Quand j’étais enfant…

Bonjour toi 😉

Qu’est-ce que je faisais lorsque j’étais gamine et que je fais toujours 😂 parce que je suis une éternelle gamine 🙂.

Toujours du vélo avec mon toutou à l’arrière par contre 😂. J’ai troqué le short pour le cuissard mais le sourire est le même quand ça va vite, les cheveux volent sous le casque parce que l’âge me rend plus prudente 😉 mais je me mets toujours en danseuse pour bien prendre le vent et je ris aux éclats.

Je ne ramasse plus les pommes parce que je n’ai plus de pommiers mais j’aimais le faire avec maman qui faisait ensuite de la compote avec tous les fruits rouges comme ma couleur préférée. Qu’est-ce qu’on en passait du temps à éplucher ces pommes !

Je m’assois toujours sur une marche dans le jardin. Je ferme les yeux et j’écoute. Lorsque je pars en promenade, c’est aussi sous un arbre ou dans un champ que je me mets à l’ombre pour respirer la nature.

J’aimerai bien pouvoir encore cueillir des fleurs des champs. Ces bouquets là restent de loin mes préférés.

Danser sous la pluie ☂🎶 oui mais en ce moment, il ne pleut pas ! Dans ma région du nord, il pleuvait souvent et le ciel n’était pas souvent bleu. Si je ne sortais pas quand il pleuvait, je ne serais jamais sortie 😂. Je me souviens aussi que je faisais du vélo sous la pluie et je me faisais disputer ensuite parce que j’allais attraper froid.

Aujourd’hui, dans ma région du sud-ouest, le ciel est souvent bleu, il fait beaucoup plus chaud et la pluie se fait rare.

Jouer à Fifi Brin d’acier comment dire… même si mes cheveux sont encore longs, ils ne le sont plus autant et j’ai abandonné les nattes, je n’en fais qu’une l’été quand il fait vraiment très chaud. Il m’arrive encore de mettre des collants rayés 😂.

Piquer des fous rire avec ma fille, c’est toujours d’actualité 😂 et pas qu’avec elle d’ailleurs 😉

Ci-dessous, c’est toujours vrai, le chapeau qui s’envole 😊. J’ai toujours aimé me promener cheveux au vent et le sourire aux lèvres.

Toujours un livre à la main, c’est hier comme aujourd’hui et le sourire est le même quand je suis dans ma bulle, sans les nattes bien sûr !

Je ne joue plus de piano 🙄 je n’ai jamais été vraiment douée mais je me débrouillais. J’ai pourtant toujours un synthétiseur, ce n’est pas la même chose, c’est sympa pour faire de la musique mais je n’en fais plus. Par contre, j’ai toujours une musique en fond quand je suis sur mon ordi et que j’écris.

J’ai fait de la danse classique puis du jazz… les années passent, j’ai abandonné, par manque de temps, les enfants, la vie quoi… Quand l’occasion se présente, je danse avec Monsieur Chéri, le rock and roll. J’ai fait aussi de la country.

J’ai joué longtemps à la poupée et au fur et à mesure que les années passaient, les histoires devenaient de véritables romans. C’est la plume qui a remplacé mes poupées aujourd’hui 😂. Je me souviens que je faisais l’école à mon chien, il se tenait très bien. Les copines qui m’agaçaient en classe avaient droit à de très mauvaises notes dans mes histoires et à d’énormes punitions😂.

Et toi, quels souvenirs d’enfants peux-tu me raconter ?

À très vite…

Samedi Chansons

Bonjour toi 😉

Sacré coup de Nostalgie 😉 avec le choix de mon jukebox

Nicolas – Sylvie Vartan

Non ce n’est rien qu’une chanson qui revient quelquefois
Rien qu’un sourire, en souvenir d’un garçon d’autrefois
Quand mes jours sont gris
Qu’il neige sur ma vie, il revient dans ma mémoire
Au lycée Français, un soir il m’attendait
Il souriait Nicolas

Nicolas (Nicolas), Nicolas (Nicolas), ma première larme ne fût que pour toi
On était (On était) des enfants (des enfants), notre peine valait bien celle des grands (Ouhou, ouhou)
Nicolas, Nicolas (Nicolas), c’était de l’amour, on ne le savait pas
C’est la vie (C’est la vie), qui nous prend (qui nous prend)
Qui nous emmène où elle veut et où elle va

Un homme enfant, aux yeux trop grands, sur un quai, qui pleurait
Il a neigé, beaucoup depuis, sur là bas, sur Paris
Et il ne sait rien, de moi et de ma vie
Ce que je fais, qui je suis
Il ne connaît pas, l’autre Maritza, il garde la vraie là-bas

Nicolas (Nicolas), Nicolas (Nicolas) mon premier chagrin s’appelle comme toi
Je savais (Je savais), que jamais (que jamais), je ne reviendrai ici auprès de toi (Ouhou, ouhou)
Nicolas, Nicolas (Nicolas), c’était de l’amour, on ne le savait pas
C’est le temps (C’est le temps), qui s’en va (qui s’en va)
Qui invente toutes nos peines et nos joies

Nicolas (Nicolas), Nicolas (Nicolas), ma première larme ne fût que pour toi
On était (On était) des enfants (des enfants), notre peine valait bien celle des grands (Ouhou, ouhou)
Nicolas, Nicolas (Nicolas), c’était de l’amour, on ne le savait pas
C’est la vie (C’est la vie) qui nous prend (qui nous prend)
Qui nous emmène où elle veut et où elle va

Nicolas (Nicolas), Nicolas (Nicolas)

Je ne peux pas ignorer celle-ci …vintage à souhait 😉

Je te propose ici une reprise par la nouvelle génération, Camélia Jordana. C’est l’occasion de voir Sylvie Vartan aujourd’hui.

Bon samedi en chansons

À très vite…

Samedi Chansons

Bonjour toi 😉

Michel Polnareff a repris la chanson Lettre à France et il sort un nouvel album le 18 novembre intitulé Michel Polnareff chante Polnareff .

J’aime beaucoup le clip, tu le découvriras ci-dessous ainsi que les paroles de cette chanson qui m’émeut toujours autant, quant au piano… tu le sais déjà, j’aime 💖.

Il était une fois
Toi et moi
N’oublie jamais ça
Toi et moi

Depuis que je suis loin de toi
Je suis comme loin de moi
Et je pense à toi tout bas
Tu es à six heures de moi
Je suis à des années de toi
C’est ça être là-bas
La différence
C’est ce silence parfois au fond de moi

Tu vis toujours au bord de l’eau
Quelquefois dans les journaux
Je te vois sur des photos et moi loin de toi
Je vis dans une boîte à musique
Électrique et fantastique
Je vis en Chimérique
La différence
C’est ce silence parfois au fond de moi

Tu n’es pas toujours la plus belle
Et je te reste infidèle
Mais qui peut dire l’avenir de nos souvenirs
Oui, j’ai le mal de toi parfois
Même si je ne le dis pas
L’amour c’est fait de ça

Il était une fois
Toi et moi
N’oublie jamais ça
Toi et moi

Depuis que je suis loin de toi
Je suis comme loin de moi
Et je pense à toi là-bas
Oui j’ai le mal de toi parfois
Même si je ne le dis pas
Je pense à toi tout bas

Bon samedi 💖

À très vite…

L’allée du château

Bonjour toi 😉

Je t’emmène avec moi en compagnie de MaLou, Millie, Lou et Pilou.

MaLou a décidé d’embarquer Millie (9 ans), Pilou (8 ans) et Lou (4 ans) dans une promenade qu’elles n’ont jamais faite et aussitôt, elle est assaillie de questions auxquelles elle n’a pas le temps de répondre.

— C’est où ?

— C’est quoi ?

— C’est loin ?

— Il faut mettre les bottes ?

Dans tous les cas, elles sont déjà en train d’enlever les chaussons pour enfiler les baskets. Avec le scratch, Lou y arrive du premier coup, même si parfois, elle demande de l’aide en implorant :

— Tu serres bien le cratch !

Il fait encore beau, pas besoin de manteau et les voilà parties.

MaLou explique qu’elles vont aller sur l’allée du château. Les réactions sont différentes.

Millie s’empresse de rêvasser.

— Ce serait trop bien que tu habites là-bas (au château). Tu imagines ? Maman me laisserait au bout de l’allée et tu viendrais me chercher. PaLou aurait préparé une brioche et on pourrait goûter dans ton château. Ce serait trop bien.

Pilou n’a pas du tout la même attitude. Armée d’un bout de bois qui a office d’être un couteau magique, elle coupe à tour de bras tout ce qu’elle trouve sur son passage : fleurs sauvages, mauvaises herbes. Elle galope loin devant, on dirait un cabri, parle toute seule et s’invente des histoires. Elle ramasse tout ce qui l’intéresse, branchage, feuilles, qu’elle aimerait bien que je garde à la maison. Elle remplit ses poches de trésors. Elle revient de temps en temps vers moi pour me montrer comment son arme merveilleuse fonctionne.

— T’as vu MaLou comme il marche bien.

Je répète à tout va qu’elle pourrait rester avec nous, mais mes mots se perdent le long de l’allée, elle est déjà repartie.

— C’est encore loin ?

Lou la plus petite prend son temps et traine un peu la patte.

— J’ai mal aux jambes.

— Si tu veux, j’appelle PaLou. Il viendra te rechercher en voiture.

C’est immédiat, tout va bien et elle reprend sa route. Ô grand jamais, elle ne louperait l’allée du château. Heureusement pour moi, car je suis certaine que PaLou n’aurait pas sorti la voiture pour faire 1 km et encore je ne suis pas sûre qu’il y soit ce kilomètre.

La voilà enfin cette allée avec le château tout au bout. Il n’a rien de celui de la Belle au Bois dormant. Il est en travaux, il accueille l’été un food truck et la population du village pour regarder le cinéma en plein air, mais il a l’avantage d’avoir effectivement un très long chemin qui fait rêver et Millie ne s’en prive pas.

Sa main dans la mienne, elle imagine. Les chiens par-ci, les chevaux par-là, la grille qui s’ouvre à notre approche, moi, qui l’attend en haut du perron. Il ne manque que la calèche qui s’arrête devant moi (la voiture a disparu, finalement c’est mieux d’arriver comme ça).

Lou est devant nous et marche tranquillement, les mains dans les poches, le nez au vent. Parfois, elle se penche pour ramasser une fleur, un brin d’herbe, une chose qu’elle a trouvée belle et qu’elle m’offre avec son grand sourire charmeur.

— Tu le mettras dans l’eau à ta maison.

Pilou galope dans tous les sens, coupant par-ci, fauchant par-là avec son arme magique. Elle est la première à arriver devant la grille fermée avec des panneaux qui nous signalent qu’il y a des caméras et qu’il ne faut pas s’approcher.

Lou se colle aux barreaux et regarde la cour. Elle ne sait pas lire, elle s’en moque de ce qui est écrit. Pilou, la grande aventurière aurait bien envie d’entrer. Bien sûr que non, faisons demi-tour.

Elles sont ravies de la promenade. De hauts arbres se balancent au gré du vent et j’avoue que moi aussi, mon imagination s’envole et je suis prise en flagrant délit par Millie qui saisit ma main et demande :

— À quoi tu penses ? Tu vas écrire une histoire ?

— Quelle idée ! gloussais-je. Allez on repart les filles.

Et Pilou nous devance encore, Lou trainasse et s’arrête. Elle s’accroupit et contemple une fleur enfin à ce qui lui ressemble. Elle la regarde avec attention puis se relève. Millie tient toujours ma main.

© Isabelle-Marie d’Angèle (novembre 2022).

À très vite…

Eté 2022 – Pêle-mêle

Bonjour toi 😉

Je te présente ci-après mon bilan de l’été pêle-mêle. J’ai certainement oublié des choses, j’y reviendrai sans doute.

On ne va pas se mentir, l’été a été chaud à tous points de vue. Canicule et feux de forêt. Je ne vais pas épiloguer sur ces chapitres, chacun l’a vécu à sa façon.

Humeur générale : Bonne. De toute façon, pendant les vacances, si la bonne humeur n’est pas au rendez-vous, ce n’est pas normal 😁. J’avoue que pour ma part, un grain de sable peut venir enrayer facilement la machine, mais dans l’ensemble, je ne m’en suis pas mal sortie.

Balades et séjours : Je suis allée au Pays basque. Je connaissais la région, mais je l’ai à nouveau redécouverte. Me réveiller au son des cloches des brebis qui passent devant le gîte, un régal. Les bavardages avec les habitants du village (110) alors que les Basques ne sont pas réputés pour accepter facilement les touristes ont été instructifs. D’ailleurs… Marie-Sophie s’est installée là-bas, tu imagines bien que je vais piocher dans ce que j’ai glané ici ou là pour raconter son histoire. Je me demande encore comment l’idée de ce déménagement m’est venu à l’esprit.

Je suis assez casanière, quitter ma maison et mes habitudes, c’est souvent synonyme de stress. Quand je débarque dans une nouvelle maison, un endroit différent, je ressens immédiatement si je vais m’y sentir bien. Là, c’était le cas. À tel point que j’aimerais y retourner plus longtemps et à une autre saison, histoire de voir si l’ambiance est toujours la même.

Ce que j’ai réalisé aussi c’est que pour les promenades, il faut souvent grimper 😊 et ça m’a saoulé de ne pas tenir le rythme. L’âge, les chaussures, le manque d’entrainement, bref, quand je ne gère pas à ma manière c’est compliqué. Du coup, je rumine et comme ça se voit aussitôt, on lit sur ma tête comme dans un livre ouvert, c’est très agaçant. C’est sûr que la vie à plusieurs au quotidien ça change tout, même si c’est avec mes enfants.

Retour à la maison : Oui, mais pas toute seul 😂. Je pensais pouvoir continuer à publier… Alors, c’est mission impossible quand tu as trois princesses qui squattent ton atelier soit pour y faire la sieste parce que c’est trop chouette ou c’est trop bien ou qui s’installe à ton bureau, pousse ton ordinateur pour colorier. Si j’avais la bonne idée de piquer quelques minutes pour l’allumer, histoire d’écrire quelque chose les questions fusaient Tu fais quoi ? T’en as pour longtemps ? Tu as bientôt fini ? Tu mets ta musique ? C’est quand qu’on sort ? C’est là que tu inventes tes histoires ? Et ça sert à quoi (ça, c’est la question qui m’a interpellée, c’est vrai, ça sert à quoi, il faudra que je me pose pour y répondre), On peut promener Oxybulle, c’est quand qu’on goûte ?

Tu as bien compris que c’était impossible de programmer quoique ce soit, de poser des idées sur le papier parce qu’elles disparaissaient de ton cerveau aussi vite qu’elles étaient apparues, parasitées par toutes ces questions 😁. Du coup, j’ai accepté de ne plus écrire. Mais… au bout de quelques jours, ça se bousculait dans ma tête et ce n’est toujours pas mis en ordre d’ailleurs 😂. Tant bien que mal, je tente de mettre tout ça en place et comme disait Jules Renard, Écrire c’est une façon de ne pas être interrompu.

Partie de Monopoly où je me suis faite plumer (satanée rue de la Paix 😂), spectacle de Guignol où les personnages sont toujours les mêmes, où les enfants crient aussi de la même façon, Sacré Guignol qui n’a pas pris une ride 😊.

Coloriages et tentative de dessiner 😁 (d’ailleurs, je te montrerai mon Bullet journal que je suis en train de fabriquer à mon image 😉).

Fête foraine aussi avec montée dans les manèges. Fou rire et vidéo qui me montre une fois de plus que je suis restée une vraie gamine. Bon, le lendemain, j’ai un peu mal partout mais chut ! 🤣 et je me suis rendu compte également que certaines attractions me fichaient la trouille et que je préférais les regarder d’en bas.

Lectures : J’ai terminé 5 pavés. Alors là, je me suis épatée. Tu auras le retour promis ! Je me suis régalée. J’en ai profité pour feuilleter les revues qui parlent des prochaines publications et je suis allée aussi dans les librairies… et je n’ai rien acheté même si l’envie était bien présente. Je suis restée raisonnable, j’ai une PAL qui a bien diminué d’accord, mais je n’en suis pas encore à Mon Dieu, je n’ai plus qu’un livre à lire 😂.

Musiques : Alors entre les comptines, les danses et le sirtaki que j’ai repris et appris à mes princesses, je n’ai pas manqué de sons. La bonne humeur était de mise ainsi que les fous rires et parfois les bagarres 😁 pour être à côté de moi 😊, là je me sens une vraie star 😎.

Et puis, j’ai regardé le jardin avoir soif, j’étais triste pour monsieur Chéri qui voyait dépérir ses fleurs. Pas d’eau, nous avons respecté !

Je crois qu’elles savaient comment faire… parce que certaines ont repris du poil de la bête comme on dit chez nous, elles redressent la tête. Elles ont réussi à garder des forces et gober les quelques gouttes qui sont tombées. Il faut dire que Monsieur Chéri avant les restrictions avait fabriqué toute une installation avec des bouteilles vides en plastique. Transformées en goutte-à-goutte, elles distillaient l’eau avec parcimonie. Je suis certaine que les fleurs avaient compris qu’il y avait danger, elles ne prenaient que ce qui leur était nécessaire pas plus. C’est comme Oxybulle, quand on la laisse toute seule, elle ne boit et ne mange rien, elle se jette sur sa gamelle que lorsque nous rentrons. (bon, elle ne reste jamais toute une journée complète solitaire, mais quand même !). Nous devrions faire de même et ne prendre que le nécessaire. Regarde comment est mon bégonia !

Bégonia rouge

Peut-être es-tu étonné que je ne parle pas de soirées entre amis. C’est simple, je n’en ai pas. Trop de blessures, trop de confiance donnée pour rien. Tu remarqueras dans toutes mes histoires, il y toujours un groupe d’amis. J’envie ceux qui se retrouvent en vacances, en soirée, qui s’appellent pour se remonter le moral ou demander des avis. Je suis trop entière ou je ne sais pas faire ou alors j’en demande trop, bref je n’ai pas la recette. Devenue trop méfiante, je me protège certainement trop.

Voilà en vrac mon été qui s’est bien passé et est… passé. Les journées passaient à grande vitesse. Non pas que je m’ennuie maintenant, mais je trouve que je prends plus le temps. Avec les enfants, il faut toujours faire tout et à toute vitesse pour ne rien rater. Tu es sur une activité que déjà il faut penser à la suivante… Exemple : tu crois que je pourrai aller à la piscine après ? Nous n’étions même pas encore dans la voiture 😁 , j’avoue que ça c’est éprouvant. Vivre le moment présent, ça n’est pas d’actualité. Remarque, j’ai mis de temps à réussir à le faire mais une fois que tu y es parvenu, difficile d’imaginer de revenir en arrière 😂.

Et toi ton été ? Raconte-moi 😊.

À très vite …

Samedi Chansons

Bonjour toi 😉

Je retrouve avec plaisir mon jukebox 😁 et lui aussi me retrouve avec plaisir 😉 mais que va-t-il me sortir ?

Ah oui ! Cloclo, Claude François ….

Viens à la maison y a le printemps qui chante

Dis, ça fait combien de temps
Que tu n´as pas vu un peuplier
Une fleur des champs?
Si tu as quelques chagrins
Pour les oublier il y a toujours une gare, un train
Change de ciel, viens voir la terre
Voir le soleil et les rivières
Viens à la maison y a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t´attendent
Les pommiers sont en fleurs
Ils berceront ton cœur
Toi qui es tout en pleurs
Ne reste pas dans la ville
Viens à la maison y a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t´attendent
Près des grands étangs bleus
Et dans les chemins creux
On ira tous les deux oublier ce rêve facile
Le premier vent du matin sera ton ami
Quand tu iras t´asseoir au jardin
Et puis le temps passera et tu me diras
Tout mon passé il est loin déjà
Tu ouvriras une fenêtre
Un beau matin, tu vas renaître
Viens à la maison y a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t´attendent
Les pommiers sont en fleurs
Ils berceront ton cœur
Toi qui es tout en pleurs
Ne reste pas dans la ville
Viens à la maison y a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t´attendent
Près des grands étangs bleus
Et dans les chemins creux
On ira tous les deux oublier ce rêve facile
Viens à la maison y a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t´attendent
Les pommiers sont en fleurs
Ils berceront ton cœur
Toi qui es tout en pleurs
Ne reste pas dans la ville
Viens à la maison y a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t´attendent
Près des grands étangs bleus
Et dans les chemins creux
On ira tous les deux oublier ce rêve facile

Oh c’est vintage, le costume et tout et tout … mais, j’avoue qu’il a toujours la classe !

Le choix pour les autres est difficile, il y en a tellement😉

Allez on danse, je rappelle que je connais parfaitement la chorégraphie 😂 avec le déhanché et tout et tout ! Une fois de plus, note la belle cravate ! C’est une de ses dernières. On a tout raconté sur ce chanteur ! N’empêche, je me demande comment il serait aujourd’hui.

Celle-ci ah souvenirs souvenirs… Vive le play-back 😂

Nostalgie nostalgie

Tu as vu ses costumes ?

J’avoue… j’ai du mal à le quitter…Encore une ?

Magie d’Internet qui me fait revivre tout ça ! Encore un autre costume et une belle cravate 😂 et moi, je reste plantée devant lui… 😂.

Ok j’arrête sur la dernière … qui commence par « je ne peux plus rien y faire »… dernière chanson … et là aussi la chorégraphie est toujours dans mes pieds 😂, je revois les petits pas dans le rythme en avançant 😂, qu’est-ce que j’ai pu galérer pour être dans le rythme.

Je te souhaite une beau samedi nostalgique 😂, merci le jukebox, tu nous as mis la tête à l’envers 😂.

À très vite…