Bavardages et Inspiration

Bonjour toi 😉

Il arrive qu’une histoire commencée ne trouve pas sa suite. Pourquoi ?

C’est une bonne question à laquelle, je n’ai pas forcément de réponse. Ici, il s’agit de J’aime un voyou au grand cœur.

J’ai démarré cette histoire dans le cadre d’un nouveau concours et puis j’ai lâché. Je suis restée bloquée sur un chapitre. Les mots m’ont fait faux bond, l’imagination s’est fait la malle et j’ai fermé mon ordinateur, déçue. Je ne suis pas revenue dessus. Je suis d’autant plus frustrée que j’avais commencé à vous le publier parce que j’étais certaine d’aller au bout.

Aujourd’hui, ces personnages me titillent comme s’ils voulaient absolument que je continue leur histoire à peine ébauchée. Il parait que lorsqu’apparait un blocage c’est que le texte n’est pas bon, qu’il y a quelque chose qui cloche. Je crois que dans ce cas précis, c’est tout qui est bancal et qui doit être revu.

Voici l’image qui représentait mon personnage principal 👇Angèle Merlin

Commandante de Police, fan de moto. Une toute nouvelle héroïne dont le caractère se rapprocherait de celui de Muguette. Voici son chat Pistole 👇.

Comment imaginer Paco, alias François Destrée le directeur de banque, l’ami d’enfance, qui pourrait être le voyou au grand cœur. Un Robin des bois moderne en quelque sorte. Adepte d’escalade, il arbore un corps musclé et tatoué.

Le voici décontracté 👇 ou au bureau 👇

Dans sa tenue de justicier 👇 😉 ou en train de faire de l’escalade 👇

Voici son chien Tuck, un berger australien tricolore 👇

Je mélange le tout et normalement mon imagination se met en route. J’en suis au 9ème chapitre et toi tu en es au 3ème.

Alors est-ce que je suis dans cet état d’esprit pour la suite 👇

Je t’ai fait une blague, tout va bien 😂

Ou bien dans celui-là 👇

Il y a du travail, je réfléchis 🤔

Ou encore 👇

C’est vraiment la galère 🧐😕😯

Et finalement

J’abandonne 🥱

C’est fichu, l’inspiration ne vient pas 😂😂😂.

Là pour le coup, je m’y mets 😂

À très vite…

Journal d’Oxybulle -2

Coucou les amis 🐕

Tu ne devineras jamais ce que ma maîtresse a acheté …

Figure-toi qu’Elle et Lui aiment faire du vélo. Dès que je la voyais chausser ses baskets, attacher ses cheveux, je savais qu’elle allait m’abandonner. (Oui, elle fait un drôle de truc sur sa tête, elle ne le fait que pour ça, sinon, elle a toujours les cheveux longs). De plus, elle met un casque, ça s’appelle comme ça parce qu’une fois que Lui l’avait posé au sol et que j’étais allé le renifler, il avait grondé Ne touche pas à mon casque.

Je suis sage quand ils me laissent à la maison et même si les grands savants racontent que je n’ai pas la notion du temps, je me rends bien compte que ce n’est pas pareil lorsque je suis toute seule.

Un après-midi, ils m’embarquent avec eux dans la voiture. Je n’avais pas mon panier, j’en ai déduit que ce n’était pas pour un voyage.

Nous sommes arrivés devant une maison, ils me descendent et je remarque qu’il y a un chien derrière le portail. Il m’a fichu une de ces trouilles ! Tellement bien que je n’ai pas voulu avancer. Les autres propriétaires ont enfermé mon congénère qui, pas content du tout, s’est mis à gémir. J’étais fière de rester avec les miens, moi.

Lorsque j’ai vu débarquer ce truc… je faisais moins la maline. Ma maîtresse a pris sa voix douce pour me rassurer, je lui fais confiance, elle ne m’a jamais fait mal, mais là pour le coup, j’étais en panique.

Elle m’installe dans ce tout panier et pose comme une cage au-dessus. Prisonnière ! Je me mets à tourner en rond dans ce tout petit réduit. Les caresses de ma maîtresse m’ont quand même fait du bien et je me suis calmée, surtout que je n’y suis pas restée longtemps.

J’ai regardé avec curiosité le vélo d’Elle et lorsque j’ai vu que Lui installait le panier sur son vélo, j’ai pigé le truc. C’était pour que je les accompagne en promenade.

Rebelote, une fois celui-ci bien accroché, me revoilà campée sur mes pattes dedans. Cette fois, je me tiens sage, j’ai compris. Elle s’assied devant moi et c’est parti. Bon, c’était juste un essai, mais le lendemain, c’était pour la grande balade.

J’avais les couettes au vent, je tournais la tête de chaque côté pour ne rien rater du paysage. De temps en temps, je grattais le dos de ma maîtresse avec ma patte. Elle me parlait, Lui me prenait en photo. Une vraie vedette !

Je ne te raconte pas comment les gens nous regardaient passer avec curiosité. Il faut dire que le vélo d’Elle, il en jette ! Et le panier derrière elle, avec moi, c’est d’un chic !

À la prochaine…

À très vite…