Le 27 avril, c’était la semaine internationale du Jazz 🎶, le 29 celle de la danse 💃. Je te partage une citation de Claude Debussy 💖 valable en musique comme en danse. Et si on veut aller plus loin, les règles qu’on nous impose sont loin d’être des œuvres d’art 😁.J’arrête de faire ma rebelle 😂.
Je te propose de découvrir le chapitre 7. J’ai écrit le chapitre 10, tu vois je n’ai pas beaucoup d’avance 😏😁.
Chapitre 7
Je saisis le parapheur et lus rapidement la note avant d’apposer mes initiales.
— Figurez-vous que votre chef et moi, nous nous connaissons depuis longtemps, mais nous n’avions pas fait le rapprochement. Moi si, mais pas Angèle, raconta François.
Kawas se tourna vers moi, interrogatif. Je n’avais qu’une envie, envoyer au diable ce François Destrée.
Je maugréai en lui rendant le courrier :
— Je ne l’avais pas revu depuis plus de vingt ans, normal que je ne le reconnaisse pas.
Mais François n’en resta pas là.
— Je sais qu’elle s’entraine régulièrement et qu’elle est fan de tree climbing, j’ai pensé qu’elle pouvait s’occuper de mon chien qui va manquer d’exercice.
Je repoussai brutalement mon fauteuil à roulettes qui alla s’écraser contre le mur et lui indiquai la porte.
Kawas demanda :
— C’est quoi le tree climbing ?
— Traduisez qu’elle grimpe aux arbres ! Elle adorait ça quand elle avait neuf ans, apparemment, elle n’a pas oublié.
Il se leva alors que je l’invitai à sortir de mon bureau avant que je l’engueule sans façon.
Tuck en passant près de moi, me lécha la main ce qui eut le don de faire dire à Paco.
— Tu vois, il t’a adoptée. Je t’emmènerai dans les bois que nous connaissons bien.
Il salua le capitaine et sans attendre ma réponse, il s’en alla suivi de son chien. Je claquai la porte, déclenchant le fou rire de mon collègue.
— Raconte !
J’eus l’envie de lui dire d’aller se faire foutre. N’avait-il pas du travail en retard ? Je savais qu’il avait horreur de l’administratif, mais je m’assis face à lui et lui débitai, sans m’étaler, mes vacances avec cet homme.
— Tu l’appelais Paco ?
— Ouais et franchement, je trouve que ça lui allait mieux que ce François Destrée pompeux. Si ça me permet d’en apprendre davantage sur lui, je vais en profiter.
Théo Kawas appuya ses coudes sur mon bureau et me fixa droit dans les yeux.
— Que feras-tu au cas où tu comprends qu’il est ce Robin des Bois moderne ?
— Je le coffrerai, évidemment !
Je n’avais pas baissé mon regard, ma voix n’avait pas tremblé. Théo se redressa et m’avertit :
— J’espère bien. Tu as gagné la confiance de tes hommes ici, tu ne vas pas tout foutre en l’air pour des souvenirs d’enfance.
Il se leva et la main sur la poignée de porte, il se retourna et lança :
— Comment a-t-il su pour ton entrainement dans les arbres ? Je n’étais même pas au courant.
— Sans doute a-t-il lu l’article dans le journal.
— Fais gaffe, Angèle, s’il fait des recherches sur toi c’est qu’il a une idée derrière la tête.
Le bruit de ma moto avait alerté le chien qui aboyait derrière la porte-fenêtre. Tuck, debout sur ses pattes arrière, me regardait en grattant nerveusement la vitre. Soudain, il quitta son poste et François m’accueillit devant l’entrée en jogging noir. Tuck, à ses pieds ne bougeait plus.
— Je savais bien que tu viendrais.
Je n’avais même pas hésité. L’envie de courir avec un chien m’avait toujours tenté. Malheureusement avec Pistole, impossible d’avoir les deux animaux. Il était bien trop exclusif. Ce chat, je devrais plutôt dire ce bébé, je l’avais récupéré dans une poubelle. Ses miaulements m’avaient alertée alors que je passais devant. Depuis son sauvetage, il me vouait un amour inconditionnel.
J’enlevai mon casque et ma chevelure s’écroula. Je l’attachai aussitôt avec le chouchou qui ne quittait jamais mon poignet.
— Je te préférai quand ils étaient détachés, dit François en s’approchant.
Sans façon, il posa sa main sur mon épaule et m’embrassa sur les deux joues. Je captai immédiatement son parfum d’Eau Sauvage de Dior et les souvenirs affluèrent.
Ce matin-là, Paco avait renversé le flacon de son grand-père. Quand nous nous étions retrouvés, je m’étais moquée de lui, parce qu’il sentait la cocotte comme je disais. Furieux, il était reparti et j’avais dû courir après pour m’excuser.
— Salut François !
Tuck s’approcha et me lécha les mains.
— Si Pistole savait ça, il me ferait la gueule toute la journée.
François haussa les sourcils. Je le taquinai :
— Tu n’as pas fait de recherches sur Pistole ? Il est mon chat persan.
Il ne répondit pas et m’entraîna à l’intérieur.
— Où puis-je me changer ?
Il m’indiqua la salle de bains. En bon flic que je suis, je ne pus m’empêcher de balayer du regard la pièce qui ne m’apprit rien, si ce n’était que le propriétaire aimait l’ordre et la propreté. Tout était nickel chez lui.
Une fois prête, François m’entraîna dans la forêt proche de chez lui. Tuck connaissait les lieux, il gambadait devant nous. Soudain, il stoppa et aboya furieusement. Deux hommes s’approchèrent accompagnés de l’animal, ils saluèrent mon ami. Je ressentis aussitôt son raidissement.
— Salut Destrée. J’avais bien reconnu ton chien. Bonjour Madame.
Ils ne s’arrêtèrent pas et poursuivirent leur chemin. François n’avait pas répondu à leur bonjour, il tenait Tuck par son collier qui grognait sourdement.
Mon instinct de flic me dictait de l’interroger, mais tel que je le connaissais, il éluderait mes questions. Je gardai le sourire et préférai ne faire aucune réflexion.
Grâce à ma mémoire visuelle, je saurai les reconnaitre. D’autant plus, que j’avais repéré un véhicule garé dans une allée, machinalement sa plaque d’immatriculation s’était enregistrée dans ma tête.
François parla à l’oreille de son chien. Celui-ci s’approcha de moi et s’assit.
— Tu n’as plus qu’à lui donner l’ordre de te suivre. Il t’écoutera, courra avec toi et s’adaptera à ton rythme. Si tu veux, pour démarrer, tu prends ce chemin, je t’attendrai à la sortie de l’autre côté. Il y a un petit parcours de santé, j’y serai.
Je commençai mon jogging et j’eus l’agréable surprise de sentir Tuck sur mes talons. J’accélérai l’allure et le chien fit de même. Finalement, il se mit à côté de moi. La sensation d’avoir l’animal à mon écoute était grisante. Il y a quelques années, j’aurais pu suivre une formation dans la police et avoir un Berger allemand, je n’avais pas voulu de peur de trop m’y attacher et qu’il lui arrive un accident. Aujourd’hui, quand je vois Tuck m’accompagner, je le regrettais, c’était un régal.
Nous retrouvâmes François comme il l’avait dit. Tuck se coucha aux pieds de son maître. C’est alors que mon portable professionnel bipa. Je n’étais pas de garde, mais je devais toujours être joignable. Légèrement essoufflée, je pris l’appel et fronçai aussitôt les sourcils. J’observai François qui caressait son chien. Je le voyais grimacer quand il se penchait vers lui, ses côtes cassées devaient le faire souffrir.
Lorsque je raccrochai, il m’interrogea du regard.
— Un problème ?
— À toi de me le dire.
Je le contemplai les bras croisés.
— Un nouveau braquage vient d’avoir lieu à la banque. Promets-moi que tu n’as pas prémédité ça pendant que je courrais avec toi ?
Je compris immédiatement qu’il n’était pas au courant. Il n’avait jamais su mentir quand il était gamin et sa colère, certes fugace, qui était passée dans ses yeux, m’apprit aussi qu’il avait prévu que ce genre de choses arriverait.
Journée des enfants, je te laisse avec mes petits héros Héloïse et Stefano. Parfois au détour d’une phrase, la vérité sort de la bouche des enfants 😉😊.
C’était le grand jour, Papa Joe construisait la cabane de Stefano et Héloïse.
Les gamins s’étaient levés de bonne heure, pas de grasse matinée alors que c’était mercredi. Le petit déjeuner avait été avalé à une vitesse grand V. Charlie n’eut même pas de réflexions à faire, les mains étaient lavées, les bouches essuyées, les bols portés sur le lave-vaisselle et la table débarrassée. Joe fit un clin d’œil amusé à sa moitié d’un air de dire que si c’était tous les jours comme ça, ce serait merveilleux.
— Nous sommes prêts.
Héloïse en salopette, casquette sur la tête l’attendait de pied ferme avec un papier à la main. Elle lui tendit et du haut de ses six ans, elle interrogea Joe sérieusement :
— Tu vas suivre mon plan hein ? Je t’ai tout écrit là.
Elle indiqua sur sa feuille les différents dessins. Joe saisit ce qui ressemblait à un plan. Effectivement, une cabane était bien représentée. Il fronça les sourcils.
— Il n’était pas question qu’elle soit installée en haut d’un arbre.
Charlie s’approcha et posa son menton sur l’épaule du grand gaillard. Elle bouscula son chapeau pour mieux voir. Joe avait tout l’air d’un cow-boy même le matin de bonne heure.
Elle murmura :
— Ce serait dangereux non ?
Héloïse montra l’escalier.
— Ah parce qu’en plus, il faut faire des marches ? demanda Joe.
— Comment veux-tu qu’on y monte sinon ?
Les yeux grands ouverts de la gamine le fixaient. Il se sentit idiot d’avoir posé la question.
Stefano regarda son père en haussant les épaules d’un air de dire qu’il n’y était pour rien.
Charlie interrogea la fillette :
— Sur quel arbre avez-vous imaginé cette cabane ?
Les enfants se tournèrent l’un vers l’autre. Ils avaient de ces questions les adultes. N’empêche qu’ils n’y avaient pas réfléchi.
— Ok, j’apporte tout le matériel et on voit ensemble ce qu’on peut faire, proposa Joe qui n’avait quand même pas que ça à faire.
Charlie leur emboita le pas. Elle devait y mettre son grain de sel. C’était elle qui s’était occupée de l’achat du bois malgré les dires de son homme qui ne cessait de répéter qu’elle ne trouverait pas ce qu’il fallait. Pourtant, il la laissa faire. Charlie était la reine du bricolage, il avait déjà remarqué qu’elle avait des doigts de fée et que tout ce qu’elle touchait s’arrangeait sur l’heure.
Les enfants aidèrent Joe à porter les planches sur la remorque du tracteur. Il y déposa son énorme boîte à outils. Héloïse adorait la regarder. Elle lui faisait penser au grand sac de Mary Poppins en moins joli. Joe en sortait tout un tas d’objets qui servait tous à quelque chose. Quand il fouillait à l’intérieur, ça faisait un drôle de bruit et il n’en fallait pas plus pour que la petite fille s’imagine une histoire. Elle se demanda si Dame Tournevis et Seigneur Marteau étaient réveillés.
Ils grimpèrent à côté du siège, Charlie marchait à côté d’eux, accompagnée du chien Texas qui gambadait autour d’elle.
Héloïse désigna le platane qui trônait au milieu du pré peu éloigné de la maison.
— Là, papa Joe, la cabane sera bien.
Il fronça les sourcils. Il n’avait pas pensé à cet arbre, il le regarda mieux en s’approchant. Il n’avait jamais remarqué ses branches qui s’élançaient vers le ciel de cette façon.
— Tu vois, tu fais une échelle et hop !
Il grommela :
— Y a qu’à évidemment. Avec ton crayon, c’est toujours facile.
Mais, il arrêta son tracteur et descendit en sifflotant. Héloïse et Stefano sautèrent de l’engin très excités.
Heureusement que Charlie était avec eux, le travail avançait vite et la cabane prenait forme. Joe ne comprenait pas tout et surtout pas comment les enfants avaient de telles facilités pour emboiter les planches les unes aux autres. Charlie lui dit que le vendeur lui avait vanté ce matériau et qu’il était fait exprès pour le montage rapide de ce genre de construction.
Depuis que Charlie était entrée dans sa vie, Joe s’interrogeait tous les jours sur les dons qu’elle développait. Certes, elle était douée mais quand même ! Cartésien comme il l’était, des choses incompréhensibles pour lui le titillaient souvent, mais devant le sourire angélique de Charlie et son regard limpide, il baissait les armes et abandonnait la partie qu’il savait perdue d’avance.
La cabane était terminée… dans l’arbre. Joe n’en revenait pas. Charlie avait insisté pour la monter et la consolider au milieu du platane qui semblait s’écarter au fur et à mesure que l’habitation des enfants s’installait. Ne restait que l’échelle de corde à accrocher.
— Ah et il ne faudra pas oublier les poubelles pour le tri, dit Héloïse d’une voix ferme. Le Maître à l’école nous a bien expliqué.
— Ben voyons, et je vais les trouver où ? grogna Joe.
— Ne fais pas ton hérisson, répondit calmement Charlie. Regarde, j’avais prévu.
Elle montra les boites avec des couvercles de différentes couleurs. Elle désigna, la jaune pour le plastique, la verte pour les ordures, la bleue pour le carton, et le composteur pour les épluchures.
— Mais ?
Joe souleva son chapeau pour se gratter la tête et demanda :
— Parce que tu crois que les enfants vont manger ici et avoir besoin de toutes ces poubelles.
— C’est pour faire comme une vraie maison, lui répondit avec aplomb Héloïse.
— CQFD, ajouta Stefano.
— Merci Papa Joe.
Héloïse planta deux grosses bises sonores sur ses joues puis elle tapa des mains.
Elle regarda Joe accrocher l’échelle de corde, puis elle le vit retourner à son tracteur. Curieuse, elle le suivit.
— Oh, une balançoire !
Elle ne put réprimer sa joie et se mit à tourner comme une toupie, les bras écartés, pendant que Joe installait à une autre branche la balançoire. Il vérifia la solidité et invita les enfants à l’essayer. Stefano s’y assit le premier et s’élança. Héloïse en admiration le regardait, ébahie.
— Tu me pousseras au début, je ne sais pas trop faire encore.
Joe entoura les épaules de Charlie et tous deux contemplèrent les gamins dont les joues rouges et les yeux brillants exprimaient leur bonheur.
C’est alors qu’ils entendirent le camion poubelle s’arrêter devant la maison. Héloïse le regarda et dit :
— Bientôt, ils ne vont plus avoir de travail, on leur fait tout le boulot.
Et Joe ajouta in petto et en plus on paie plus cher ! Charlie lui fila un coup de coude pour le faire taire. Il sourit mais il n’en pensait pas moins.
Que de bonnes nouvelles, le jardin est en fête 💖💐🌼
Souviens-toi de mes renoncules l’année dernière, grignotées avant même qu’elles fleurissent. Aujourd’hui, elles s’épanouissent et il y en a plusieurs.
C’est au tour des campanules de sortir leurs fleurs bleues.
Lui, n’était pas là, l’an dernier. e viens de le découvrir. Bienvenue au myosotis des champs.
Il n’avait pas fleuri l’an dernier, nous ne savions pas pourquoi. Il parait que le rhododendron s’il a trop d’eau ne fleurit pas 😁, il doit souffrir pour que ses fleurs s’épanouissent. C’est chose faite, sa floraison commence. Je te garantis que je le surveille et que si tous ses boutons s’ouvrent, il va être super joli. Je te tiendrai au courant bien sûr 😉.
Ici, merci aux oiseaux qui nous ont apporté ces graines. Mais qu’est-ce que ça peut bien être ?
Tu as trouvé ? Mais oui, c’est de la moutarde 😂.
Ici, c’est mon jasmin de Virginie qui grimpe tous les jours. Je ne sais pas s’il nous fera l’honneur de nous offrir de belles fleurs oranges, je crois que c’est encore un peu tôt. Là aussi, je te raconterai comment il grandit.
Tu n’as pas le parfum mais je t’envoie avec plaisir mon lilas blanc.
Les pivoines ne sont pas encore ouvertes et le muguet, je pense qu’il n’y en aura pas cette année. C’est une chose que Monsieur Chéri n’arrive pas à garder.
Je me régale avec ces expressions sorties d’une autre époque. J’en emploie certaines et il arrive que mon entourage m’interroge.
— Mais tu sors ça d’où ? Ça existe ?
Saperlipopette, bien sûr que ça existe. Et que dire de Sapristi, qui suivant les dires de Monsieur Pof est un juron familier qui marque l’étonnement.
Imagine un peu…
— Comment allez-vous Très cher ?
— Oui, la vie est chère ! 🤣 Mais pourquoi me demandez-vous ça ?
Effectivement, l’expression Très Cher n’est plus utilisée dans nos conversations.
— Juste Ciel, quel dommage !
Une expression que j’emploie souvent est Bien le bonjour, pour le coup, je te souhaite un jour empli de bonheur 😉. Imagine-toi arriver devant la machine à café, retrouver tes collègues et lancer à la Cantonnade Bien le bonjour. Regarde leurs têtesexprimer la surprise, le questionnement, voire le T’as fumé la moquette ce matin ? ou tu as mangé un clown ? Tu as fait l’école du rire ? Nous sommes loin du gentleman 😉.
C’est un bijou ce petit livre. Il me plait bien. Ce Monsieur POF a toute ma gratitude et je te le partage ce lundi, histoire de garder le sourire.
Extrait 👇
Comment se vêt un gentleman des plus guindés ? Pour ma part, j’ai eu le plus grand mal à dénicher de fringants vêtements… Équipé d’un joli petit arsenal de mots d’époqu, il était impératif d’y associer un zeste de grâce … À la poubelle, les sweat-shirts de gueux, les jeans troués de malotrus et les slips de gourgandin…. Dorénavant, je ne porterai que du classieu, du prestigieux… Il me fallait quelque chose d’à la fois élégant, raffiné… J’optai pour le style vestimentaire du XXe siècle. Des costumes trois-pièces, relativement simples, agrémentés d’une chaînette et, soyons fous, d’un nœud papillon ou d’une cravate…
En cette journée internationale de la Terre, je partage avec toi cette chanson de Mickael Jackson Earth Song. Même si je ne suis pas une grande fan de l’artiste, je dois reconnaitre qu’il était une star du spectacle, à tous points de vue. Je te propose une version live d’un show comme il savait le faire et une d’un autre genre, plus dans l’émotion à mon humble avis. Si tu regardes jusqu’à la fin, la 1ère, je me dis que de nos jours, ce serait interdit ce spectacle, et je pense aussi au Bataclan où la réalité à dépassé la fiction. Quant à la seconde, je te laisse juger par toi-même.