Bavardages au jardin

Bonjour toi 😉. Je te propose aujourd’hui, comme c’est mardi et que le mardi c’est le jour de l’histoire 😊, de partager avec toi ce que j’ai retrouvé dans mes notes et que je n’avais jamais publié. Je l’avais écrit pendant le tout premier confinement. J’avais donné la parole aux animaux.

Rita et Phil le couple de mésanges habitué de la cabane dans le jardin de Jean et Minouche, est revenu. Quand l’un est à la recherche de brindilles et de plumes, l’autre zinzinule pour prévenir si tout est calme et qu’il n’y a pas de danger. Tous les deux posés sur une branche, ils discutent et s’interrogent parce qu’ils se rendent bien compte que ce n’est pas comme d’habitude.

— Rita, c’est bizarre quand même, regarde il n’y a pas une voiture sur la route.

— Demande à Alfred, il doit savoir lui !

Alfred c’est le chien de Jean.

— Oui Rita, il se passe des trucs inhabituels. Mon maître, qui fait toujours du vélo, ne sort plus. Il en fait dans son garage sur une drôle de machine et je n’ai pas le droit de l’approcher, il dit que c’est dangereux si je me prends les pattes dans ses roues. Il a même mis un carton devant la porte pour bien me faire comprendre que je ne dois pas aller l’ennuyer. Tu parles, je pourrais sauter au-dessus si je le voulais, mais je respecte son ordre. 

Marquise la chatte du voisin, curieuse comme ce n’est pas permis, s’est installée sur le mur et écoute la conversation. Elle ne peut pas s’empêcher d’y ajouter son grain de sel.

— C’est rudement bien, je trouve ! Plus de voitures et je ne risque pas de me faire écrabouiller par des fous qui accélèrent quand j’ai le malheur de traverser la route.

— Mais c’est pour ça que je respire mieux alors ?

— Ben c’est sûr, plus de fumée qui s’échappe des camions, des bus, des machins qui roulent à toute berzingue. Ma fourrure est toute soyeuse.

Marquise est une chatte blanche qui se la joue diva.

— N’empêche, il doit se passer un truc grave, car mon maître reste souvent planté devant la télé à écouter. D’habitude, il n’a pas cette tête. Là, je le trouve bien soucieux.

— Oui, et vous savez quoi ? reprend Marquise. Il faut que je fasse attention à ne pas manger trop vite mes croquettes. J’ai entendu que ce n’était pas facile pour sortir en acheter. Du coup, je suis moins gourmande. Ma maîtresse est revenue chercher un papier obligatoire pour aller au magasin. Elle me répète que je ne dois pas l’abandonner, elle n’a plus que moi pour parler.

— En tout cas, pour nous, les oiseaux, le ciel est dégagé. Plus d’avions, plus de trainées blanches. Seuls les nuages nous font des coucous, et encore, il n’y en a pas trop en ce moment.

— Vous croyez qu’il y aura quand même des cerises ?

Voilà Gus le merle. Quel gourmand ! il s’en fiche lui, du moment que les beaux fruits rouges mûrissent comme chaque année.

— Tu sais, répond Phil, rien d’anormal pour ça. Les fleurs naissent de la même façon, les amis tourterelles continuent à roucouler, les coqs à chanter. Rita et moi avons trouvé facilement pour construire notre nid.

— La seule différence c’est que nous entendons davantage nos copains siffler.

— Moi qui surveille toujours devant le portail pour voir si quelqu’un arrive, je n’ai pas grand-chose à faire. Les enfants de Jean ne viennent plus. J’ai cru qu’ils étaient fâchés et j’ai imaginé que c’était à cause de moi, que j’avais peut-être fait une bêtise. Mais non, je les ai entendus parler avec un drôle de truc. J’ai passé la tête, j’en ai profité pour recevoir une caresse de ma maîtresse et j’ai reconnu leurs visages comme à la télé. Tu penses qu’ils vont se voir que sur un écran maintenant ? Ce n’est pas rigolo parce que pour jouer au ballon, ce n’est pas pratique. Mais ce que je préfère, c’est que Jean et Minouche ont bien le temps de s’occuper de moi. J’ai encore plus des caresses qu’avant. Alors, je les regarde avec mes grands yeux d’amour et je fais le pitre pour les faire rire.

— Tu as de la chance, dit Marquise, j’en connais qui ont été abandonnés. Ils ont cru que c’était à cause de nous le truc qui les empêche de sortir.

— Un virus qu’ils disent.

— Mais nous on ne risque rien.

— Vous savez, Paulo, son maître l’a attrapé…

— Et alors ?

— Ben… Paulo est tout seul maintenant. Enfin, il a encore sa maîtresse, mais elle pleure tout le temps. Il n’a même pas pu lui dire au revoir. Il y a aussi Jojo, lui c’est le contraire, il a tous les gosses avec lui. Il y a des fois, il voudrait se cacher pour avoir la paix. Ils ne vont plus à l’école les enfants.

— Bon ce n’est pas tout ça, les amis, le mot d’ordre, c’est qu’il faut leur remonter le moral à tous. Ils nous aiment, à nous de leur montrer que nous aussi on peut les aider.

— Moi je chante.

— Moi je siffle et je m’égosille.

— Moi je ronronne.

— Moi je lèche.

On est là, nous !

— Vous croyez qu’ils vont changer leurs habitudes après ?

— Ça…

J’avais écrit ça en mars 2020. Est-ce que nous avons changé nos habitudes ?

Qu’en penses-tu toi ?

see you soonish
Oui, à très vite…

Mardi écriture – Février ou histoire de la Fée vrillée

Bonjour toi 😉

Tu n’as pas oublié ? Nous sommes mardi et c’est le jour de l’écriture ou d’une histoire 😊.

La fée Vrillée feuilletait son grimoire. Devant elle défilaient ses amies.

La plus grande, la Fée Mur qui le faisait toujours et était sans cesse par monts et par vaux. Venait ensuite la Fée Néant qui était toujours aussi paresseuse et manquait toujours de disparaitre dans le Néant.

La Fée Vrillée sourit. Heureusement que la Fée Dérale la surveillait, celle-là c’était une vraie chef et avec la Fée Rule pas de place pour la surprise.

Ah celles-ci, la Fée Tiche et la Fée Erique, toujours ensembles. Autant pour faire la fête que pour collectionner des objets. Elles s’amusaient à ressembler à la Fée Line qui se déplaçait toujours avec grâce. Rien à voir avec la Fée Culent qui s’empiffrait régulièrement alors que la Fée Roce lui faisait les gros yeux. Une fée devait savoir se tenir ne cessait de répéter la Fée Vrillée, comme la Fée Odale par exemple. Celle-là, une vraie princesse dans son château.

La fée Vrillée referma son grimoire et soupira.

Allons, elle devait saluer ce mois qui arrivait à petits pas avec ses 28 jours. Il n’était déjà pas fier d’être plus petit que ses frères, alors elle n’allait pas en plus oublier de le saluer comme il se doit.

Elle sortit sur le pas de sa porte et s’envola pour parsemer de-ci-delà de la poudre de fée.

Peut-être en as-tu reçu… cela faisait comme des petites gouttelettes de rosée…

february
À très vite…

L’effet papillon…. C’est à cause de la clé…

Il paraît que le battement d’ailes d’un papillon peut engendrer une tornade à l’autre bout du monde.

Et si le réveil n’avait pas sonné ? Et si vous aviez manqué un rendez-vous ? Et si vous étiez en panne de GPS ? Et si…Et si….

Je vous propose de découvrir un extrait de ma nouvelle histoire en cours d’écriture que vous pouvez retrouver https://www.fyctia.com/stories/c-est-a-cause-de-la-cle

Résumé :

Cléo Rose 25 ans. Réceptionniste d’hôtel dans une petite ville touristique. Fille de directeur et directrice d’école, elle n’a pas voulu suivre leur parcours et a passé un BTS Tourisme. Diplôme en poche, elle a trouvé ce poste dans cet hôtel 4 étoiles grâce à la notoriété de son père, fils et petit-fils d’une famille connue de la ville. Arsène Maestro, 45 ans. Réalisateur très connu en quête de son héroïne pour son prochain film. Avec son meilleur ami et scénariste Claudio Copa, ils sillonnent les routes à la recherche du coup de cœur. Par un pur hasard, Cléo va croiser sa route à cause ou grâce à une clé perdue. De quiproquos en situations inattendues, Cléo et Arsène vont dérouler tambour battant le film qui va changer leur vie.

Extrait :

— Vise un peu la rouquine ! Là !

Claudio Copa montra du doigt la jolie fille qui se mettait presque à quatre pattes dans le caniveau. Scénariste et meilleur ami d’Arsène Maestro, le réalisateur de renom, il sentait l’adrénaline courir dans ses veines. Depuis des semaines, ils cherchaient tous deux l’héroïne du nouveau film de Maestro.

— Arrête-toi je te dis !

— Je vais trouver une place de parking, ne t’énerve pas.

— Regarde ! Elle est trop marrante avec ses immenses lunettes qui lui tombent sur le bout du nez. Et ses cheveux ? Tu as vu ses boucles ?

— D’accord, Claudio, j’ai compris, tu as craqué pour cette nana. Qui te dit qu’elle a une belle voix ?

— Baisse ta vitre !

— Mais…

— Baisse ta vitre, je te dis !

La rouquine en question commençait à en avoir ras le bol de ce client à qui tout était permis parce qu’il avait la bourse bien remplie. Ses lunettes glissaient à cause de la chaleur. Ses cheveux qu’elle tentait vainement de jeter vers l’arrière n’en faisaient qu’à leur tête grâce au vent qui venait de se lever. Elle prit sa voix professionnelle, celle dont ses collègues disaient qu’elle faisait penser à celle des aéroports qui annonçaient les vols.

— Je vous assure que Noé n’a pas pu perdre vos clés, il est bien trop perfectionniste.

Pourtant, elle se pencha pour les chercher au sol. Elle sentit le regard des hommes dans son dos. Sa tenue de réceptionniste avec sa mini-jupe serrée et son chemisier ouvert n’était vraiment pas top pour se mettre à quatre pattes dans le caniveau.

Une fois s’être bien rincé l’œil du spectacle, le client mal luné tâta à nouveau ses poches et éclata de rire.

— Vous avez raison, les voilà !

Il les lui glissa sous le nez et lui tendit la main pour l’aider à se relever. Ce faisant, elle avisa une Audi noire, vitre baissée. Elle apostropha l’homme qui la fixait.

— Vous voulez une photo ?

Claudio éclata de rire alors que Arsène fronçait les sourcils.

— Je ne suis pas sûr que…

— Va te garer ! C’est elle je te dis !

Cléo Rose reprit son poste à la réception ainsi que son sourire figé. Encore une heure, elle aurait terminé sa journée. À elle, le maillot et la plage, puis elle retrouverait Sidonie qui tenait la buvette de la paillote.

Elle enregistra les fiches des nouveaux arrivants, donna des clés, remplit les registres, répondit au téléphone pour les demandes de réservations. Elle ne se rendit pas compte que deux hommes, assis dans les fauteuils de l’accueil, la contemplaient.

Arsène Maestro s’imprégnait des gestes de la jeune femme. Il filmait déjà ses cheveux roux emmêlés, captait sa bouche aux lèvres pleines, découvrait ses yeux verts et sa taille fine. Pas très grande, elle pourrait correspondre au rôle principal de son long métrage, une comédie relatant la vie d’une fille qui n’a pas sa langue dans sa poche. En costume, elle serait magnifique. En effet, Ludivine, jeune femme de bonne famille ne voulait pas suivre la voie toute tracée dictée par son père, un vieux grincheux.

— Alors ? Murmura Claudio, n’avais-je pas raison ?

— Allons lui parler, on verra bien.

Ils attendirent que le dernier client soit parti avec ses bagages pour l’approcher.

— Bonjour !

Claudio entama la conversation le premier. Elle leva la tête. Les deux hommes reçurent en plein cœur le regard vert de deux émeraudes.

— Vous vous êtes bien rincé l’œil ? Ça vous a plu ?

Elle les avait donc reconnus. Arsène sourit alors que son scénariste rougissait. Il prit les choses en main. C’était toujours la même chanson, Claudio faisait le malin, puis il restait pétrifié et ne savait plus quoi dire. Devant une belle femme, il perdait tous ses moyens.

Il se présenta.

— Arsène Maestro. Excusez mon ami, il est parfois un peu…

Il hésita.

 — Lourd ?

— C’est le moins que l’on puisse dire.

Elle jeta discrètement un coup d’œil à la pendule. Plus que cinq minutes. Elle espérait que sa collègue n’allait pas être en retard. Avec un peu de chance, c’est elle qui pourrait s’occuper de ces deux pots de colle…

Extrait Noël à la maison des cœurs blessés

Petit extrait de Noël à la maison des cœurs blessés.

Vous pouvez trouver ma romance en version numérique ici

Ou en version brochée ici

Si vous êtes intéressés par les marque-pages et Flyers avec dédicaces, contactez-moi sur isabellemariedangele@gmail.com. Je vous les offre si vous avez commandé le numérique ou le broché. Les premiers envois de mes lecteurs intéressés par la version brochée dédicacée sont partis aujourd’hui. Et vous ?

Je vous présente mes marque-pages et mes Flyers 💖.

Une romance à déguster sans modération n’importe quand…

Romance Cupidonetmoi.com – Extrait

Léandre parut en jeans et torse-nu, ses boucles dégoulinantes sur ses épaules. Il se frotta énergiquement la tête avec une serviette. Il sentait bon le gel douche et Léonie avala difficilement sa salive. Il s’approcha d’elle pour voir ce qu’il avait à proposer comme boisson. Elle resta immobile très troublée par la promiscuité de l’homme qui s’affairait autour d’elle. Il posa la serviette sur le bord du comptoir et saisit une bouteille de vin blanc.

— Nous allons faire la fête, regarde, j’ai un moelleux avec du foie gras. Tu es partante ?

Il se tourna vers elle quêtant son approbation. Il sentit immédiatement la tension sexuelle qui s’installait. Elle le contemplait avec admiration et il ne fut pas certain qu’elle ait entendu sa question. Quand elle se rendit compte du silence pesant, elle rougit, se reprit et répondit :

— Parfait ! Je n’ai pas l’habitude de manger du foie gras comme ça.

Elle se détourna. Il posa la bouteille.

— Léonie ?

Elle se retourna trop vite et se colla à lui. Beaucoup plus petite que lui qui mesurait un mètre quatre-vingt-dix, sa bouche rencontra sa peau nue. Il la souleva et l’installa sur le comptoir.

— Ce sera beaucoup plus pratique, tu ne crois pas ? murmura-t-il de sa voix rauque.

Ils étaient tous deux face à face. Lui, toujours torse nu. Elle n’osait plus le regarder, son cœur battant la chamade. Que cet homme avait du charme ! Elle n’avait pas ressenti ça depuis des années, mais impossible de tomber amoureuse d’un agriculteur, ça ne collerait pas. Pourtant, quand il saisit son visage d’une main et que de l’autre, il fourragea dans ses cheveux, elle faillit lâcher prise.

La suite c’est ici

Mon thriller : Extrait

La photo est celle de mon atelier où naissent toutes mes histoires 🙂

Chapitre 27

Hugo Cortilla et Esteban Blaviso contemplaient avec stupeur les deux visages affichés. Les deux hommes qu’ils avaient surpris en grande conversation avec Frédéric Marteau avaient tous deux, fait de la prison.

— Convoquons-les ! dit aussitôt Esteban

— Sous quel prétexte ?

Hugo regarda son collègue.

— Nous n’avons aucun motif pour les faire venir ici et comment leur expliquer que nous les avons pris en photo ?

Le colonel Faventiny qui entrait dans leur bureau entendit la dernière phrase.

— Il y a des moments où il faut tricher avec les règles. Inventer un banal contrôle de police par exemple. Je ne vais pas vous apprendre votre boulot, les gars !

Les deux hommes contemplèrent le père de leur commandant.

— Nous allons tout reprendre depuis le début, proposa Hugo. Il y a certainement un détail qui nous a échappé.

— On ne peut pas dire mieux, grommela le colonel. Mais vous allez encore perdre du temps. À la base, pourquoi mon fils et ma belle-fille ont-ils hérité de cette maison ? Il faut chercher de ce côté. Ensuite, pourquoi la copine de Marteau a-t-elle été assassinée ? En fait, vous n’avez rien fait. Vous ne savez rien. Vous êtes des triples buses.

Le colonel Faventiny était très en colère. Hugo, vexé, se tut. Esteban, lui, se rebiffa aussitôt.

— Vous êtes dur Colonel ! Le commandant on l’aime bien, on a toujours fait ce qu’il nous disait et…

— C’est justement ça le problème l’ami, il n’est plus là, il a besoin de votre aide, alors bougez-vous. Je ne le répéterai pas deux fois.

Il sortit en claquant la porte.

— Il a raison Esteban ! Il faut qu’on se bouge le cul !

La suite c’est ici

Bonne lecture amis de passage sur mon blog 😍💟

Cupidonetmoi.com

Nouveau concours sur https://www.fyctia.com/stories/cupidonetmoi-com ou vous découvrirez ma nouvelle histoire. Je vous joins le résumé ci-dessous :

Léandre Castillo est agriculteur dans une commune rurale. Ses seules passions sont ses vaches, surtout Rosalie qui a tendance à déprimer et à beugler quand elle se sent seule. Son meilleur ami, Marc Agosta ne rêve que d’une chose : lui trouver une femme.

Léonie Capdabelle est coiffeuse dans une petite ville. Sa clientèle, majoritairement féminine, l’apprécie beaucoup et n’hésite pas à faire appel à elle à n’importe quelle heure. Mariette Aglaé son associée et amie aimerait qu’elle soit plus disponible pour avoir une vie privée, qui est pratiquement inexistante.

La nouvelle application Cupidonetmoi.com est faite pour réunir les couples. Seul leur véritable nom est entré dans la machine, elle fait le reste. Son but : que chacun trouve l’âme sœur. Mais un jour, Cupidonetmoi.com beugue…

Lords et Ladies

Les sœurs de Romagne

Le comte Rodolphe et la Comtesse Sophie De Romagne ont deux filles. Adélaïde, vingt-cinq ans, qui n’a toujours pas compris que les années ont changé et que le temps de la noblesse est révolu. Héloïse, la cadette, qui va fêter ses vingt ans, et qui au contraire de sa sœur est bien une jeune de notre époque.

Adélaïde va se marier avec Geoffrey de Lamarlière. Est-il vraiment amoureux ? Que cache-t-il ?

Héloïse semble reconnaître le palefrenier Emilio qui s’occupe des chevaux du Comte. Qui est cet Emilio qui se fait appeler Emilio De rien du tout ? Rodolphe de Romagne paraît bien le connaître pourtant !

Entre l’une qui vit au temps d’avant et l’autre qui est bien une fille d’aujourd’hui avec un nom à particule, les répliques font mouche. Vont-elles trouver le bonheur ?

A suivre ici

Nouvelle romance en concours

N’oubliez pas le thriller Un héritage empoisonné est toujours en lice ici

Vous avez dit Thriller ?

Résumé :

Coralie et Daniel Faventiny sont jeunes mariés et ont hérité d’une superbe bâtisse qui ressemble à un château. Il est commandant à la brigade criminelle, elle est médecin légiste.

Ils ne sont pas arrivés depuis dix minutes que déjà, des petites choses les intriguent comme des sels de bain autour du jacuzzi, un lit fait avec leur parure de draps, et aussi une porte qui claque alors qu’elle est censée être inhabitée depuis longtemps.

Mais de qui vient cette maison et pourquoi l’ont-ils reçue en cadeau de mariage ?

Extrait …

Ils étaient à peine à l’intérieur qu’un bruit au loin dans la maison claqua.

— Tu as entendu ?

— Sans doute un courant d’air quand nous sommes entrés.

— Il faudra vérifier les ouvertures.

— Ah ! tu ne vas pas commencer Dany, ne joues pas au flic avec moi.

Il ne répondit pas et entraina sa compagne dans l’escalier qui menait à l’étage.

— Tu as remarqué ?

— Quoi encore ?

— Il ne fait pas froid !

Effectivement, pour une maison qui devait être fermée depuis longtemps, il n’y avait aucune trace d’humidité et d’air cru.

— Et ça ne sent pas le renfermé, répliqua Daniel.

— C’est génial ! Il n’y aura pas de gros travaux à faire.

— Si c’était le cas, nous pourrions toujours la revendre. S’il ne fait pas froid, il ne devait donc pas y avoir une fenêtre ouverte, remarqua Daniel.

— Il ne fait pas non plus, une température en dessous de zéro, Dany. Dis-moi ce qui te tracasse, tu ne l’aimes pas la maison ?

— Je suis très méfiant. Mais continuons de visiter.

Coralie partit devant et poussa les portes de l’étage une à une. Elle resta pantoise face à la salle de bains.

— Tu as vu Daniel ?

Comme il ne répondait pas, elle se regarda dans le miroir. Jolie brunette aux cheveux longs toujours attachés. Pourquoi avoir une telle masse lui répétait sa collègue si tu dois souvent les remonter. Personne ne pouvait comprendre. Sans sa tignasse, elle se sentait toute nue. Et puis Daniel l’aimait ainsi.

Un jacuzzi la narguait. Dernier modèle, s’il vous plait ! Ce qui l’intrigua encore plus c’est que différents sels de bains et de gels douche étaient disposés sur le rebord. Si son homme voyait ça, il allait de nouveau se poser des questions. C’était bizarre quand même !

Deux vasques faisaient face à la glace. Elle n’aperçut aucune serviette accrochée.

Elle ressortit de la pièce et poursuivit ses investigations, en ouvrant les portes les unes après les autres. Trois chambres de dimensions raisonnables se suivaient. Elle appela à nouveau son mari. Laquelle allaient-ils choisir ?

— Daniel ?

— Je suis en bas. Viens voir la cuisine.

Elle dévala l’escalier.

— Du chêne ! mazette !

— Pour le coup, ce n’est pas moderne.

— Tu aimes chérie ?

— Je ne vais pas faire la difficile et puis franchement, quand le camion va débarquer avec toutes nos affaires, la pièce prendra une tout autre allure.

— D’ailleurs, leur arrivée est pour quand ?

Coralie regarda sa montre.

— J’imagine qu’ils ne vont plus tarder.

— Viens, continuons notre visite. Quelle chambre préfères-tu ma puce ?

Ils repartirent à l’étage. C’était bizarre de découvrir une maison qui allait devenir la leur alors qu’ils ne l’avaient jamais vue. Par rapport à leur appartement, classe, d’accord, il n’y avait pas photo, ici il y avait de la place pour recevoir leurs amis.

— J’ai réfléchi que nous pourrions pendre la crémaillère prochainement non ?

Ils étaient sur le palier et poussèrent la première porte. Coralie stupéfaite contempla le lit.

— Tu as vu ? Il est fait ! Je suis certaine qu’il ne l’était pas quand je suis venue tout à l’heure.

— La personne est rudement rapide. Quand je pense à nos galères pour bien tirer la couette.

— Daniel, je ne plaisante pas. Il y a quelques instants, tu râlais parce que tu avais entendu une porte claquer, et là, tu n’es même pas étonné ? De toute façon, je ne dormirais pas dans ces draps. Imagine qu’ils soient sales ?

Elle s’approcha pour les sentir. Un subtil parfum d’adoucissant lui chatouilla les narines.

— C’est le même que le nôtre. Fleur de coton.

En se penchant sur le lit, elle reconnut sa parure.

— Mais regarde ! C’est celle que nous avions encore hier soir !

La suite c’est ici Un héritage empoisonné 😊

N’hésitez pas à Liker pour débloquer les chapitres suivants. C’est un super challenge que je me suis fixé. Merci 🧡

Casser trois pattes à un canard

Cette expression, je l’ai utilisée il y a peu, en rapport avec une certaine photo publiée sur https://mauxetcris.com/ 🤣 En clair, elle veut dire que c’est d’une banalité à vous couper le souffle 😂.

Chez https://lilousol.wordpress.com/ les expressions rigolotes ont la côte, et moi, celle-là, elle me plait bien. Vous pensez bien que les canards à trois pattes n’existent pas 😂 d’où l’expression ! En clair, ça ne casse rien, mais c’est beaucoup moins imagé. Vous ne trouvez pas ?