Vous avez dit Thriller ?

Résumé :

Coralie et Daniel Faventiny sont jeunes mariés et ont hérité d’une superbe bâtisse qui ressemble à un château. Il est commandant à la brigade criminelle, elle est médecin légiste.

Ils ne sont pas arrivés depuis dix minutes que déjà, des petites choses les intriguent comme des sels de bain autour du jacuzzi, un lit fait avec leur parure de draps, et aussi une porte qui claque alors qu’elle est censée être inhabitée depuis longtemps.

Mais de qui vient cette maison et pourquoi l’ont-ils reçue en cadeau de mariage ?

Extrait …

Ils étaient à peine à l’intérieur qu’un bruit au loin dans la maison claqua.

— Tu as entendu ?

— Sans doute un courant d’air quand nous sommes entrés.

— Il faudra vérifier les ouvertures.

— Ah ! tu ne vas pas commencer Dany, ne joues pas au flic avec moi.

Il ne répondit pas et entraina sa compagne dans l’escalier qui menait à l’étage.

— Tu as remarqué ?

— Quoi encore ?

— Il ne fait pas froid !

Effectivement, pour une maison qui devait être fermée depuis longtemps, il n’y avait aucune trace d’humidité et d’air cru.

— Et ça ne sent pas le renfermé, répliqua Daniel.

— C’est génial ! Il n’y aura pas de gros travaux à faire.

— Si c’était le cas, nous pourrions toujours la revendre. S’il ne fait pas froid, il ne devait donc pas y avoir une fenêtre ouverte, remarqua Daniel.

— Il ne fait pas non plus, une température en dessous de zéro, Dany. Dis-moi ce qui te tracasse, tu ne l’aimes pas la maison ?

— Je suis très méfiant. Mais continuons de visiter.

Coralie partit devant et poussa les portes de l’étage une à une. Elle resta pantoise face à la salle de bains.

— Tu as vu Daniel ?

Comme il ne répondait pas, elle se regarda dans le miroir. Jolie brunette aux cheveux longs toujours attachés. Pourquoi avoir une telle masse lui répétait sa collègue si tu dois souvent les remonter. Personne ne pouvait comprendre. Sans sa tignasse, elle se sentait toute nue. Et puis Daniel l’aimait ainsi.

Un jacuzzi la narguait. Dernier modèle, s’il vous plait ! Ce qui l’intrigua encore plus c’est que différents sels de bains et de gels douche étaient disposés sur le rebord. Si son homme voyait ça, il allait de nouveau se poser des questions. C’était bizarre quand même !

Deux vasques faisaient face à la glace. Elle n’aperçut aucune serviette accrochée.

Elle ressortit de la pièce et poursuivit ses investigations, en ouvrant les portes les unes après les autres. Trois chambres de dimensions raisonnables se suivaient. Elle appela à nouveau son mari. Laquelle allaient-ils choisir ?

— Daniel ?

— Je suis en bas. Viens voir la cuisine.

Elle dévala l’escalier.

— Du chêne ! mazette !

— Pour le coup, ce n’est pas moderne.

— Tu aimes chérie ?

— Je ne vais pas faire la difficile et puis franchement, quand le camion va débarquer avec toutes nos affaires, la pièce prendra une tout autre allure.

— D’ailleurs, leur arrivée est pour quand ?

Coralie regarda sa montre.

— J’imagine qu’ils ne vont plus tarder.

— Viens, continuons notre visite. Quelle chambre préfères-tu ma puce ?

Ils repartirent à l’étage. C’était bizarre de découvrir une maison qui allait devenir la leur alors qu’ils ne l’avaient jamais vue. Par rapport à leur appartement, classe, d’accord, il n’y avait pas photo, ici il y avait de la place pour recevoir leurs amis.

— J’ai réfléchi que nous pourrions pendre la crémaillère prochainement non ?

Ils étaient sur le palier et poussèrent la première porte. Coralie stupéfaite contempla le lit.

— Tu as vu ? Il est fait ! Je suis certaine qu’il ne l’était pas quand je suis venue tout à l’heure.

— La personne est rudement rapide. Quand je pense à nos galères pour bien tirer la couette.

— Daniel, je ne plaisante pas. Il y a quelques instants, tu râlais parce que tu avais entendu une porte claquer, et là, tu n’es même pas étonné ? De toute façon, je ne dormirais pas dans ces draps. Imagine qu’ils soient sales ?

Elle s’approcha pour les sentir. Un subtil parfum d’adoucissant lui chatouilla les narines.

— C’est le même que le nôtre. Fleur de coton.

En se penchant sur le lit, elle reconnut sa parure.

— Mais regarde ! C’est celle que nous avions encore hier soir !

La suite c’est ici Un héritage empoisonné 😊

N’hésitez pas à Liker pour débloquer les chapitres suivants. C’est un super challenge que je me suis fixé. Merci 🧡

Isabelle-Marie d’Angèle

Je fais des ronds avec mon crayon,

Je fais des bulles

Des Mini Bulles.

J’en connais tout un rayon.

Nouveau pseudonyme ?

À quoi ça rime ?

J’aime bien Minibulle

Avec elle j’affabule.

J’écris Isabelle…

C’est ça fais ta belle !

C’est mon prénom

Nom de nom !

Ça ne veut rien dire,

Minibulle ne peut pas mourir !

Elle sera toujours là

Quand tu le voudras.

Isabelle-Marie

Encore ? Je ris…

Je réfléchis

Et je me dis.

Je ne suis pas comtesse (de Ségur)

Pensais-je avec allégresse

Mais je veux un pseudo

Qui soit beau et chaud.

La particule pourquoi pas ?

Ah ! Ah ! Ah

Eh bien quoi ?

Je ne la mérite pas ?

Isabelle-Marie De Quoi ?

De n’importe quoi ?

De Trifouilly-les-Oies ?

De ta ville de là-bas ?

Pourquoi celle-là ?

Et pas celle de chez toi 

Qu’aujourd’hui tu côtoies,

Je ne crois pas !

Ce n’est pas l’idée,

Je suis partagée

Nord-Sud sont aimés

Ils sont mon identité.

Celle qui m’a faite

M’a façonnée en fait !

Suis-je bête !

Où avais-je la tête ?

Minibulle s’appelle

Isabelle-Marie d’Angèle !

Qui est-elle ?

Moi, avec elle !

Ma maman Angèle.

Voilà comment est né mon pseudonyme sous lequel j’écris maintenant. Alors, si un jour vous croisez une Minibulle, c’est moi. Et si par chance, vous trouvez un bouquin signé d’Isabelle-Marie d’Angèle, c’est toujours moi. Croyez-moi, il vous appellera

Histoire avec des mots proposés

C’est le sur le blog ici que j’ai trouvés les mots : Retrouvailles, confinement, cœur, amour, distance, correspondance, téléphone, train, baiser.

Ecrire une histoire avec ces mots, merci fran_84

Voici donc mon texte :

Il en rêvait tellement de ces retrouvailles. Mais le nouveau confinement en avait décidé autrement. Ce mot, il l’entendait tous les jours. Il rythmait sa vie. Terminés les promenades, les rires, les parties de ballon. Certes, il n’était pas abandonné, il n’était pas malheureux, mais tout avait changé.

 Son cœur n’en pouvait plus de ne pas la retrouver. Il battait toujours, mais au ralenti. Ce n’était vraiment pas de chance ne plus être près de celle, dont les yeux le regardaient avec tellement d’amour.

Sa décision était prise. Il allait s’enfuir. Il n’y connaissait rien en kms. Mais il allait se débrouiller.

Dans la voiture, la distance parcourue pour l’éloigner d’elle lui avait semblé longue. Il s’était endormi sur la banquette arrière du véhicule et quand il s’était réveillé, il faisait nuit. Pourquoi, ne l’avait-elle pas accompagné ? Elle ne l’abandonnait jamais d’habitude. Il ne savait pas compter, mais il sentait bien que ça faisait beaucoup de jours qu’elle ne l’avait pas pris dans ses bras.

Une porte ouverte, une minute d’inattention, à lui la poudre d’escampette. Par où aller ?

Un mot lui revint en tête, mais il ne savait pas ce qu’il voulait dire : correspondance. Il se rappelait qu’elle courait justement à cause d’elle, elle allait la manquer qu’elle disait.

Il leva la tête et huma l’air. Il l’avait tellement accompagnée dans ses promenades, qu’il essaya de se rappeler comment elle faisait pour se diriger. Évidemment, il n’avait pas de téléphone, il aurait bien eu du mal à s’en servir.

Pas question non plus de prendre le train, il allait se faire rapidement repérer.

Armé de tout son courage, il commença à courir. De temps en temps, il s’arrêtait pour respirer.

Il avait perdu de sa superbe au bout de plusieurs jours, mais il était fier de lui, il était revenu à sa maison. Il gratta à la porte. Il avait faim, il avait soif.

C’est la voisine qui le recueillit. Elle le caressa, le flatta, le brossa, en lui répétant qu’il devrait encore patienter, mais que bientôt sa maîtresse le serrerait dans ses bras. Elle était à l’hôpital à cause du virus. Qu’est-ce qu’il l’a entendu ce mot-là aussi, même qu’on croyait qu’il pouvait l’attraper.

Il ne pensait alors qu’au baiser qu’elle allait lui donner quand il la retrouverait. Couché dans son panier, les yeux mi-clos, il sentait déjà son parfum et ses mains qui farfouillaient dans sa fourrure.

Il était prévenu, elle était faible. Il ne fallait pas qu’il saute sur elle quand elle arriverait. Mais qu’est-ce qu’ils croyaient les gens, il était fou de ma maîtresse, il savait bien comment il devait faire.

Elle était là. Il s’approchait tout doucement. Il a eu du mal à retenir sa queue qui frétillait de bonheur. Il la regarde, elle aussi. Sa main se tend vers lui, il avance sa tête. Dieu ! que c’est bon de sentir comme il lui avait manqué et que son amour pour lui n’avait pas changé.  

La voisine lui raconte qu’il a fait tout le chemin pour la retrouver. Elle le félicite, elle ne le lâche pas, il est collé à ses jambes, le regard accroché au sien.

Minibulle

Je me suis toujours demandé pourquoi j’aimais les stylos, les cahiers, les carnets et les livres.

Je suis de deux régions. Le nord et le sud, enfin le sud-ouest pour être plus juste.

Chez la première, il fait gris, il fait froid, mais les gens avec leur accent dur ont le cœur sur la main. D’ailleurs, un Enrico l’a bien chanté les gens du Nord ont dans leur cœur le soleil qu’ils n’ont pas dehors. Je me souviens qu’on me disait que je bronzais blanc, comprenez que je ne prenais pas trop de couleur. Le ciel n’était pas d’un beau bleu foncé, plutôt un bleu très clair.

Chez la seconde, il fait toujours beau, souvent chaud. Le ciel est éclatant et les gens chantent quand ils parlent. Ils disent toujours oui, mais peuvent changer d’avis et leur amitié va et vient suivant l’humeur du moment.

 C’est chez la deuxième que j’ai rencontré mon chéri.

En haut dans la petite pièce, sur mon bureau, j’invente des histoires. Parfois, je regarde par la fenêtre, la rue. Il y a la boulangerie juste en face. C’est là que je vais chercher mon goûter. À côté, il y a mon lycée. Quelle drôle d’idée, pas vrai ? Mais c’est bien pratique pour ne jamais être en retard et voir passer les copains qui sortent de cours alors que moi je suis déjà rentrée. Parfois je les envie de prendre le bus. Moi, je ne peux même pas y aller en vélo. Par contre, j’ai l’avantage de pouvoir être à la maison entre deux cours et de pouvoir accueillir les amis facilement et aussi d’accepter qu’ils mettent leur bicyclette chez moi.

Pas de nom de plume, je n’y pense même pas. Mais, ce que je sais faire c’est de jouer dans le jardin et d’inventer des histoires avec mes poupées. C’est un parc mon jardin. Il est immense pour la gamine que je suis et il stimule mon imagination. Il est divisé en deux, séparé par une grille pour le verger. Bien pompeux cette appellation, mais c’est là que se dressent deux énormes cerisiers et des pommiers.

 Pourquoi n’ai-je jamais mis sur papier ce qui arrivait à mes poupées ? Mystère ! Pourtant, rencontres et amours romantiques sont déjà bien présentes dans mes bafouilles et comble du comble, tout finit toujours bien.  

Mais il y a l’école, le lycée, le travail qu’il faut trouver. Avoir la tête dans les nuages ne rapporte pas d’argent. Raconter des histoires encore moins.

Les années passent et je quitte le nord pour vivre avec mon mari. L’idée d’écrire ne m’effleure même plus. Je n’ai pas le temps, pas l’envie. Le bonheur ne se raconte pas. Il faut donc être malheureux pour écrire ?

Il semblerait.

Un travail qui ruine ma santé, une hypersensibilité incomprise, de multiples questions sans réponses et c’est la chute.

Un matin, plus rien n’a d’importance. Je suis à bout. Je n’ai plus envie. De rien.

Je suis dans un petit coin du sud-ouest et j’y ai une petite pièce rien qu’à moi. Elle ne ressemble pas à celle du nord, elle ne donne pas sur la boulangerie, mais sur mon jardin de Barbie. Ce n’est plus un parc et je n’y joue plus à la poupée. Terminés les rêves où tout est bien qui finit bien, ou tout le monde il est beau il est gentil. Exit le monde des Bisounours, Bisesnounours comme disent mes enfants.

C’est mon atelier comme je l’appelle. L’endroit où naissent mes histoires, où se rencontrent mes personnages créés de toutes pièces. Enfin, peut-être pas finalement. Ils sortent de ma tête et mènent leur vie, je dirais même la danse. C’est drôle, je n’aime pas quand il leur arrive des misères. Je fais tout pour les épargner, sauf que ce n’est pas toujours comme ça que ça se passe. Mais si moi j’avais envie d’écrire le bonheur ? Si c’est ça que je désire lire ?

Alors que je n’avais plus de goût à rien, l’idée d’avoir un ordinateur rien qu’à moi est venue. Des rideaux rouges sont apparus avec un canapé assorti, ma pièce prenait forme et devenait mon endroit à moi. Une enceinte qui diffuse de la musique douce en permanence est installée.

Je suis entourée de deux fenêtres. L’une donne sur la terrasse, l’autre sur la cabane aux oiseaux et les fleurs quand c’est la saison. L’été, le courant d’air m’apporte leurs parfums.

J’ai mon pot de crayons multicolore, du rouge, du turquoise, du noir, de l’orange, du rose, du vert, pour annoter mes écrits.

J’ai ma peluche qui me surveille juchée sur ma boîte à souvenirs face à mon écran.

Quand j’allume pour la première fois mon ordinateur, qu’il a fait ses mises à jour, qu’il est prêt, moi le suis-je ?

Je n’écris pas les premiers mots sur Word, non, plutôt sur mon cahier. Et le titre ?

Rencontre d’un stylo avec une feuille. Je dessine un cœur, et des ronds qui ressemblent à des bulles, des petites, des Minibulles.

Mon nom de plume est né. Ce sera Minibulle. Regardez-les s’envoler… elles montent très vite et haut vers le ciel puis elles éclatent en plein vol…

Janvier, te voilà !

Te voilà revenu Janvier comme chaque année !

Avec en premier la fête de ta galette.

Chouette !

La joie des enfants qui portent la couronne fait plaisir à regarder.

Ils se cachent sous la table pour choisir la part à donner.

Peut-être aussi aurons-nous la neige, Janvier !

Nous nous battrons à coup de boules givrées

Et construirons des bonshommes glacés.

An nouveau et nouvelle année, Janvier !

À tous les meilleurs vœux sur les joues rosées

Que nous ne pourrons pas embrasser

Cette année un virus s’est imposé, nous sommes masqués.

Un mois pour écrire, Janvier !

Sur des cartes, n’est-ce pas désuet ?

À voir le plaisir d’ouvrir le courrier

Cette tradition n’est pas oubliée.

Que vas-tu nous apporter Janvier ?

Du bonheur ? C’est à espérer.

L’année écoulée nous a chamboulés.

Fais un effort pour nous réconforter.

Nous comptons sur toi, Janvier

Pour nous faire retrouver

L’espoir et nous faire rêver

Comme toujours en début d’année !

Qu’importe le chemin – Martine Magnin

Résumé

« À nous, parents inquiets et ignorants, la recherche fébrile dans les dictionnaires médicaux, le décryptage impossible des graphiques d’électro-encéphalogrammes et l’interprétation plus que hasardeuse des – bilans biologiques. Le regard froid et technique des médecins blasés, leur arrogance expérimentée, hautaine et fuyante. De l’autre côté, la maladresse et l’extrême compassion des amis et de la famille n’arrangeaient rien. Leur compassion maladroite et pesante nous hérissait, on s’empêchait de les repousser avec brusquerie, ce n’était pas le moment de parler ou de partager, c’était juste le moment de comprendre et de se battre. C’était le moment de crier en silence. »

Un jour, en rentrant de vacances, Alexandre, 8 ans, fait une crise. Panique générale. La vie bien ordonnée de sa mère s’effondre. Qu’importe le chemin retrace le combat à contre-courant d’une mère et de son fils. Diagnostiqué épileptique, Alexandre sera un petit garçon fragile et sensible, puis un jeune homme en proie à de lourdes addictions qui lui feront connaître les tourments de la rue et la violence de l’enfermement psychiatrique. Sa mère sera présente à chaque instant. Sans jamais céder au désespoir ni au fatalisme, Martine Magnin livre un témoignage poignant et sincère sur l’amour d’une mère face à un enfant en dérive. »

Mon avis

Le premier mot qui me vient à l’esprit est poignant.

Non, l’histoire de Martine Magnin racontée dans ce livre n’est pas un conte. Elle aurait pu commencer par Il était une fois, sauf qu’il n’y a pas de prince charmant, seulement beaucoup et énormément d’amour tout au long de ma lecture. C’est écrit avec justesse et sans pitié. Martine Magnin ne larmoie pas sur son sort, elle accepte et ce n’est pas facile.

Cet amour est celui d’une maman qui gère au jour le jour les galères de ce que la vie lui réserve avec son fils.

J’ai eu beaucoup de mal à découvrir de page en page son histoire. Je craignais à chaque nouveau chapitre, une mauvaise nouvelle.

Je salue la pugnacité et le courage de cette maman qui ne baissera jamais les bras même si parfois, elle a honte. Honte d’avoir envie d’être sans Alexandre pour pouvoir souffler, honte de voler quelques instants de bonheur dans les bras d’un homme, honte d’accepter qu’il parte loin d’elle. Mais elle en a tant besoin pour ne pas s’écrouler, parce que si elle tombe, qui sera là pour le tenir à bout de bras son gamin ?

Que dire de ses amies, de véritables pépites qui répondent toujours présentes lorsqu’elles les appellent au secours. Combien de fois, ai-je pensé qu’est-ce que j’aurais fait moi à sa place ? Parce qu’il ne faut pas croire que ce genre de choses n’arrive qu’aux autres. Quand Martine Magnin a appris que fils était épileptique et que le chemin allait être long pour soigner cette maladie, j’ai eu mal. Comment réagir devant la douleur de son enfant et lui expliquer avec des mots simples que la vie vient de basculer pour eux deux et que ça ne sera plus jamais comme avant ?

Alexandre grandit, c’est l’adolescence qui se profile. Il en a ras le bol de ses médicaments quotidiens, lui, ce qu’il veut, c’est mener une existence normale. Pour ça, prendre d’autres drogues afin d’oublier et faire semblant d’être comme les jeunes de son âge est facile, mais à quel prix. S’ajoute alors, une nouvelle descente aux enfers pour la maman. Ces addictions coûtent chères à tous points de vue. Quel courage a Martine Magnin d’accompagner coûte que coûte Alexandre dans cette quête de bonheur artificiel et surtout d’aider à l’en sortir.

Qu’elle est longue et difficile cette route emplie de doutes et de chutes. Elle ne baissera jamais les bras et portera son fils jusqu’au bout.

Je termine par ses mots :

« Qu’importe le chemin, on récolte toujours ce que l’on s’aime ».

Voeux

Bonjour Vous ! Moi c’est Muguette, Mug pour les intimes 😉Bonne année à vous les amis et croquez la vie comme moi !

Bonjour ! moi, c’est Marie-Sophie, MarieSophe pour les amis. Je vous souhaite que du bonheur pour 2021 et à moi de belles aventures !

Moi c’est La Plume 😊 Belle Année à vous 💖 Amour, santé, bonheur, joie, sourires 😊.

Bon mois de janvier aussi 😊 que vais-je écrire sur lui ? 😉

A bientôt …😍