Bonjour toi 😉💐

Bon samedi 💖

Bonjour toi 😉💐

Bon samedi 💖

Bonjour toi 😉
Un peu d’humour en ce vendredi ne te fera que du bien 😁, sourions ensemble 😉, c’est fou comme je me reconnais dans tout ça 😂.











Bonjour toi 😉
Cet haïku a été trouvé avec Millie, Monsieur Chéri et Minimaxi pendant le petit déjeuner, c’est donc une collaboration familiale 😂.

La pluie au printemps
Mélodie sur les pavés
Jardin parfumé
© Isabelle-Marie d’Angèle (avril 2024)

Bonjour toi 😉

C’est un matin comme les autres où MaLou et PaLou vont sortir faire leur marche avant le petit déjeuner.
Millie est en vacances et malgré qu’il soit tôt, elle est réveillée et descend l’escalier alors que MaLou allait partir.
— Je peux venir avec vous ?
Elle a vu qu’Oxybulle était aussi prête, pourquoi pas elle ?
— OK, dit MaLou, va t’habiller et prend ton manteau, il ne fait pas chaud.
PaLou sort le premier, les filles le rejoindront.
Les voilà parties avec Oxybulle qui comme d’habitude tire sur sa laisse, trop heureuse de prendre l’air si tôt (il est 8 h, ce n’est pas non plus les aurores 😂).
— Hum, j’espère que nous n’allons pas nous mouiller, remarque MaLou qui sent comme une bouillasse fine qui tombe.
— Je n’ai pas de capuche, mais c’est pas grave.
Bavardages, rires et marche d’un bon pas. Millie se demande si PaLou a pris beaucoup d’avance.
— Ne t’inquiète pas, il passe par un endroit, nous par un autre, nous le rejoindrons.
Oxybulle avance aussi à une bonne allure et les filles de même. Pas grand monde sur la route, c’est les vacances, pas de bouchon. Elles croisent peu de monde et tournent à droite.
— C’est par là qu’il est passé PaLou ?
Millie semble inquiète alors qu’Oxybulle connait le chemin par cœur.
— Tu vois, montre MaLou, PaLou passe à gauche et nous à droite.
Oxybulle traverse la route et s’engage sur un chemin piétonnier. Il y a de l’herbe, elle va pouvoir faire ce qu’elle a à faire 😉, elle est très propre, elle choisit toujours un coin herbacé.
— Bientôt, nous allons retrouver PaLou
Et toc, impact ! le voilà qui débouche. Nous continuons notre tour alors que lui, commence son 3e, (pas de commentaires, il est parti plus tôt et a de plus grandes jambes 😁).
Un Jack Russel nous suit avec sa maitresse qui n’a pas l’air d’apprécier qu’il aboie en croisant Oxybulle qui évidemment n’est pas en reste. Nous allons réveiller tout le lotissement qui semble endormi.
— T’as vu MaLou, elle frappe son chien.
Millie est scandalisée.
— En plus, je suis sûre que c’est pour ça qu’il crie, elle lui a fait mal.
— T’es sûre, demande MaLou.
— Regarde, elle a un bâton dans sa main.
PaLou les rejoint et leur dit de se dépêcher, le ciel est menaçant. Il ne croit pas si bien dire. Ça commence par une petite pluie fine qui se transforme rapidement en déluge. Il reste 2 kms à faire. Les cheveux de Millie sont trempés en un rien de temps et le blouson de Malou n’est pas mieux. Quant à Oxybulle, elle les regarde d’un air dépité, jamais elle ne reste sous la pluie. PaLou propose à Malou et Millie de se mettre à l’abri sous un arbre (petit et pas encore très feuillu 😂) et part en courant chercher la voiture. Pourvu qu’il ne se casse pas la figure, pense MaLou.
Ah, elles ont bonne mine, MaLou et Millie sous leur arbre. Celui-ci est situé juste devant la maison où le copain d’Oxybulle qu’elle voit tous les matins, lui fait coucou. Il s’approche du grillage et les regarde. Il ne comprend pas ce qu’elles font là. Lui, sous sa haie, il est à l’abri, il leur proposerait bien de venir avec lui mais comment le dire ? 😉 et puis le portail est fermé et il n’a pas la clé 😁.
La pluie redouble de violence, le vent s’en mêle, ce ne serait pas drôle sinon. MaLou prend une photo d’elles deux, ce sera un beau souvenir.
Finalement, c’est MiniMaxi qui vient les chercher, mort de rire. Oxybulle qui a reconnu la voiture, tire sur sa laisse pour grimper la première.
Il ne reste plus qu’à se sécher les cheveux, démêler et brosser Oxybulle dont l’attitude correspond bien au chien battu, les yeux tristes, la mine basse, elle fait peine à voir 😂. Évidemment, c’est elle qui passe en premier sous la serviette 😁.
MaLou n’a jamais été aussi vite pour marcher, elle a oublié d’arrêter son application de sport sur son téléphone 😂.
© Isabelle-Marie d’Angèle (Avril 2024)

Bonjour toi 😉
Je t’emmène à nouveau dans le jardin, tu vas voir comme il y a encore du changement, c’est tellement beau à regarder 💖 dans l’ordre tu découvres, l’hortensia, les renoncules, le lilas, la première fleur du rhododendron, la première rose jaune et le massif de pivoines.






Je crois que je pourrais le photographier tous les jours, ce ne serait jamais pareil.
Bon mardi et bonne promenade chez moi 🌸💐🌹🌼🌷🌺🌻

Bonjour toi 😉
Si ton intuition te dit que l’on te cache quelque chose, alors cherche à en savoir plus avant de prendre une décision hâtive. Écouter son intuition permet bien souvent de s’éviter de gros ennuis. (Agenda Parole de Sorcière).
En été, elle forme des épis de petites fleurs jaunes très parfumées. Très rustique, elle supporte bien la sécheresse. On la cultive pour les besoins de l’herboristerie, sa cueillette étant très réglementée. C’est une plante aromatique vivace et aussi une pierre provenant de la pétrification des dents fossiles du loup de mer.
C’est parce que l’intuition est surhumaine qu’il faut la croire ; c’est parce qu’elle est mystérieuse qu’il faut l’écouter ; c’est parce qu’elle semble obscure qu’elle est lumineuse. Victor Hugo

Si je regarde ma semaine passée, je vais retenir que je suis allée au concert de la Star Academy et à la piscine avec Pilou, Lou, monsieur Chéri et MiniMaxi, les deux grandes sorties.
Que dire du concert ? Le zénith était complet. Un public de tout âge était présent. C’est fou comme cette émission a ses adeptes. L’ambiance était très bon enfant et le spectacle bien huilé était superbe. J’admire ces jeunes qui, il n’y a même pas un an, chantaient dans leur chambre ou leur salle de bain, et se retrouve aujourd’hui face à un énorme public qui les acclame, réclame des autographes et leur clame des Je t’aime à tout va.
Ils chantent, dansent, et nous remercient de leur faire cet accueil. C’est sûr, ils n’ont pas encore l’expérience d’un Patrick Bruel, mais ils ont toute mon admiration.
Autre sujet : La piscine avec Pilou et Lou. C’était la première fois que MaLou s’y collait. Ma foi, tout s’est très bien passé, mise à part une petite frayeur avec Lou qui soutenait qu’elle savait bien nager et qui a absolument voulu faire le toboggan. Et vas-y que j’enlève le gilet, je montre à MaLou que je sais aller sous l’eau, que je nage, et que tout va bien. OK.
Sauf qu’à l’arrivée au bas du toboggan après une descente dans un tunnel, le bassin est à 1,20 m de profondeur. Lou se retrouve submergée et a du mal à remonter. MaLou s’affole un peu, mais le maitre-nageur est très réactif et tend la perche à l’intrépide qui la saisit et rapidement. Ouf !
Un gentil rappel à l’ordre avec un Elle ne sait pas nager ?
MaLou sourit et ne sait pas trop quoi dire, remercie le gentil jeune homme et récupère une Lou qui replonge dans l’autre bassin, Oui elle a eu un peu peur a-t-elle dit, mais elle n’est pas traumatisée loin de là.
Lecture terminée de Amours et Autres Obsessions de Liane Moriarty, j’en ferai un retour prochainement et j’ai commencé Un coup de soleil de Serena Giuliano, autre ambiance, mais tout aussi attachante.
Toujours du sport avec de la marche et une nouvelle sortie en vélo de 30 kms. J’avais ressorti le tee-shirt et le short, il faisait chaud et beau, ce qui n’est pas le cas d’aujourd’hui où nous avons perdu 10°.
En récap, mes dessins sur mon Bujo qui racontent bien ma semaine.




Belle semaine à toi et raconte-moi tout.

Bonjour toi 😉
Il fait bon prendre le café sur la terrasse au soleil 💖🌞

Avec de la musique c’est encore mieux 🎶🎶. Lorsque j’ai tapé dans ma barre de recherche chanson sur le printemps, je tombe sur ça 😊. J’avoue, ça m’a fait tout bizarre de le revoir, et la vidéo a pris un coup de vieux alors que lui, évidemment, il n’a pas changé 😁. Je me demande comment il serait aujourd’hui 😉. C’est parti pour Cloclo et les années 70.
C’est la toute dernière de Cloclo et quand tu écoutes ses premières paroles… Je ne peux plus rien y faire…c’est étrange 😶.
Bon dimanche … Nostalgique un peu quand même 😁

Bonjour toi 😉

Bon samedi 💖

Bonjour toi 😉


Quel imbécile ! Pour le coup, j’avais tout fichu en l’air. Qu’avais-je donc dans la tête ?
Quand je suis arrivé à l’hôpital, j’étais d’une humeur massacrante. Chef de service des urgences, je devais récupérer rapidement. Mon équipe était bien suffisamment sur les dents, pas question d’en rajouter.
Je filai me changer dans les vestiaires et passai à mon bureau. La nuit avait été mouvementée comme d’habitude avec son lot d’accidents, de bagarres et d’urgences médicales.
J’allumai mon ordinateur et jetai un œil au post-it collé sur le clavier. Je soupirai.
Stupide ! Je l’avais été de bout en bout. J’avais repéré depuis quelques jours une jolie maison que je comptais acheter. Elle avait trois chambres. Enzo aurait eu la sienne et j’avais imaginé que Marie-Sophie nous rejoindrait.
Un coup discret à ma porte me fit lever les yeux, Cassandre l’infirmière en chef passa la tête.
— Il me semblait bien vous avoir vu arriver, docteur. Vous n’étiez pas de repos aujourd’hui ?
Elle me souriait et si je n’étais pas aussi amoureux de Marie-Sophie, j’aurais pu me laisser séduire pas cette jolie femme au regard bleu océan.
— Je n’ai pas encore trouvé de chez moi, j’avoue que le gîte où j’habite me déprime un peu. Je vais en profiter pour trier mes mails, mais n’hésitez pas à me biper si vous êtes en sous-effectif.
— Nous n’étions pas habitués à ça avec l’ancien chef, remarqua ma collègue.
Nous entendîmes en même temps une débandade dans les couloirs, signe qu’une ambulance arrivait et qu’il y devait y avoir eu un accident. Plusieurs sirènes retentirent. Je me levai et la suivant en courant, je lui dis :
— Je crois que j’ai bien fait finalement de venir, vous allez avoir besoin de moi.
J’avais passé ma blouse. Les infirmières se précipitaient, elles prirent quand même le temps de me saluer alors que Cassandre commençait à compter le nombre de lits qu’il y avait pour accueillir les patients.
Incroyable, j’avais une journée de libre. Pas de Foodtruck ni de boulangerie. Maddie était en place et Archibald souhaitait qu’elle fasse plus d’heures afin que je puisse faire autre chose, comme m’occuper de notre mariage par exemple.
Du coup, je lui avais proposé de voir avec lui sa comptabilité, mais il avait refusé en disant qu’il avait un professionnel qui faisait ça très bien. Je lui avais rappelé que je m’y connais un peu et qu’il pourrait ainsi faire des économies. Archibald avait été catégorique. Il n’avait pas de problème de trésorerie et il préférait faire travailler les personnes qui en avaient fait leur métier.
J’étais donc libre comme l’air. Pourquoi ai-je eu envie d’aller retrouver Gabriel pour avoir une explication avec lui ?
Mélusine était occupée ailleurs et Enzo était l’école. Je pris la voiture et la direction de l’hôpital.
C’était le bazar là-bas. Je m’en rendis vite compte en découvrant le balai des ambulances et des brancards.
De plus, le parking était plein. Je me garai dans une petite rue adjacente et sans réfléchir, composai le numéro de Gabriel.
Je sentis mon portable vibrer alors que je soufflais un peu. Un grave accident avait eu lieu dans la périphérie et c’était vers notre service que les pompiers et ambulanciers s’étaient dirigés. Heureusement, je ne comptais pas de décès et tout était sous contrôle.
Lorsque je découvris qui m’appelait, mon premier réflexe fut de lui parler. Mais une infirmière me tendait des papiers à signer et le répondeur s’enclencha.
Je rejoignis mon bureau tout en l’écoutant. Marie-Sophie était sur le parking. Pour ne pas changer d’avis, je textotai aussitôt que j’étais très occupé et que je n’avais pas de temps à lui consacrer et je rangeai mon portable. Je croisai Cassandre qui se dirigeait vers la machine à café.
— Je vous en offre un, même s’il n’est pas terrible ? J’ai cinq minutes.
J’acceptai sans hésiter et alors que j’attendais que le liquide emplisse le gobelet, je m’entendis lui demander si elle voulait venir avec moi visiter la maison que j’avais repérée.
— Où est-elle située ? m’interrogea-t-elle intéressée.
Je n’avais pas retenu l’adresse.
— S’il n’y a pas d’imprévu, je termine à 14 heures, je suis libre cet après-midi.
J’acquiesçai, jetai le verre en plastique dans la poubelle et repartis vers mon bureau. Je regrettai déjà ma demande complètement loufoque.
J’aurais dû me douter que Gabriel était occupé. J’allais repartir quand j’aperçus Mélusine qui sortait de l’établissement. Surprise et en même temps inquiète, je descendis de la voiture.
— Qu’est-ce que tu fais là Marie-Sophie, tu n’étais pas off aujourd’hui ?
Elle fronça les sourcils et me toisa :
— Ne me dis pas que tu étais venu voir Gabriel ?
— Et toi que fais-tu ici ? Tu es malade ?
À remarquer son sourire, ça ne devait pas être grave. J’avisai aussitôt le service dont elle sortait.
— Non, Marie-Sophie, je ne suis pas enceinte.
Elle n’ajouta rien de plus.
— Où es-tu garée ?
Elle fit un geste vague pour me désigner sa voiture. Je la connaissais bien. Elle me cachait quelque chose.
— OK, je vais tout te raconter, mais tu promets de ne pas me juger ?
Je me revis quand nous étions plus jeunes et je faillis dire croix de bois croix de fer, si je mens je vais en enfer. Je promis sans rien ajouter.
— J’ai rencontré quelqu’un.
Je tombais des nues. Je la croyais amoureuse de François. Je ne pipai mot. Elle s’installa à côté de moi dans la voiture.
— Il travaille ici dans le service maternité, il est gynéco.
Décidément, encore un toubib !
— Il s’appelle Bastian Ezkarai. Regarde.
Je ne pouvais plus l’arrêter. Elle me montra sa photo sur Instagram. Apparemment, il était fan des réseaux sociaux. Je l’avais déjà rencontré, il venait souvent acheter son pain à la boulangerie, mais… il n’était pas seul.
— Tu le vois depuis longtemps ?
— Quelques semaines maintenant. Sa femme aime mes créations.
Elle baissa les yeux. Je murmurai :
— Mélusine… il n’est pas libre.
— Je sais.
Je soupirai. Dans quel guêpier s’était-elle fourrée. Dans peu de temps, tout allait se propager dans le village.
— Il faut que je t’avoue un truc, MarieSophe.
Elle se tortillait les doigts, signe de sa part qu’elle ne savait pas comment me le dire. Je posai la main sur son épaule. Nous étions amies depuis longtemps, elle pouvait me faire confiance.
— Je ne suis pas comme toi, je ne peux pas être la femme d’un seul homme, je peux en aimer plusieurs à la fois. Tu connais le Polyamour ?
Je n’étais pas née de la dernière pluie et je n’étais même pas étonnée. Je savais depuis des années que Mélusine papillonnait. Combien de fois avec Archibald, nous l’avions traitée de cœur d’artichaut. Elle en avait laissé sur le bas-côté des transis d’amour pour elle. Comment avais-je pu imaginer qu’elle se caserait enfin avec François ? Le mariage, la vie à deux, ce n’était pas pour elle. Elle était fidèle à sa manière.
— Bastian et sa femme sont un couple très libre. Il me l’a clairement dit quand nous avons commencé à nous voir. Elle fait la même chose de son côté. Elle est infirmière en chef au service des urgences.
— Et François ?
— C’est là le problème. Il n’est pas du tout adepte du Polyamour. Je n’ai pas encore réussi à lui parler. Je ne veux pas le perdre parce que je l’aime aussi, mais je ne peux pas lui donner l’exclusivité.
Quel drôle de mot quand on parle d’amour !
© Isabelle-Marie d’Angèle (avril 2024)

Bonjour toi 😉

P etit à petit il s'installe
R agaillardit les arbres
I llumine le ciel
N ourrit les oiseaux
T artine les sols de verdure
E mmêle les cheveux avec son vent vicieux
M élange le froid et le chaud
P luviote ou tempête
S ème à tout va de la bonne humeur
© Isabelle-Marie d’Angèle (avril 2024).
