Samedi, je chante

Bonjour toi 😉

C’est samedi, alors on chante. Aujourd’hui, mon jukebox m’a fait un énorme plaisir en s’arrêtant sur Sheila. Le titre choisi est sorti de son dernier album, La rumeur. Sheila, je pourrais tellement en parler et même si elle a pris des rides, elle n’a pas changé comme elle le chantait dans les années 60. Je te laisse avec ce texte, qui bien sûr la concerne, mais n’oublions pas qu’une rumeur, qu’elle qu’elle soit, fait toujours mal quand ce n’est pas très mal.

La rumeur

Je ne suis pas celle qui chante, ni celle ou celui qu'ont dit
À la une de France Dimanche "pas de fumée sans incendie"
Mais qu'importe les offenses, la rumeur, la calomnie, oui
Je ne suis pas celle qui danse à la Seine, ni à la ville
Je suis celle qui balance entre la mort et la vie
Au petit malheur, la chance, le French cancan, un jour, sa nuit
Si l'histoire est un mensonge que personne ne contredit
La rumeur est comme un songe qui jamais ne se finit
Songer qu'encore elle me ronge, j'ai beau nier ce qu'ait dit Dany
Je suis celle qui déchante, qu'on fait chanter, la-la-li, la-la-la
Dans la tourmente, qu'elle était belle l'agonie
Qu'on y soit, qui mal y pense, le mal est fait et les mots dits
Je suis celle qui valse et danse, dans les galas me voici
Entre "on-dit" et médisances, saurais-je d'où venaient les bruits?
La rumeur est une mort lente, qui condamna Annie à vie
Ici les hommes se diffament, les paroles sont travesties
Quand les bouches folles s'enflamment, rien ne fait taire l'infamie
Mais que chancelle la flamme, jamais ne s'éteint la bougie
Mais que chancelle la flamme, jamais ne s'éteindra Annie. 



Et toi aimes-tu Sheila ? La connais-tu au moins 😊😉?

Alors on chante ?

À très vite…

Je vous présente mon jardin

Bonjour toi 😉

Chez Ma ici le challenge était de ne pas aller loin. Alors moi, je vous propose de découvrir mon jardin tel qu’il est aujourd’hui.

C’est une promenade fleurie et parfumée. Ici, les pivoines commencent à fleurir, elles sont blanches et rouges. Le fusain prend de l’ampleur, les campanules s’en donnent à cœur joie. Le muflier et les freesias reviennent chaque année, j’ai eu la surprise d’avoir un freesia jaune cette année. Le rhododendron a quand même décidé de fleurir, et le lilas blanc embaume le tout. Le seringat, lui, prend son temps cette année et il n’est pas très fleuri. Je vois tout ça depuis la fenêtre de mon bureau.

Belle journée à vous 😊

À très vite…

Je dis Poésie

Bonjour toi 😉

J’aime beaucoup Alphonse de Lamartine (1790 – 1869), je partage aujourd’hui Le moulin au printemps .

Le chaume et la mousse
Verdissent les toits
La colombe y glousse,
L’hirondelle y boit.

Le bras d’un platane
Et le lierre épais
Couvrent la cabane
D’une ombre de paix.

La rosée en pluie
Brille à tout rameau
Le rayon essuie
La poussière d’eau .

Le vent qui secoue
Les vergers flottants,
Fait de notre joue
Neiger le printemps.

Sous la feuille morte,
Le brun rossignol
Niche vers la porte,
Au niveau du sol.

L’enfant qui se penche
Voit dans le jasmin
Ses œufs sur la branche
Et retient sa main.


Et toi aimes-tu ce poète ?

À très vite…

Nouvel Ebook

Bonjour toi 😉

C’est aujourd’hui le grand jour 😍😍, mon nouveau roman sort au prix promotionnel de 1,99 €. Profites-en pour découvrir si une clé perdue peut redistribuer les rôles.

Tu le trouveras sur toutes tes librairies en ligne préférées ici.

Nouveau

Comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, Noël à la maison des coeurs blessés et Cupidonetmoi.com sont aussi au prix de 1,99 € (versions numériques).

Alors ? laisse-toi tenter … Qui vas-tu préférer ? Mes nouveaux personnages Arsène et Cléo, ou bien l’ambiance Noël avec Philippine et Georges (sachant qu’une romance de Noël peut aussi se lire en été) ou l’ambiance campagne avec Léandre et Léonie et cette coquine application qui met le village sens-dessus dessous ?

A très vite…

Bavardages entre Mélie et MaLou

Bonjour toi 😉

Comme c’est le jour des enfants, je partage ici une conversation d’une grand-mère avec sa petite-fille.

C’est un jour où Mélie et sa grand-mère ont une grande conversation.

— MaLou, tu jouais à quoi à l’école quand tu étais petite ?

Il faut qu’elle réfléchisse, c’était il y a quelques années quand même.

— À la corde à sauter, à l’élastique et aussi à la marelle.

— On ne peut pas jouer à la corde à sauter et à l’élastique, râle Mélie. De toute façon, on n’a pas le droit de les amener et puis c’est les CP (traduis les petits) qui les ont, c’est l’école qui leur donne. À la marelle, il y a trop de monde dans la cour, alors c’est interdit.

MaLou en rajoute, histoire de faire bisquer sa petite-fille

— Nous apportions les nôtres de cordes, tu penses bien que nous pouvions les comparer. La mienne était jolie, les poignées étaient en bois bleu. (Quelle mémoire cette MaLou).

Mélie fait la moue.

— Trop de chance parce que nous les cordes à sauter avec les manches en bois, les garçons se fouettent entre eux, alors interdit aussi.

MaLou est stupéfaite mais ne dit rien. Drôle d’époque ! Mélie qui a vu la tête de sa grand-mère la rassure aussitôt :

— Pas à moi bien sûr !

MaLou demande :

— Raconte-moi, à quoi joues-tu alors ?

— On parle.

— De quoi ?

— Bah de tout, des animaux et de ce qu’on a fait pendant le week-end.

C’est bien triste, pense MaLou. Elle se souvient qu’elle aimait bien le facteur n’est pas passé. Elle l’avoue à Mélie.

— Moi je voudrais bien, mais mes copines me disent que c’est pour les bébés. Dis MaLou, tu mangeais à la cantine toi ?

— Non ma poulette.

Mélie ouvre de grands yeux, comment est-ce possible ? Mais elle est contente pour sa grand-mère et lui dit à sa manière.

— Tant mieux pour toi parce que c’est pas bon et c’est toujours froid. Mais pourquoi tu n’y allais pas ? ajoute la curieuse.

— Je rentrais chez moi, j’avais le temps.

Mélie insiste.

— Jamais, jamais, tu n’y as mangé ?

MaLou sourit.

— Tu sais quoi ? Quand je suis allée au lycée non plus et pourtant j’y ai fait toute ma scolarité de la 6e à la Terminale. À ton avis, pourquoi ?

Devant le mutisme de sa petite-fille, MaLou avoue :

— J’avais en face de chez moi, le lycée.

Alors là, Mélie n’en revient pas et pense aussitôt :

— Pour le coup, tu n’étais pas obligée de te lever de bonne heure.

— C’est vrai, mais tu sais, j’entendais la sonnerie résonner toutes les heures, il y avait les bouchons devant la maison à chaque entrée et à chaque sortie. Et puis franchement, avoir le lycée face à ma fenêtre tous les jours, ce n’était pas rigolo.

— Oui, mais quand même ! Tu voyais toutes tes copines arriver alors ?

— Et les copains. Ils venaient même mettre leur vélo chez moi. Je dois t’avouer un truc ma chérie, le fait de ne pas être comme les autres, de ne pas manger à la cantine et de pouvoir bavarder avec les copains, ce n’est pas toujours facile non plus. J’aurais bien aimé aller au lycée avec ma belle bicyclette, moi.

Mélie ne lâche rien, elle a vraiment décidé d’en savoir plus sa grand-mère.

— Tu faisais quoi en sport ?

Mélie est en primaire, MaLou se creuse la tête. À son époque, le sport dans la cour, c’était surtout le ballon prisonnier.

— Nous aussi ! Et Harry Potter.

C’est autour de MaLou d’ouvrir de grands yeux. Sa petite-fille lui explique :

— C’est un jeu de ballon, celui qui est touché, sort du jeu. Il ne pourra y rentrer que lorsque celui qui l’a touché sort, en fait, je ne suis pas sûre du nom.

MaLou ne peut s’empêcher de demander :

— C’est du sport ça ?

— Ben oui !

Devant l’air sceptique de sa grand-mère, Mélie ajoute fière d’elle :

— On fait aussi du badminton.

Elle est rassurée, MaLou sourit, c’est du vrai sport ça.

— Je cours aussi.

— Tu fais de la course ?

— Non c’est pas ça, c’est en fait pour savoir à quelle vitesse on court.

À regarder la tête de sa grand-mère, Mélie préfère abandonner le sujet et passer à autre chose.

— On joue à ton jeu sur ton téléphone ?

Il faut bien l’avouer, MaLou là, elle déchire, même si parfois, c’est elle Mélie qui l’aide juste un peu, parce qu’elle y voit un peu mieux ou qu’elle plus rapide ?

À très vite…

Marie-Sophie, entre les deux son cœur balance

Bonjour toi 😉

Je partage avec toi la suite de Marie-Sophie.

Je n’en reviens toujours pas. Archibald a dégoté un four à pain à bois et le local qu’il est en train de remettre en état. La boulangerie qui va ouvrir fait la une de la gazette. Les habitants sont ravis de ne plus avoir de kilomètres à faire pour avoir leur baguette fraîche.

Il n’y avait pas eu de repreneur lorsque le propriétaire était parti à la retraite. Pourtant, il avait publié une annonce sur TF1et SOS village, mais ça n’avait pas trouvé grâce aux yeux de quelqu’un. Finalement, ça tombe bien pour Archibald. Celui-ci remet tout à neuf et il arrive avec toutes ses idées. J’espère de tout mon cœur que ça va marcher. Mon ami n’est pas basque et parfois, ce n’est pas facile de s’intégrer. Archibald pourra compter sur Morgan, connu comme le loup blanc.

Le boulanger, Gérard, est venu lui donner un coup de main et discuter avec lui. Il est en admiration devant Archibald qu’il trouve bien courageux. Jamais, il n’aurait pensé qu’il aurait pu quitter une affaire qui marche pour s’installer dans un endroit, certes sympathique, mais dont il ignore les coutumes et les habitudes.

Il a assuré à mon ami qu’il lui ferait sa publicité. Il était apprécié de ses clients, il pouvait compter sur lui pour parler de lui à des kilomètres à la ronde. L’expression m’a fait rire parce que pendant des kilomètres, il y a des prés verts et des vaches.

Archibald ne compte pas s’arrêter là, il a décidé plus tard de faire aussi une tournée pour les habitants qui ne pourraient pas se déplacer. Il y a un certain nombre de personnes âgées ici. Pépé Charles a approuvé cette idée. Il lui a même dit qu’il pouvait compter sur lui pour conduire son camion. Je ne savais pas que Charles avait son permis pour ce genre de véhicule. Il parait que le B ça suffit s’il ne pèse pas plus de 3,5 t. Je pensais juste à une fourgonnette, mais Archibald parlait d’un Food truck.

Mélusine a aussi réussi à convaincre d’autres mamans de se retrouver avec leurs enfants non scolarisés. Elle a fait la connaissance de Madeleine et Julia. Toutes deux ont une petite Juliette pour la première et un Alexandre de l’âge d’Enzo pour la seconde. François, lui, est seul pour élever sa petite Héloïse.

Pour l’instant, c’est la mairie qui met à leur disposition une salle. J’y suis allée faire un tour, elle est bien tristounette cette pièce. Avec Mélusine, nous avons demandé au maire s’il était possible de la repeindre avec des couleurs plus gaies. Il a refusé ! Elle peut servir à d’autres associations.

François qui tient une maison et table d’hôtes a proposé que ça se fasse chez lui une fois par semaine. La pièce qu’il offre est très cosy avec une petite banquette vieux rose et des rideaux assortis aux fenêtres, le mur en lambris réchauffe le tout. Quand nous y sommes allées, Mélusine et moi, nous avons été frappées toutes les deux par l’ambiance zen qui y régnait. C’est un endroit parfait pour les enfants.

Aujourd’hui, j’accompagne Morgan au marché. Il vend régulièrement son miel et les légumes qu’il cultive dans son jardin. Je charge les cagettes dans sa camionnette et en me retournant, je me trouve face à lui et contre lui.

Je ne sais toujours pas ce que je ressens pour lui et Archibald qui s’installe ici n’arrange rien. Je crois que je les aime tous les deux, certainement pas de la même façon, mais je ne veux pas faire de peine ni à l’un ni à l’autre.

Morgan me relève le menton et plonge ses yeux dans les miens. Sans crier gare, il pose ses lèvres sur les miennes. Puis, il repart chercher la dernière cagette de légumes. Ce fut tellement rapide que j’ai pensé avoir rêvé. Je reste plantée devant le coffre ouvert. C’est lorsque je le vois revenir que je me bouge.

— On y va ?

Morgan s’installe au volant et démarre. Je grimpe à côté de lui et je ne peux m’empêcher de lui demander :

— Pourquoi tu as fait ça ?

— J’en avais envie depuis longtemps et si je ne fais rien, tu ne vas rien tenter. Tu m’en veux ?

Je suis tellement surprise par sa réponse que je ne sais pas quoi dire. Est-ce que je lui en veux ? Un peu quand même. De quoi se mêle-t-il ?

Je lui jette un regard en coin. Il fixe la route.

— C’est vrai quoi ! ajoute-t-il.

Je n’ose pas lui demander ce qui est vrai. Me voilà bien.

Nous arrivons sur la place du marché et j’aperçois Archibald devant son local qui commence à prendre une belle allure. Son enseigne Au fournil d’Archi écrit sur une baguette en fer forgé, style girouette, lui ressemble, simple et efficace.

Dès qu’il nous aperçoit, il vient à notre rencontre. Suis-je amoureuse de mon meilleur ami ?

Au cœur des vignes -Elisa Makai

Bonjour toi 😉

Je partage avec toi ce retour de lecture.

Citadine jusqu’au bout des ongles, Rose, une élégante trentenaire, abandonne sa vie parisienne pour être interprète dans un vignoble bordelais. Adieu Paris et ses boutiques … Seule au milieu de nulle part, sans voiture et sans réseau, Rose peine à se faire à cette vie de château. Coincée entre Jing Hao, un étudiant chinois trop entreprenant, et Tom, un éleveur de chevaux arrogant et ténébreux qui n’est autre que le demi-frère de son patron, sa vie est loin d’être tranquille. Malgré ces nombreux obstacles, Rose finira-t-elle par succomber aux charmes de la campagne … et de ses habitants ?

C’est tout d’abord la couverture qui m’a attirée, comme quoi, elle se doit d’être intéressante, quoiqu’on en dise.

Je reconnais que mon choix de livres est particulier, parfois il m’appelle depuis son rayon. Ne ris pas, c’est vrai !

Ici, c’est la couleur printanière puis le titre qui résonne agréablement à mes oreilles, vient ensuite la 4e de couverture. Il ne faut pas se la raconter, elle est aussi importante. Il m’arrive d’être alpaguée par l’illustration et lorsque je lis le résumé, je repose le bouquin.

Je retiens donc qu’une jeune citadine, Rose, quitte Paris pour la campagne, qui plus est s’avère être un château avec des vignes où les réseaux se font rares. Je poursuis et découvre rapidement qu’il s’agit d’une romance. Ça tombe bien, c’est mon genre de prédilection.

L’éditeur Nouvelles Plumes. Je prends.

Sincèrement, j’ai passé un bon moment. Mais si tu t’attends à voir le travail des viticulteurs, respirer le raisin, ce roman n’est pas pour toi. Je suis ici dans une romance pure et dure et dès le début, je sais comment ça va finir. Je ne suis pas dérangée, j’aime ça, c’est simple, c’est romantique.

Je me promène avec Rose qui, j’avoue m’émeut. Une Parisienne qui n’a pas le permis parce qu’elle n’en a pas besoin pour se déplacer dans la capitale, c’est juste. Sauf que débarquée en pleine cambrouse, elle fait comment ? Elle se trouve un scooter, pardi ! Mais elle est un peu empotée la citadine et il ne lui arrive que des catastrophes. C’est là qu’intervient le bel éleveur de chevaux. Bien sûr que c’est cousu de fil blanc, mais j’aime bien. L’histoire est aboutie, je ne te raconte pas tout, je te le laisse le plaisir de la découverte.

C’est une nouvelle plume et je la félicite pour ce roman. Le ton est enlevé, sympathique et sonne juste. N’hésite pas à le lire si tu es fan de romance et de légèreté, tu passeras un bon moment et tu souriras souvent.

Dans un tout autre genre, j’ai terminé de Raphaëlle Giordano, Le bazar du zèbre à pois. Je t’en parle la semaine prochaine.

À très vite…

Dimanche Citation

Bonjour toi 😉

Aujourd’hui sous le signe de la bonne humeur 😂 on oublie tout ce qui fâche et je partage les citations de mon grand homme à moi 😄. Il n’a pas son nom dans les encyclopédies, ni dans les dictionnaires, mais il a le mérite de me faire rire et de me citer ses phrases toujours à bon escient. Je les ai notées dans mon cahier…C’est parti, je suis certaine que vous les connaissez.

⁎ Bourré comme un coing.

⁎ Même pas un cheval de bois ne te donnerait un coup de pied.

⁎ Il a regardé le soleil à travers une passoire.

⁎ Rond comme une barrique.

⁎ Ça y fait comme mettre un pansement sur une jambe de bois.

⁎ Il n’a pas la lumière à tous les étages.

⁎ Il est taillé comme une arbalète ou à coups de serpe.

⁎ Moi aussi Gitem.

⁎ Pauvre France, Pauvre spaghettis.

⁎ Il n’a pas inventé l’eau chaude.

Bon dimanche à tous et souriez, ce soir nous en (re)prenons pour 5 ans 🤐. Tu es prévenu si dans 15 jours voire avant, il y a des grèves, mes billets d’humeur vont fleurir 😂😂😂.

Coluche disait :

La grande différence qu’il y a entre les oiseaux et les hommes politiques, c’est que, de temps en temps, les oiseaux s’arrêtent de voler.


Il disait aussi :

Il faut se méfier des comiques, parce que quelquefois, ils disent des choses pour plaisanter.

À très vite…

Samedi Chanson

Bonjour toi 😉

Je commence ce week-end en musique avec toi. Je lance mon jukebox 🎶

Ah j’adore ! C’est un artiste qui m’émeut particulièrement. Ses chansons sont des tubes et tu ne pourras pas me dire que tu n’en connais pas au moins une. Alors…

J’ai le blues de toi de Gilbert Montagné

Un goût d’alcool déchire ma peau
Tous mes bateaux portent ton drapeau
Tu as brûlé mes avions de papier
Sur mon journal tu fais la cover
Des fleurs du mal étouffent mon cœur
J'écris ton nom sur mes nuits de janvier
Et j’ai le blues de toi
De tes silences tendres et de ta voix
Oui j’ai le blues de toi
Sans qui j’ai tant de mal à être moi
J’avais envie de faire
Mon ciel dans ton enfer
Ça me rend fou je crois
Le blues de toi
Nos souvenirs explosent ma tête
Notre avenir est un vieux gadget
Une aventure que tu as oubliée
Et mes violons de mélancolie
Me font un long solo de folie
Tu es partout sur mon calendrier
Et j’ai le blues de toi
De tes silences tendres et de ta voix
Oui j’ai le blues de toi
Sans qui j’ai tant de mal à être moi
J’avais envie de faire
Mon ciel dans ton enfer
Ça me rend fou je crois
Le blues de toi
Le blues de toi
Et j’ai le blues de toi
De tes silences tendres et de ta voix
Oui j’ai le blues de toi
Sans qui j’ai tant de mal à être moi
J’avais envie de faire
Mon ciel dans ton enfer
Ça me rend fou je crois
Le blues de toi
Et j’ai le blues de toi
Mon ciel dans ton enfer
Ça me rend fou je crois
Le blues de toi
Un goût d’alcool déchire ma peau
Tous mes bateaux portent ton drapeau
Tu as brûlé mes avions de papier.

Comme vidéo, j’ai choisis celle où il chante avec Pomme , nouvelle génération. Les deux voix s’accordent merveilleusement bien et je suis fan à 100%.

Qu’en penses-tu ? Quelle est la chanson de Gilbert Montagné que tu préfères ? Il y en a tellement que tu as le choix.

Je te présente aussi mon avatar en tenue de printemps, comment me trouves-tu ?

Bon samedi 💖

À très vite…