Mon mot phare est RIRE 😂, je te propose un florilège d’expressions avec ce mot.
Mourir de rire 😉. Quel dommage d’en mourir ! avoue que c’est bête. Dans Mary Poppins, c’est pourtant ce qui arrive au vieux directeur de la banque 😉. Fais quand même attention de ne pas sortir de blagues trop rigolotes, le philosophe grec Chrysippene s’en est pas remis… de sa blague.
Dans le même genre, c’est rire comme un bossu qui viendrait du fait qu’on se tordrait de rire et du coup je te propose de te fendre la poire.
Plus on est de fous, plus on rit veut dire tu es le bienvenu, allez viens.
Rira bien qui rira le dernier ici, on est dans l’attente. Quelqu’un s’est amusé à frimer, on verra bien s’il frimera longtemps 😉.
Si tu passes du rire aux larmes, tu es comme Jean qui rit et Jean qui pleure, mais après tout, il vaut mieux en rire que pleurer quand tout va de mal en pis.
Tu peux aussi rire de bon cœur ou comme les bébés rire aux anges, ou rire de tout et de rien.
Tu n’es pas obligé d’avoir une barbe pour rire dans ta barbe, c’est-à-dire rire discrètement ou alors rire sous cape (en te cachant) au contraire de rire comme une baleine où tu as la bouche grande ouverte.
Mais c’est pour rire, ce billet 😂.
Ce n’est pas bien de rire à ses dépens, il pourrait rire jaune. À part qu’il soit Pince sans rire, il gardera toujours son sérieux même s’il plaisante.
Il a le mot pour rire, histoire de détendre l’atmosphère et puis arrête de me rire au nez.
C’est en me promenant sur les blogs d’amis, que j’ai découvert celui de Josée. Comme c’est lundi et que je n’aime pas le lundi, pourquoi ne pas démarrer la semaine avec elle, histoire de la commencer de bonne humeur, avec entrain et bonheur 😉.
Son article sur le mot phare m’a interpellée, il est celui que tu auras choisi pour t’accompagner toute l’année.
Je n’ai pas cherché longtemps parce que ce mot m’est apparu rapidement comment une évidence. C’est Rire.
J’ai constaté que je ne riais plus aussi souvent qu’avant. Même si sur ce blog, tu me trouves amusante et rigolote, dans la vraie vie, mes éclats de rire se font plus rares.
Du coup, ce mot m’accompagnera toute cette année 2023. Qu’elle soit donc éclairée de sourires, de joie, gaieté, bonheur, et que chaque jour, un éclat de rire égaye la maison. Il parait que c’est très bon pour la santé, que ça fait travailler tout un tas de muscles et qu’une franche partie de rigolade équivaut à manger un steak 😂.
Merci Josée pour cette belle idée et toi qui passes ici, n’hésite pas à aller sur son blog, Josée distribue du bonheur à tout va 💖.
Toujours chez elle, elle nous fait part de ses 23 intentions et non pas résolutions pour cette année 2023 (d’où le chiffre 23). J’y réfléchis encore 😉et je reviendrai t’en parler 💖.
Si je reprends mon calendrier de l’Avent, sourire à un inconnu, as-tu déjà essayé ?
Alors dans ce monde bizarroïde plusieurs scénarii s’offrent à toi. Comme je suis assez joueuse, j’imagine …Evidemment, je me suis inspirée de scènes vécues, vues, regardées, va savoir… Amuses-toi à faire le tri dans ce qui est la réalité ou pas 😁.
Ernest avait l’habitude de promener son chien. Celui-ci tirait sur sa laisse parce que son maître n’allait pas assez vite. Il trainait un peu la patte, mais Médor pas du tout. Fougueux et plein de vie, il avait envie de sentir l’herbe là-bas…
Augustine était sourde comme un pot aussi pour se faire respecter par Lino, son berger australien elle lui hurlait dessus. Pauvre bête qui ne savait pas si elle le disputait ou si elle lui faisait un compliment vu que le ton était toujours le même.
Médor repéra aussitôt son congénère. De même taille, mais pas du tout de la même race, lui, il serait plutôt un croisement d’un chien avec un autre… il tira plus fort.
Ernest suivit parce qu’il ne voulut pas lâcher la laisse et arriva ce qui devait arriver, elles s’emmêlèrent et l’homme faillit s’étaler devant Augustine. Elle lui fit son plus beau sourire oubliant qu’elle n’avait pas mis son dentier.
— Vous ne vous êtes pas fait mal ? Lino couché !
Le chien mort de trouille s’allongea instantanément et Ernest ne sut que dire devant le ton employé et le sourire qui lui fit froid dans le dos. Il ne put que bégayer un Excusez-moi en se baissant pour dégager la laisse et sans demander son reste, aussi vite qu’il le put, il s’enfuit, Médor se faisant trainer parce que lui avait envie de jouer avec son nouveau copain. Les gens sont vraiment bizarres, se dit Ernest. Pourquoi me criait-elle dessus ? Je n’ai pourtant rien fait de mal.
Augustine quant à elle pensa tout haut : quel malotru ! ça m’apprendra à sourire à un inconnu.
Morale de cette histoire : Vérifie toujours que tu aies ton dentier avant de sourire 😁🥴.
Ginette faisait son footing tous les matins. Elle ne croisait pas souvent grand monde et ça l’arrangeait, du genre plutôt sauvage, la solitude lui allait très bien.
Robert venait d’emménager. Il ne connaissait pas trop l’endroit, mais féru de course à pied il décida de découvrir son nouvel environnement. Il chaussa ses baskets et prit le premier chemin qui se présentait à lui.
Il repéra rapidement la joggeuse qui s’avançait vers lui. Elle allait sans doute pouvoir le renseigner sur les itinéraires intéressants. Elle semblait être du coin et vu les foulées qu’elle allongeait, pourquoi ne pas s’entrainer avec elle ?
Il lui fit son plus beau sourire quand elle arriva à sa hauteur et tenta un début de conversation :
— Bonjour !
À peine un salut et Ginette ne ralentit même pas sa course. Pour qui se prend — il ce mec ? Ce n’est pas parce qu’il s’est parfumé qu’il doit se croire tout permis. Il a dû renverser la bouteille.
Dépité, Robert continua sa course en solitaire.
Morale de cette histoire 1 : Si tu pars faire ton jogging, oublie le déo Axe, ça ne marche pas à tous les coups et tu sais bien que la pub est mensongère, les filles ne tombent pas à tes pieds.
Morale de cette histoire 2 : N’imagine pas que tous les mecs veuillent te draguer quand ils te font un sourire, ils veulent peut-être juste te dire bonjour.
Gérard et Huguette ont l’habitude de faire une promenade digestive. Ils avancent tranquillement sur ce petit chemin qu’ils empruntent régulièrement.
Marcelle se sent bien seule. Voilà quelques semaines que son compagnon est parti pour le long voyage. Elle n’a pas encore osé refaire les balades qu’ils arpentaient ensemble main dans la main, mais aujourd’hui, le soleil l’incite à prendre l’air. Triste, elle se met en route.
Tête baissée, elle avance, le cœur en déroute et les yeux noyés. Elle n’a pas vu le couple en face d’elle qui s’écarte pour la laisser passer sur ce chemin étroit. C’est en levant la tête qu’elle croise leurs regards. Elle affiche alors un sourire tremblant et s’excuse de sa distraction.
Ils lui rendent son sourire et engagent la conversation. Ils ont l’habitude de faire cette promenade après leur repas, ils habitent juste à côté. Si ça l’intéresse, elle peut se joindre à eux, c’est toujours plus agréable à plusieurs, on peut discuter et faire connaissance, bien sûr si ça ne la dérange pas.
Marcelle accepte, cette première sortie en solitaire était vraiment trop difficile.
Morale de cette histoire : Fais confiance à la vie, un sourire ne t’engage à rien, mais il peut t’apporter tellement.
Lulu n’aime pas l’école. C’est pourtant sa 1ère rentrée, mais il sait que ça ne va pas être son truc parce qu’il va quitter sa maman, d’ailleurs rien qu’à voir comment elle s’y prend pour lui faire un câlin, il a tout compris, la séparation n’est pas loin.
Clara adore retrouver ses copines de crèche. Elle commence l’école aujourd’hui, mais elle a déjà aperçu Lily qui était arrivée, elle embrasse sa mère et part mettre son sac au porte-manteau comme une habituée.
Elle manque renverser Lulu qui s’accroche aux bras maternels comme à une bouée de sauvetage.
— Faut pas pleurer !
Lulu lève la tête et rencontre deux yeux bleus entourés de deux couettes avec des élastiques en forme de cerise. Le tout est accompagné d’un sourire éblouissant. Il oublie sa peine et sourit en retour.
— La petite souris est passée ? T’en as de la chance, moi ma dent n’est pas encore tombée, mais regarde elle bouge.
Morale de cette histoire : Un sourire édenté n’a pas le même impact à trois ans qu’à 70 😂.
T’étais-tu déjà posé la question pourquoi les panneaux savaient ? Mais savaient quoi ? Léon et Oscar ont compris eux !
Léon et Oscar, deux lascars de six ans, copains depuis la maternelle, voisins de surcroit et ayant déjà fait pas mal de bêtises ensemble, ont fait leur entrée en primaire et sont fiers de savoir lire ou à peu près.
En promenade avec leurs parents respectifs, ils s’amusaient à déchiffrer les panneaux d’affichage et les signalisations diverses.
Léon, le premier arrivé devant l’un d’eux, s’arrêta tout excité. Il cria à son compère qui courait derrière lui les joues cramoisies et essoufflé :
– Tu as vu le panneau, il est super intelligent, il sait qu’on est là !
– Pourquoi ?
Oscar reprenait son souffle.
– C’est écrit : vous… êtes… ici.
Léon déchiffrait mot à mot et il était fier de lire la phrase en entier.
– Vous êtes ici !
Oscar ne comprenait pas comment un panneau pouvait savoir qu’il était là. Il le contourna, s’accroupit, le toucha, et repartit à toute vitesse vers ses parents qui s’étaient attardés.
– Papa, maman, le panneau, il est drôlement fort, il sait qu’on est là !
– Ce n’est pas la peine de hurler Oscar, commenta son père en souriant, mais voyons voir ce panneau !
– Dépêche-toi.
Oscar attrapa sa main et l’entraîna.
– Ne cours pas si vite, il ne va pas s’envoler ton panneau.
Maman préféra rester sur place avec les parents de Léon. Celui-ci était campé devant le tableau d’affichage.
– Vous êtes ici !
– C’est vrai que vous êtes là, dit papa, parfait.
– Comment il le sait ?
– Mystère !
Papa fit un clin d’œil à son fils.
– Allez les garçons, on continue.
Les voilà repartis gambadant de plus belle et Papa attendit les retardataires surveillant du coin de l’œil les deux gamins.
– Regarde un autre !
Oscar et Léon n’en revenaient pas. Vous êtes ici les narguait à nouveau.
– On est suivi, c’est sûr !
Ils se retournèrent, inquiets.
– Personne ! Tu sais quoi Léon, tu vas retourner à l’autre panneau et tu me diras ce qui est écrit.
Le voilà qui détala, dépassa ses parents interloqués et se planta devant.
– Vous êtes ici ! hurla Léon.
Oscar le rejoignit.
– On va demander à papa et maman si sur l’autre c’est encore écrit.
Ils repartirent en sens inverse, interrompant les adultes en grande conversation.
– Dis papa, tu veux pas aller voir sur le panneau là-bas, si c’est écrit vous êtes ici et…
– Léon, combien de fois faudra-t-il te dire de ne pas nous interrompre !
– Mais c’est important, vite, il faut que tu ailles voir le panneau ! S’te-plait !
Les parents des deux compères se regardèrent en riant et acceptèrent de jouer le jeu, ils allongèrent donc le pas et se retrouvèrent devant un panneau qui indiquait effectivement vous êtes ici.
Léon et Oscar plus loin, leur faisaient de grands signes et hurlaient à qui mieux mieux :
– Nous aussi, c’est écrit vous êtes ici !
– Vous allez vous casser la voix à crier comme ça !
Un vieux monsieur appuyé sur sa canne, les contemplait sourcils froncés.
– Bien sûr que vous êtes ici, vous faites assez de bruit pour qu’on s’en rende compte vous avez même affolé mon chien !
Les deux petits n’étaient pas rassurés, mais Oscar plus bravache que son copain relèva le menton, frondeur.
– Et comment qu’il peut le savoir le panneau qu’on est là ?
– Parce que je lui ai dit !
Le papy toujours appuyé sur sa canne, les regarda dans les yeux. Oscar imperturbable continua :
– Ah oui, et à l’autre panneau aussi, tu lui as dit ?
C’est à ce moment-là que leurs parents les rejoignirent. Ils’excusèrent auprès de l’inconnu du bavardage des deux garçonnets.
– Vous devriez leur expliquer.
– Quoi donc ? demanda le papa d’Oscar
– Que c’est moi qui renseigne les panneaux.
– Pardon ?
– Oui, dit Oscar, c’est lui tu vois, qui leur dit vous êtes ici, c’est gentil quand même, comme ça on n’est pas perdu ! Toi qui répète toujours de faire attention de ne pas se perdre, ben tu vois, le monsieur lui, il le dit au panneau.
Les parents sourirent avec indulgence, se demandant déjà, comment ils allaient expliquer à leurs garnements, que ce n’était pas tout à fait vrai cette histoire, mais Léon plus pragmatique interrogea :
– Tu fais comment avec ta canne, pour aller assez vite pour prévenir les panneaux ?
Il faut bien reprendre les bonnes habitudes même si c’est encore les vacances et que j’ai mis mon cerveau au repos 😂 (quel cerveau ? 😁), ça commence bien 😂. Bonne fête Alphonse 😊.
À la Saint Alphonse, je fonce
À la Saint Alphonse, au téléphone, pas de réponse 😁
À la Saint Alphonse, c’est le jour des petites annonces 😉
À la Saint Alphonse, va voir le film Raiponce 😂
À la Saint Alphonse, va donc à Bordeaux sur la place des quinconces 😉
Finalement, je vais créer une catégorie pour les À la… Tu retrouveras mes bafouilles là 😂. C’est parti pour la Sainte Germaine 😂, je te préviens, j’ai la plume malicieuse et un brin chipie, mais que veux-tu c’est la faute à la rime 😂. Tu peux en ajouter en commentaires, ne te prive surtout pas.
Les premières sont gentilles 😉
À la Sainte Germaine, au bout du chemin le domaine 😊
À la Sainte Germaine, prépare ta semaine 😊
À la sainte Germaine, Elle file la laine
Ici, ça commence à piquer 😂
À la sainte Germaine, gare à la mauvaise haleine 😂
À la Sainte Germaine, Messieurs rentrez votre bedaine 😂
À la sainte Germaine, tu dégaines ?
Aïe !
Je termine par celle- ci : À la Sainte Germaine, soleil pour toute la semaine 🌞🌞