Bonjour toi 😉
Eté 1975…Il y avait l’été indien de Joe Dassin et puis ça…🎶
Bon samedi en musique 🎶🎶

Bonjour toi 😉
Eté 1975…Il y avait l’été indien de Joe Dassin et puis ça…🎶
Bon samedi en musique 🎶🎶

Bonjour toi 😉
Juke box s’il-te-plait 😉

Joli choix, j’aime toujours autant sa voix. J’ai nommé Monsieur Eddy.
La lumièr’ revient déjà
Et le film est terminé
Je réveille mon voisin
Il dort comme un nouveau-né
Je relèv’ mon strapontin
J’ai une envie de bailler
C’était la dernièr’ séquence
C’était la dernièr’ séance
Et le rideau sur l’écran est tombé
La photo sur le mot fin
Peut fair’ sourire ou pleurer
Mais je connais le destin
D’un cinéma de quartier
Il finira en garage
En building supermarché
Il n’a plus aucune chance
C’était sa dernièr’ séance
Et le rideau sur l’écran est tombé
Bye bye les héros que j’aimais
L’entracte est terminé
Bye bye rendez-vous à jamais
Mes chocolats glacés, glacés
J’allais rue des Solitaires
À l’école de mon quartier
À 5 heures j’étais sorti
Mon père venait me chercher
On voyait Gary Cooper
Qui défendait l’opprimé
C’était vraiment bien l’enfance
Mais c’est la dernière séquence
Et le rideau sur l’écran est tombé
Bye bye les filles qui tremblaient
Pour les jeunes premiers
Bye bye rendez-vous à jamais
Mes chocolats glacés, glacés
La lumière s’éteint déjà
La salle est vide à pleurer
Mon voisin détend ses bras
Il s’en va boire un café
Un vieux pleure dans un coin
Son cinéma est fermé
C’était la dernièr’ séquence
C’était sa dernièr’ séance
Et le rideau sur l’écran est tombé
J’ai le choix dans tous ses tubes 😊. Je fouille et je trouve ça 😊 la classe ! J’en ai des frissons en écoutant.
Ici, je suis en admiration devant les pianistes, les musiciens et … Pascal Obispo 😉
Et celle-ci 💖
Et celle-ci 💖
Je termine avec les trois vieilles canailles 💖💖 Johnny, Eddy et Jacques. Séquence nostalgique peut-être mais ça fait tellement du bien de les revoir tous les trois. Avoue que tu chantes toute la musique que j’aime , elle vient de là, elle vient du blues.
Bon samedi en musique 🎶🎶

Bonjour toi 😉
Sacré coup de Nostalgie 😉 avec le choix de mon jukebox

Non ce n’est rien qu’une chanson qui revient quelquefois
Rien qu’un sourire, en souvenir d’un garçon d’autrefois
Quand mes jours sont gris
Qu’il neige sur ma vie, il revient dans ma mémoire
Au lycée Français, un soir il m’attendait
Il souriait Nicolas
Nicolas (Nicolas), Nicolas (Nicolas), ma première larme ne fût que pour toi
On était (On était) des enfants (des enfants), notre peine valait bien celle des grands (Ouhou, ouhou)
Nicolas, Nicolas (Nicolas), c’était de l’amour, on ne le savait pas
C’est la vie (C’est la vie), qui nous prend (qui nous prend)
Qui nous emmène où elle veut et où elle va
Un homme enfant, aux yeux trop grands, sur un quai, qui pleurait
Il a neigé, beaucoup depuis, sur là bas, sur Paris
Et il ne sait rien, de moi et de ma vie
Ce que je fais, qui je suis
Il ne connaît pas, l’autre Maritza, il garde la vraie là-bas
Nicolas (Nicolas), Nicolas (Nicolas) mon premier chagrin s’appelle comme toi
Je savais (Je savais), que jamais (que jamais), je ne reviendrai ici auprès de toi (Ouhou, ouhou)
Nicolas, Nicolas (Nicolas), c’était de l’amour, on ne le savait pas
C’est le temps (C’est le temps), qui s’en va (qui s’en va)
Qui invente toutes nos peines et nos joies
Nicolas (Nicolas), Nicolas (Nicolas), ma première larme ne fût que pour toi
On était (On était) des enfants (des enfants), notre peine valait bien celle des grands (Ouhou, ouhou)
Nicolas, Nicolas (Nicolas), c’était de l’amour, on ne le savait pas
C’est la vie (C’est la vie) qui nous prend (qui nous prend)
Qui nous emmène où elle veut et où elle va
Nicolas (Nicolas), Nicolas (Nicolas)
Je ne peux pas ignorer celle-ci …vintage à souhait 😉
Je te propose ici une reprise par la nouvelle génération, Camélia Jordana. C’est l’occasion de voir Sylvie Vartan aujourd’hui.
Bon samedi en chansons

Bonjour toi 😉
Je retrouve avec plaisir mon jukebox 😁 et lui aussi me retrouve avec plaisir 😉 mais que va-t-il me sortir ?

Ah oui ! Cloclo, Claude François ….

Dis, ça fait combien de temps Que tu n´as pas vu un peuplier Une fleur des champs? Si tu as quelques chagrins Pour les oublier il y a toujours une gare, un train Change de ciel, viens voir la terre Voir le soleil et les rivières Viens à la maison y a le printemps qui chante Viens à la maison tous les oiseaux t´attendent Les pommiers sont en fleurs Ils berceront ton cœur Toi qui es tout en pleurs Ne reste pas dans la ville Viens à la maison y a le printemps qui chante Viens à la maison tous les oiseaux t´attendent Près des grands étangs bleus Et dans les chemins creux On ira tous les deux oublier ce rêve facile Le premier vent du matin sera ton ami Quand tu iras t´asseoir au jardin Et puis le temps passera et tu me diras Tout mon passé il est loin déjà Tu ouvriras une fenêtre Un beau matin, tu vas renaître Viens à la maison y a le printemps qui chante Viens à la maison tous les oiseaux t´attendent Les pommiers sont en fleurs Ils berceront ton cœur Toi qui es tout en pleurs Ne reste pas dans la ville Viens à la maison y a le printemps qui chante Viens à la maison tous les oiseaux t´attendent Près des grands étangs bleus Et dans les chemins creux On ira tous les deux oublier ce rêve facile Viens à la maison y a le printemps qui chante Viens à la maison tous les oiseaux t´attendent Les pommiers sont en fleurs Ils berceront ton cœur Toi qui es tout en pleurs Ne reste pas dans la ville Viens à la maison y a le printemps qui chante Viens à la maison tous les oiseaux t´attendent Près des grands étangs bleus Et dans les chemins creux On ira tous les deux oublier ce rêve facile
Oh c’est vintage, le costume et tout et tout … mais, j’avoue qu’il a toujours la classe !
Le choix pour les autres est difficile, il y en a tellement😉
Allez on danse, je rappelle que je connais parfaitement la chorégraphie 😂 avec le déhanché et tout et tout ! Une fois de plus, note la belle cravate ! C’est une de ses dernières. On a tout raconté sur ce chanteur ! N’empêche, je me demande comment il serait aujourd’hui.
Celle-ci ah souvenirs souvenirs… Vive le play-back 😂
Nostalgie nostalgie
Tu as vu ses costumes ?
J’avoue… j’ai du mal à le quitter…Encore une ?
Magie d’Internet qui me fait revivre tout ça ! Encore un autre costume et une belle cravate 😂 et moi, je reste plantée devant lui… 😂.
Ok j’arrête sur la dernière … qui commence par « je ne peux plus rien y faire »… dernière chanson … et là aussi la chorégraphie est toujours dans mes pieds 😂, je revois les petits pas dans le rythme en avançant 😂, qu’est-ce que j’ai pu galérer pour être dans le rythme.
Je te souhaite une beau samedi nostalgique 😂, merci le jukebox, tu nous as mis la tête à l’envers 😂.

Bonjour toi 😉
C’est le jour des enfants et les enfants c’est aussi ça ! À force de les contempler, j’ai eu l’idée de cette histoire que je partage avec toi. Figure-toi qu’en la relisant, j’ai eu la larme à l’œil.

Ils en faisaient des allers et retours, pelle et seau à la main, bob sur la tête, pour piocher de l’eau. Accroupis face à face et très concentrés sur leur tâche, ils mouillaient le sable, remplissaient leur seau, le retournaient et tapaient avec leur pelle dessus afin de démouler une merveille de pâté.
Éclats de rire, course dans le sable, cris de joie quand les vagues les éclaboussaient et quand le seau se renversait et arrivait vide devant moi.
Je prenais forme peu à peu, ils étaient fiers de leur œuvre et très heureux. Debout devant elle, ils jaugeaient leur construction : rajouter une tour ici, un chemin là, trouver des coquillages pour la décoration et ils repartaient au galop vers l’océan.
Ils y passaient des heures à creuser avec leurs mains, se cacher dans le trou, vérifier que l’eau pénétrait petit à petit et que je ne risquais rien, car ils espéraient toujours me retrouver le lendemain matin.
Ils ont tout essayé : mettre un petit drapeau en haut de mes tours pour me reconnaître, me fabriquer très loin de cette eau qui leur grignotait irrémédiablement du terrain, faire une énorme tranchée autour de moi afin que je sois protégé. Rien n’y a fait.
J’ai tenté pourtant de résister. Je savais que le lendemain, mes bâtisseurs débouleraient en courant pour voir si je les attendais, mais petit à petit, les vagues venaient me lécher les pieds et alors mes fondations fondaient, s’effritaient, et je m’écroulais désespéré.
Un jour, mes deux compères ont mis tout leur cœur, je ressentais leur rage dans leurs coups de pelles assenés sur leur seau. J’étais magnifique avec mes tours, mes créneaux et mes coquillages qui formaient un joli chemin pour arriver au pont-levis et je sentais que cette fois j’allais résister. J’avais compris que la marée était plus basse que d’habitude et par chance ils avaient choisi de me construire plus haut sur la plage.
Quand ils m’ont quitté ce soir-là avec un dernier regard, j’ai eu envie de leur faire un clin d’œil et de leur dire que je les attendrais et déjà j’étais heureux à l’idée d’entendre leurs cris de joie le lendemain. Mais les châteaux de sable ne font pas de clin d’œil et je suis resté bien droit à ma place, bien décidé à résister coûte que coûte.
Le soleil s’est couché, et j’ai pu admirer cette merveille, car j’étais toujours debout, je ne m’étais pas écroulé comme les jours précédents. Les derniers promeneurs me contournaient et murmuraient entre eux en me regardant, j’étais fier. L’eau n’était pas arrivée jusqu’à moi, il était temps, je crois, mais cette fois-ci le ciel était avec moi. Je me préparais à passer ma première nuit sur la plage et à me laisser bercer par le bruit incessant des vagues. J’étais heureux.
Le soleil s’est levé, j’ai cligné des yeux, me suis regardé. J’étais toujours debout, rien n’avait bougé. Ravi, j’ai attendu.
Ils ne sont jamais venus, les vacances étaient terminées.
© Isabelle-Marie d’Angèle

Bonjour toi 😉
Nouvelle programmation de mon jukebox 🎶

Retour vers les années 70, jolie chanson de Michel Delpech 💖.

À sa façon de nous appeler ses « gosses »
On voyait bien qu’elle nous aimait beaucoup
C’était chez elle que notre argent de poche
Disparaissait dans les machines à sous
Après les cours, on allait boire un verre
Quand on entrait, Laurette souriait
Et d’un seul coup, nos leçons, nos problèmes
Disparaissaient quand elle nous embrassait
C’était bien chez Laurette
Quand on faisait la fête
Elle venait vers nous, Laurette
C’était bien, c’était chouette
Quand on était fauchés
Elle payait pour nous, Laurette
Et plus encore, afin qu’on soit tranquilles
Dans son café, y avait un coin pour nous
On s’y mettait pour voir passer les filles
Et j’en connais qui nous plaisaient beaucoup
Si par hasard, on avait l’âme en peine
Laurette seule savait nous consoler
Elle nous parlait et l’on riait quand même
En un clin d’œil, elle pouvait tout changer
C’était bien chez Laurette
On y retournera
Pour ne pas l’oublier, Laurette
Ce sera bien, ce sera chouette
Et on reparlera
Des histoires du passé, chez Laurette
Ce sera bien, ce sera chouette
Et on reparlera
Des histoires du passé, chez Laurette
Alors j’aime cette chanson mais j’ai quand même une préférence pour Pour un flirt , allez je te mets la vidéo dessous 👇histoire de ne pas rester sur un brin de nostalgie.
Ok ça ne nous rajeunit pas tout ça 😂.
Lalalalalalala ..avoue que tu chantes 😂 je t’entends 😄.

Bonjour toi 😉
Déjà samedi ! Tu te souviens, c’est le jour où je lance le jukebox. Que va-t-il me sortir aujourd’hui ?

Pour le coup… Devine …

Mon jukebox est très avance, je n’ai pas trouvé les paroles 🧐. C’est la nouvelle chanson de Yannick Noah sortie cette semaine. Je l’avais écoutée, elle m’avait plu. Je te la partage avec plaisir.
Du coup, je relance mon jukebox …

Ah… changement d’ambiance et d’époque 🎶 Grand écart assuré 😄.

Dans son vieux pardessus râpé Il s'en allait l'hiver, l'été Dans le petit matin frileux Mon vieux Y'avait qu'un dimanche par semaine Les autres jours, c'était la graine Qu'il allait gagner comme on peut Mon vieux L'été, on allait voir la mer Tu vois, c'était pas la misère C'était pas non plus le paradis Eh ouais, tant pis Dans son vieux pardessus râpé Il a pris, pendant des années Le même autobus de banlieue Mon vieux Le soir, en rentrant du boulot Il s'asseyait sans dire un mot Il était du genre silencieux Mon vieux Les dimanches étaient monotones On ne recevait jamais personne Ça ne le rendait pas malheureux Je crois, mon vieux Dans son vieux pardessus râpé Les jours de paye, quand il rentrait On l'entendait gueuler un peu Mon vieux Nous, on connaissait la chanson Tout y passait, bourgeois, patron La gauche, la droite, même le Bon Dieu Avec mon vieux Chez nous, y'avait pas la télé C'est dehors que j'allais chercher Pendant quelques heures l'évasion Je sais, c'est con Dire que j'ai passé des années À côté de lui, sans le regarder On a à peine ouvert les yeux Nous deux J'aurais pu, c'était pas malin Faire avec lui un bout de chemin Ça l'aurait peut-être rendu heureux Mon vieux Mais quand on a juste quinze ans On n'a pas le cœur assez grand Pour y loger toutes ces choses-là Tu vois Maintenant qu'il est loin d'ici En pensant à tout ça, je me dis J'aimerai bien qu'il soit près de moi Papa
Cette chanson m’émeut toujours autant 💖. Faut-il être bête quand même, je regarde la vidéo jusqu’au bout et mes larmes coulent toute seule. Quelle hypersensible !
La musique n’a pas d’âge, les chansons non plus. Belle journée à toi.

Bonjour bonjour !
S’il y a un artiste que j’aime et que je n’ai jamais oublié c’est Joe Dassin. Il est parti, mais ses chansons restent. Je les écoute régulièrement, et même si j’apprécie les chanteurs d’aujourd’hui, Joe reste dans mon cœur.
Je partage avec vous, celles que j’écoute le plus souvent, mais elles ne sont pas forcément les plus connues !
Allez, un p’tit coup de nostalgie ?
À très vite …
Bonjour amis d’ici 😊

Le parfum des confitures ça vous parle ? Celui des prunes en particulier, la prune d’ente ici ! Celui qui embaume toute la maison et qui rappelle tous les souvenirs.
Souvenirs souvenirs ! chantait Johnny Hallyday. Ils fleurissent dès que ce parfum m’envahit. La cueillette tout d’abord, sous un soleil de plomb, avec les copines. Le fruit juteux dont le jus dégouline sur le menton quand je le goûte. Méfiez-vous de la prune dégustée chaude au soleil sur l’arbre, elle peut vous surprendre ! 😉. Puis la prune coupée en deux, dénoyautée pour la faire cuire.
Ces souvenirs me ramènent des années en arrière. La nostalgie s’installe teintée de mélancolie.
Et le bruit ? Le glougloutement, les bulles, l’écume. La cuisson tout un art. La surveiller pour ne pas qu’elle accroche. Remuer les fruits en faisant des 8 pour bien mélanger les fruits et pour pas qu’elle brûle au fond. Je répète ce que disait maman.
Ce parfum encore qui envahit la maison, même si vous la faites cuire dehors, qui change lorsque la confiture est presque prête. La goûter pour voir si elle est cuite, sur une assiette froide. Faire un trait au milieu, la cuisson est parfaite si ça ne se rejoint pas.
La mise en pots :

Belle provision pour l’hiver jusqu’à l’année prochaine. Elle accompagnera le fromage (un régal), le petit-déjeuner sur le pain frais, le quatre-quarts , le yaourt nature, le goûter des enfants. Je suis certaine que vous avez d’autres idées.
J’avoue, c’est ma préférée. Même si celle de Mirabelles faite aussi cette année est excellente.
Et vous ? Aimez-vous les confitures ? Les faites-vous ?
À très vite…
Bonjour à vous !
J’aime bien écouter de la musique. Il parait qu’elle adoucit les mœurs, c’est Aristote qui le dit. C’est apaisant, relaxant (si vous n’écoutez pas du métal) ça fait du bien.
Bref, je me connecte à mon enceinte, je ne choisis aucune playlist et je laisse agir le flow traduisez que l’application va choisir pour moi ce que j’aime. (Ne pas confondre avec le flow qui désigne en musique le rythme ou les paroles, en rap par exemple).
Ne rêvez pas, elle est aidée parce qu’elle me connait bien et sait ce que j’écoute habituellement. Donc, je la laisse faire. J’avoue que parfois, elle me sort de ces trucs ! 😯. Je lui fais bien comprendre que je n’aime pas en mettant 😕. En général, ça se passe assez bien.
Alors c’est parti !
Rien qu’un ciel du groupe Il était une fois la chanson date de 1972 😂 Ah pour le coup, ça commence bien. Le pire… tenez-vous bien, je connaissais toutes les paroles. Ah Nostalgie… ça ne nous rajeunit pas tout ça, heureusement que je n’avais pas loin le miroir pour vérifier que je n’avais pas pris…. 50 ans !
J’espérais que la suivante allait être plus d’époques quand même ! Rien que le mot époque ça fait vieux pas vrai ? 😊
Prêts pour la 2e ?
Et si tu n’existais pas de Joe Dassin. Je ne suis pas surprise, je suis une inconditionnelle de Joe. J’aurais bien aimé faire partie de son équipe tiens !
Bon d’accord, elle date aussi celle-là. Une troisième ? Sérieux, je n’écoute pas que des années 70 quand même !!!
La même de Gims et Vianney. Ah quand même !
J’adore le clip, profitez-en pour le regarder et écoutez les paroles.
Une autre ?
Un soir de pluie de Blues trottoir Ambiance feutrée de 1987. Une belle chanson de blues ! pas étonnant qu’elle ressorte souvent dans mon flow, j’adore le saxo.
Ce petit air de nostalgie vous a plu ? Je partagerai une prochaine fois. Allez parce que c’est vous, qu’est-ce que j’écoute en ce moment ?
Bebeto de Kendji Girac — Soolking
À très vite 😊