1954 pour le premier et 1953 pour le second. Je n’étais pas née, mais quand je les ai regardés j’ai craqué !

Je suis une vraie romantique, alors ces deux films, que du gâteau. Quant à la coupe Sabrina, elle a fait des ravages à l’époque… Quelle classe ! Elle existe toujours et on l’appelle coupe Sabrina Vintage. Revoilà ce mot ! Finalement, il n’est pas si vintage, il est plutôt à la mode 😂.

La couleur rose ? Je suis plus rouge !

Un tempérament de feu, je vois souvent rouge. J’aime pas les feux rouges parce qu’ils m’empêchent d’avancer.

Rouge comme les joues ça m’arrive souvent.

Rougir de plaisir sans commentaires.

Rouge à lèvres pour la brune que je suis, mais en ce moment, pas trop de rouge cause masque !

Le rouge couleur de l’amour, de la passion, du danger aussi.

Je n’aime pas le vin rouge… il fallait bien une exception 😂.

Rire, éclater de rire. On dit que lorsqu’on rit c’est comme si on mangeait un bifteck.

Rire, fait travailler tous les zygomatiques et fait tellement de bien. Il existe des cours de rire. Ah ça vous fait rire ? Tant mieux c’est le but !

Croire aux baisers, bien sûr, sauf qu’en ce moment…

Stop ! Rouge, interdit, pas de mauvaise humeur ! Sinon, je vois rouge !

Si les filles joyeuses sont les plus jolies, alors j’ai ma chance ! 😉

Demain est un autre jour, c’est certain. Mais… demain c’est lundi, et même si je crois aux miracles, il sera toujours lundi et j’aime pas le lundi 😂

À bientôt…

Citations piquées au vol

Bonjour à vous.

Vous remarquerez qu’aujourd’hui, je vous dis bonjour. C’est vrai, quelle impolitesse ! Il faut toujours dire bonjour 😉.

Vous regarderez aussi l’illustration que j’ai choisie, une petite blonde qui vous porte des fleurs avec une tête que j’adore, et une brune qui réfléchit. Les deux sont moi, même si je suis brune.  Un peu rigolote, un peu pensive, quand il le faut. Bref !

Aujourd’hui citations à la volée piquées dans mon cahier !

Asmtramgram, pic et pic et colégram…

Tout le monde veut sauver la planète, mais personne ne veut descendre les poubelles. Je l’adore, elle est de Jean Yann. Vous penserez à moi quand vous les sortirez 😂.

Asmtramgram, pic et pic et colégram…

Le grand Dieu fit les planètes et nous, nous faisons les plats nets. Sacré Rabelais, il avait de l’humour dans Gargantua. J’adore ce jeu de mots. Peut-être que Thomas Pesquet y pensera en grignotant ses trucs en sachet 😂.

Asmtramgram, pic et pic et colégram…

Cacher son âge c’est supprimer ses souvenirs. Poète Arletty, elle ne savait pas que dire Atmosphère atmosphère, est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? Devenir vintage, comme j’aime bien le dire, c’est engranger des souvenirs. J’aime beaucoup l’idée.

Asmtramgram, pic et pic et colégram…

Ce n’est pas parce que l’homme a soif d’amour qu’il doit se jeter sur la première gourde. Pierre Desproges ne l’a pas raté celle-là. Je vous laisse la méditer 😂.

À bientôt

Monsieur Blue Eyes-Caroline L. & Faustine Teisseire MG

Résumé

La magie des fêtes de Noël rappelle à Hope Evans la perte douloureuse de ses parents.

Enfermée dans son deuil, elle veille à ce que rien ne puisse accentuer sa douleur.

Pourtant, Monsieur Blue Eyes ne l’entend pas de cette oreille. Cet homme mystérieux et arrogant s’acharne à abattre toutes les barrières qu’elle a érigées pour se protéger.

Il la bouscule. Il la rend dingue.

Il l’amène à se dévoiler, tout en lui cachant les parties les plus sombres de sa vie, jusqu’à sa véritable identité.

Quand l’amour arrive aussi soudainement, les dégâts s’annoncent dévastateurs. Cette relation s’apprête à révéler leurs plus sombres secrets.

Hope sera-t-elle assez forte pour faire face aux trahisons qu’elle n’aurait jamais soupçonnées ?

Mon avis

Qui est ce Monsieur Blue Eyes ? Ce bel homme, arrogant, sûr de lui, PDG, qui un soir rencontre par hasard Hope Evans ? Coup de foudre immédiat pour lui, et enragé qu’elle le remarque à peine, il dérape avec sa meilleure amie.

Le décor est planté, et comme toute romance qui se respecte, le jeu de la séduction va se mettre en place. De bons moments de détente font plaisir et se suivent avec joie. C’est un peu comme le beau temps avant la tempête, vous voyez les nuages arriver et vous ne pouvez rien faire pour les arrêter et les empêcher de déverser leur colère.

Hope comme Noel sont tous deux entourés de véritables amis que j’ai vraiment aimés. Ils sont adorables. Hoc l’ami de Noel et Louka celui de Hope sont formidables. Tout au long de l’histoire, ils sont présents et font bloc. Solides tel le roc, ils protègent leur presque frère pour l’un et presque sœur pour l’autre.

Séduction et jalousie ont la part belle dans cette histoire. Je dirais même que la jalousie jalonne les chapitres. Elle monte en puissance. Jusqu’au bout, elle sera à pied d’œuvre et à cause d’elle ou grâce à elle, des non-dits et des secrets seront dévoilés. C’est là tout le dynamisme du roman, écrit à quatre mains.

Je salue le travail des deux auteurs qui ont produit une magnifique romance à déguster comme un bonbon sucré, avec quand même un mouchoir tout proche pour les plus sensibles. Pas d’incohérence dans le déroulement de l’histoire et les sentiments explorés sonnent justes. La plume est fluide et agréable à découvrir.

Le lecteur est tenu en haleine jusqu’à la fin et se demande quand va avoir lieu l’explosion ? Quand la colère voire même la haine va se déverser ? Vont-ils redresser la barre ? Sauver ce qu’il y a sauver ? Accepter l’inacceptable comme la trahison ?

Une seule solution pour le savoir… découvrir Monsieur Blue Eyes sans hésitation !

Jeudi, Je dis, Jeux dis, Jedi

J’ai souhaité que mon billet d’humeur soit d’humeur gaie ! Pas de tristesse ici. J’imagine que si vous passez et que vous vous arrêtez, vous n’avez pas envie de lire des trucs à pleurer.

Si vous cherchez de grandes discussions sur la reproduction des insectes en nouvelle Papouasie, ou comment faire disparaitre le mal de tête, ce n’est pas sur mon blog que vous le trouverez 😊.

D’ailleurs, je ne sais même pas ce que vous souhaitez trouver ici. Des bafouilles ça je sais les faire ! Des trucs qui font rire, je devrais y arriver. Un instant d’oubli, sans doute.

Bref !

C’est jeudi et le jeudi tout est… mais non, c’est le vendredi ça !

Jeudi, on peut faire des jeux dis ?

Peut-être, je dis !

Le retour du Jedi ? (Star Wars pour ceux qui ne connaissent pas !)

La rime Aïe ! Aïe !

C’est vrai que le retour du Jeudi ça fait un peu nul ! D’ailleurs, à la question quand est le retour du Jedi, la réponse est entre le mercredi et le vendredi ! Vous ne vous êtes jamais fait avoir ? Allez avouez !

Il y a un temps fort lointain (non je ne parle pas de Shrek) les enfants n’allaient pas à l’école le jeudi et on parlait de la semaine des quatre jeudis. Un rêve inaccessible évidemment !

Les vacances, c’est un peu ça non ? Pourquoi faire compliqué je vous jure ! Pourquoi ne pas dire la semaine des quatre dimanches alors ? Passons !

Je vous avais prévenu, dans mes billets d’humeur, pas de grande littérature. Quoique… la semaine des quatre jeudis quand même, c’est une citation datant du XVe siècle, vous étiez nés vous ? Et aussi, pour finir sur une note un peu plus sérieuse, les membres de l’Académie française se rassemblent aussi tous les jeudis depuis 1910. Vous vous rendez compte qu’ils sont en train de se retrouver et moi je parle d’eux ! C’est dingue non ? Et de quoi parlent-ils ? Peut-être de la reproduction des insectes en nouvelle Papouasie …

Avouez, vous ne le saviez pas ça hein !

À bientôt…

Je n’aime pas le lundi

J’ai créé une nouvelle catégorie. Billet d’humeur commence aujourd’hui et ça commence comme ça !

Je n’aime pas le lundi et je souhaitais faire un texte ce jour-là avec une illustration qui montrait bien mon humeur du lundi.

Sauf que je n’ai pas eu le temps, ou pas pris le temps, ou fait exprès de ne pas écrire sur ce jour-là, allez savoir. Ma plume est très fantaisiste quand elle s’y met.

Pourtant, je ne cessais de me répéter ce serait bien que tu écrives sur lundi!

Procrastination ? Même pas !

Mardi, j’ai dit C’est nul d’écrire sur lundi vu qu’on est mardi.

Oui, mais, j’avais le regret de ne pas l’avoir fait lundi. J’ai préparé et choisi mes illustrations.

Mercredi, ça y est j’y suis et je publie.

Mais je ne parle pas de lundi, ni pourquoi je n’aime pas ce jour.

Ça tombe bien ! on est mercredi et j’aime bien le mercredi, mais je vous en parlerai un autre jour. Je vous rappelle que ce billet était pour lundi 😉.

J’aime bien écrire ces textes qui ne servent à rien, mais qui me font rire toute seule. Et vous, qu’en pensez-vous ?

Romance Cupidonetmoi.com – Extrait

Léandre parut en jeans et torse-nu, ses boucles dégoulinantes sur ses épaules. Il se frotta énergiquement la tête avec une serviette. Il sentait bon le gel douche et Léonie avala difficilement sa salive. Il s’approcha d’elle pour voir ce qu’il avait à proposer comme boisson. Elle resta immobile très troublée par la promiscuité de l’homme qui s’affairait autour d’elle. Il posa la serviette sur le bord du comptoir et saisit une bouteille de vin blanc.

— Nous allons faire la fête, regarde, j’ai un moelleux avec du foie gras. Tu es partante ?

Il se tourna vers elle quêtant son approbation. Il sentit immédiatement la tension sexuelle qui s’installait. Elle le contemplait avec admiration et il ne fut pas certain qu’elle ait entendu sa question. Quand elle se rendit compte du silence pesant, elle rougit, se reprit et répondit :

— Parfait ! Je n’ai pas l’habitude de manger du foie gras comme ça.

Elle se détourna. Il posa la bouteille.

— Léonie ?

Elle se retourna trop vite et se colla à lui. Beaucoup plus petite que lui qui mesurait un mètre quatre-vingt-dix, sa bouche rencontra sa peau nue. Il la souleva et l’installa sur le comptoir.

— Ce sera beaucoup plus pratique, tu ne crois pas ? murmura-t-il de sa voix rauque.

Ils étaient tous deux face à face. Lui, toujours torse nu. Elle n’osait plus le regarder, son cœur battant la chamade. Que cet homme avait du charme ! Elle n’avait pas ressenti ça depuis des années, mais impossible de tomber amoureuse d’un agriculteur, ça ne collerait pas. Pourtant, quand il saisit son visage d’une main et que de l’autre, il fourragea dans ses cheveux, elle faillit lâcher prise.

La suite c’est ici

Mon thriller : Extrait

La photo est celle de mon atelier où naissent toutes mes histoires 🙂

Chapitre 27

Hugo Cortilla et Esteban Blaviso contemplaient avec stupeur les deux visages affichés. Les deux hommes qu’ils avaient surpris en grande conversation avec Frédéric Marteau avaient tous deux, fait de la prison.

— Convoquons-les ! dit aussitôt Esteban

— Sous quel prétexte ?

Hugo regarda son collègue.

— Nous n’avons aucun motif pour les faire venir ici et comment leur expliquer que nous les avons pris en photo ?

Le colonel Faventiny qui entrait dans leur bureau entendit la dernière phrase.

— Il y a des moments où il faut tricher avec les règles. Inventer un banal contrôle de police par exemple. Je ne vais pas vous apprendre votre boulot, les gars !

Les deux hommes contemplèrent le père de leur commandant.

— Nous allons tout reprendre depuis le début, proposa Hugo. Il y a certainement un détail qui nous a échappé.

— On ne peut pas dire mieux, grommela le colonel. Mais vous allez encore perdre du temps. À la base, pourquoi mon fils et ma belle-fille ont-ils hérité de cette maison ? Il faut chercher de ce côté. Ensuite, pourquoi la copine de Marteau a-t-elle été assassinée ? En fait, vous n’avez rien fait. Vous ne savez rien. Vous êtes des triples buses.

Le colonel Faventiny était très en colère. Hugo, vexé, se tut. Esteban, lui, se rebiffa aussitôt.

— Vous êtes dur Colonel ! Le commandant on l’aime bien, on a toujours fait ce qu’il nous disait et…

— C’est justement ça le problème l’ami, il n’est plus là, il a besoin de votre aide, alors bougez-vous. Je ne le répéterai pas deux fois.

Il sortit en claquant la porte.

— Il a raison Esteban ! Il faut qu’on se bouge le cul !

La suite c’est ici

Bonne lecture amis de passage sur mon blog 😍💟

Le sablier du temps des Dieux – PENELLOPE VAN HAVER

Résumé

À une époque très lointaine, harmonie et bien-être primaient dans l’Éther. Dans cet espace vaporeux, toutes les anciennes générations de déités résidaient dans le palais de l’Olympe.

Chronos, dieu suprême du Temps, régnait en Maître, notamment grâce au pouvoir d’un sablier unique, indispensable à l’immortalité.

Mais les Dieux se lassent de leur situation.

Pour les distraire, des jeux sont organisés, afin de leur apporter plus de reconnaissance.

Cependant, la colère gronde inexorablement dans l’Éther.

Et lorsque les dieux s’ennuient, leur vraie nature refait surface, au point que le pouvoir de Chronos, jusque-là jamais surpassé ni même égalé, se retrouve menacé.

Malheureusement, lorsque la balance perd son équilibre, le Chaos apparait…

Qu’adviendra-t-il des dieux ?

Mon avis

Je salue en prime abord le choix de la couverture qui met à l’honneur le sablier, le héros de ce livre.

J’ai lu ce roman avec plaisir même si je ne suis pas une grande adepte de ce genre, un brin fantastique. J’avoue avoir été intriguée par le résumé et agréablement surprise par l’écriture de Pénellope Van haver.

Fan de mythologie, j’ai été happée par l’histoire superbement racontée. Ce livre trouverait tout à fait sa place en dessin animé tellement les images apparaissent au fil des pages au gré de mon imagination. Ce qui me fait sourire, c’est que pour en avoir discuté avec l’auteure, elle pensait le publier en y mettant justement des illustrations. Personnellement, c’est fantastique qu’en lisant, je me fasse ma propre idée et c’est ici le cas. Je verrais bien également une conteuse assise au coin du feu, nous raconter ce roman.

Péneloppe Van Haver a une plume fluide avec un vocabulaire riche. Elle connaît parfaitement son sujet et nous entraine avec elle dans son monde, je dirais féérique. C’est un livre très coloré. Elle a ce don, que les mots se transforment aussitôt en image. J’avoue avoir été envoûtée par son histoire que je recommande vivement.

De jeunes adolescents pourraient aussi en faire la lecture. Ils seront très agréablement surpris et découvriront les méandres de la mythologie de façon ludique.

À consommer sans modération, il est très instructif, parce que mine de rien, il vous transmet un message que je vous laisse savourer. Oui, c’est le mot, c’est un livre à savourer.