Agenda ironique – Janvier

Bonjour toi 😉

C’est chez Jobougon que se passe l’Agenda de ce nouveau mois et nouvelle année 😁.

Je décline toute responsabilité sur le texte qui va suivre 😂, il est sorti tout droit de mon imagination et comme j’ ai l’humeur badine, voilà le résultat. L’année commence bien 😂. Tout n’est pas vrai hein ! Quoique…😁

Alors que je regardais un film avec Amélie Poulain, actrice que je n’aime pas particulièrement parce qu’elle m’énerve, va savoir pourquoi, le téléphone sonna. Chouette ! beau prétexte pour quitter l’écran.

Le numéro qui s’affichait, inconnu au bataillon. D’humeur joueuse, je décrochais quand même, à cette heure-ci, on n’allait pas chercher à me vendre des panneaux solaires, c’était la nuit !

— Salut sœurette, c’est moi !

J’avais un carambar à la bouche (oui j’aime bien manger ces trucs-là quand je regarde la télé, ça fait passer le temps), il s’accrocha à mes dents. Le temps que je parvienne à le décoller, mon frère s’impatientait.

— Tu sais que je dois choisir un nouveau gouvernement, j’ai pensé à toi.

Ouais, mon frère c’est le président de la République !

Le carambar enfin décollé, j’articulais :

— T’as fumé la moquette ?

— Tu sais bien qu’il n’y en a pas à l’Élysée.

— Ben non, tu ne m’as jamais invité, je ne connais pas.

— Justement, tu vas pouvoir le découvrir. En tant que Premier ministre, tu…

— Il n’habite pas ailleurs que l’Élysée ? T’es au courant quand même !

— Tu ne vas pas chicaner. Alors, tu acceptes ?

— J’y connais rien, je n’ai jamais fait de politique, et…

— Pas grave, comme je n’ai personne d’autre sous la main, j’ai pensé que tu pourrais faire l’affaire.

— Ah bravo ! Pour gouverner la France, t’es au top, frérot !

— Tinquiète, tu ne vas pas y rester longtemps, c’est dans l’air de changer tout le temps. On zappe, on scrolle, on passe à autre chose. Allez, je te laisse choisir ton équipe, bye !

Complètement barjo le président ! enfin mon frère, bref c’est pareil.

C’était une blague j’en étais sûre ! Peut-être un tour de l’intelligence artificielle ! Oui, un de mes potes avait dû s’amuser à ça ! Mais qui ? Je ne voyais personne d’assez doué pour me monter un numéro comme ça. Le film d’Amélie Poulain défilait encore sur l’écran et je pensais alors que je pourrais la nommer ministre de l’équitation, avec un nom pareil, ça pourrait faire rigoler, trop facile, je sais ! Je ne croyais pas que ça existait, mais ministre des Sports si ! je n’avais même pas son numéro pour l’appeler. D’ailleurs comment faisait-il le Premier ministre ? Il appelait depuis son portable ? Allo ? Bonjour, Amélie, tu veux bien devenir ministre des Sports ? D’ici qu’elle le prenne mal parce qu’elle porte le nom de poulain. Bref, je ne crois pas qu’il y ait trop d’états d’âmes dans le gouvernement, des états oui, des âmes, ça reste à voir.

Non, mais, quelle connerie ! moi Premier ministre ! Autant nommer Gaston Lagaffe à l’Éducation nationale ! Mais oui, qu’on rigole un peu ! Peut-être qu’il y aura beaucoup moins de grèves.

OK, celui qui a voulu jouer avec moi ne va pas être déçu. Je saisis une feuille, un crayon et commençais à noter :

* Ministre des Sports, Amélie Poulain, j’ai expliqué pourquoi !

* Ministre de l’Éducation nationale, Gaston Lagaffe. Ah, ils vont rigoler les profs avec lui, quand il va débarquer dans leurs classes. D’ici qu’il se prenne les pieds dans les sacs des élèves, il n’y a qu’un pas ! Les gamins vont l’adorer, surtout s’il instaure la sieste obligatoire. Et Spirou en tant que ministre du Tourisme veillera à ce que les employés soient habillés en rouge femmes et hommes confondus. Je trouve que la tenue des grooms est jolie et puis le rouge est ma couleur, personne ne la ramène, c’est moi le chef ! De toute façon, ça existe déjà les hôtesses en rouge alors ! Le chapeau peut-être pas, est-ce que ça ira à tout le monde ?

Le président est fan d’Astérix, je le sais, je verrais bien Cléopâtre ministre de la Santé, j’ai du nez pour ces choses-là, ça lui ira très bien. Y en a qui vont se faire refaire le portrait, moi je vous’le dit ! Et puis, elle fera servir des salades César à l’Élysée.

Gouvernement minimaliste, pas la peine d’en faire ces caisses, j’ajoute un ministre des armées pour faire régner l’ordre avec Perceval, un chevalier, sur un beau cheval, va pour le blanc parce qu’on dit toujours qu’un beau destrier arrivait sur son cheval blanc, et la tenue d’armure qui va avec. À savoir si la table des conseils des ministres est ronde ! J’espère, il s’y sentira plus à l’aise. Au pire, il la fera changer. Mieux, je vais en parler au président, après tout, c’est moi le Premier ministre. Ah j’oubliais, Simplet pourrait bien être le ministre de la musique. Il sait bien danser et mettre l’ambiance. Après, je pense qu’il pourrait remplir tous les postes, mais je ne sais pas s’il aura le temps, parce qu’il doit aussi aller à la mine. Une fois n’est pas coutume, un ministre qui travaille ça ne s’est jamais vu !

À très vite…

Les enquêtes improbables de Mulford Sploodge – Sylvain Gillet

Bonjour toi 😉

Je partage avec toi le retour de lecture de ces enquêtes improbables 😉.

Un polar hors normes, avec un personnage principal aussi stupide que sympathique. « Son humour est aussi dépassé que sa vision du monde. C’est un inculte total. Il me parle régulièrement des Misérables d’Émile Zola et croit que Séoul est en Afrique. Rends-toi compte : il télécharge des défilés militaires pour les regarder le week-end ! En plus, c’est le gars le plus corrompu que j’aie jamais vu. Il est macho, sexiste et pour ce qui est de ses opinions politiques, il me donne envie de gerber… ». Voici ce que Yolande dit de son patron, l’improbable Mulford Sploodge, détective privé, mais surtout d’intelligence. Découvrez les 33 enquêtes du détective le plus stupide jamais inventé.

Polar ? Oui, mais complètement décalé avec un enquêteur qui même s’il agace le lecteur, voire même qu’il l’insupporte au plus haut point, ne peut le laisser indifférent. Quand Sylvain Gillet m’a envoyé un message pour me demander de chroniquer son livre (parce que je l’avais déjà fait auparavant et qu’il avait aimé) voir ici,/, j’ai accepté parce que j’aime sa plume même si parfois, elle me surprend et me fait sortir de ma zone de confort (c’est le moins que l’on puisse dire 😂).

D’accord, quand j’ai commencé ma lecture, je ne me suis pas sentie sereine du tout, parce que je ne savais pas du tout où l’auteur allait m’embarquer avec son enquêteur, nul, il faut le dire. Mais qu’est-ce que c’est que ce polar ?

Seulement voilà, l’auteur, je l’ai déjà lu, je connais son style et comme toujours, je me suis laissée prendre au jeu de ce Mulford Sploodge complètement loufoque, grivois, qui ne se prend pas du tout au sérieux, vulgaire, qui nage en plein délire à chaque enquête. Il aime les femmes, il pense qu’elles se pâment toutes en sa présence et c’est un euphémisme. C’est un homme qui ne doute de rien et il pourrait même avoir le rôle d’un super héros. C’est lui qui raconte ses enquêtes à sa manière, il a un problème de mémoire parce qu’il navigue entre l’ère 140 de l’année 23434 à nos jours.

J’avoue, j’ai ri et je salue bien bas les jeux de mots de l’auteur qui manie ça vraiment très bien. C’est un régal et j’ai parfois pensé aux sketchs de Raymond Devos.

En début de livre, Sylvain Gillet préconise à ses lecteurs qu’il serait bon de ne pas lire plus de deux enquêtes par jour, c’est un conseil de l’Organisation internationale de la santé psychique, parait-il ! Le ton est donné !

Extrait :

… Vous faites trente centimètres, vous êtes vert et longiligne, il semblerait que vous soyez un concombre…. Vous auriez dû vous adresser à un de mes collègues : Hercule Poirot.

— Il se noie actuellement dans une affaire plutôt trouble à Souppes-sur-Loing, une enquête qui pourrait le mener jusqu’à Lannion en Bretagne.

— De Souppes à Lannion donc…

— C’est cela… Vous avez un nom ?

— Vladimir Pourfairelavaisselle.

… Trois jours plus tard, l’enquête dite du Concombre pas masqué était résolue. J’avais invité mon client Vladimir à me rejoindre.

— L’homme qui vous suit partout s’appelle le docteur Yes.

— Mais que me veut-il ?

— Vous n’avez pas lu l’enquête précédente ? Cet individu est un passionné de yaourt. Vous êtes un concombre, Vladimir, ne voyez-vous pas le rapport avec le yaourt ?

Bonne lecture.

À très vite…

Histoire de mains

Bonjour toi 😉

Je ne savais pas ce que j’allais écrire aujourd’hui. Puis, m’est venue l’idée de parler des mains en y glissant plusieurs expressions s’y rapportant. Imagine un peu qu’un de tes pouces soit en grève ? 😁.

7 h du mat ! L’heure de s’éveiller et de s’étirer.

Terminée la nuit ! les deux mains blotties sous l’oreiller, bien au chaud, commencent à se tortiller pour se mettre au travail.

C’est qu’il y en a à faire le matin ! Appuyer sur le réveil pour que la sonnette s’éteigne, et déjà ce n’est pas gagné parce qu’il faut y aller à tâtons. C’est Index, Majeur et Annulaire qui s’y collent, main droite évidemment, main gauche c’est la flémarde. Elle est là pour aider, mais quelle pataude ! Sa jumelle se moque souvent d’elle en lui répétant qu’elle devrait s’entrainer, elle aime assez lui passer la main dans le dos en la flattant !

Ouf, silence ! il est temps de se lever. Ils applaudirent des deux mains pour se mettre en route en même temps, tous ? Mais non, il en manque un ! Pouce droit refuse de bouger.

Horrifiées, les mains se regardent. Ils se tournent vers Pouce gauche qui se recroqueville sur lui-même. Pris la main dans le sac, il doit s’expliquer.

— Je n’sais rien, promis !

— Tu parles, vous êtes toujours cul et chemise, vous faites la même chose, ne nous raconte pas d’histoire, le taxent les deux majeurs de concert.

— Ben justement, se relève un peu Pouce gauche, il est fatigué de devoir travailler plus que moi. Il n’y est pas allé de main morte hier !

— Ah, ça, je t’avais prévenu, ricane Auriculaire droit, tu devais t’entrainer pour le remplacer. Regarde, mon jumeau sait parfaitement se gratter l’oreille autant que moi, en un tour de main il a tout compris.

— Et moi, ajoute Annulaire droit, je porte aussi des bagues.

— Personne ne vous a forcé la main, les stoppent les Majeurs qui prennent très au sérieux leurs rôles de plus grands et n’ont pas toujours le cœur sur la main, quelles sont ses revendications ?

— Il en a assez d’être souvent levé sur le bord de la route, il en a attrapé des crevasses à force d’être en plein vent, surtout que ça ne servait pas à grand-chose.

— Quelle idée saugrenue de se dresser ainsi pour faire arrêter les voitures, répondirent les majeurs.

— Oh, ça va, vous n’êtes pas mal non plus quand vous êtes en colère et que vous vous relevez en nous priant bien de rester pliés pour qu’on ne voit que vous, rétorqua Pouce gauche.

Les majeurs baissèrent la tête, pas fiers du tout, rien d’honorifique dans ça !

— Et puis, continua Pouce gauche, il en avait ras la casquette de commencer à compter. Un… c’est toujours lui qui s’y colle, à croire que je suis là pour du poivre et du sel.

Personne ne répondit. Ils se voyaient mal à sa place, surtout les deux auriculaires qui souffraient d’être les plus petits, ils devaient prendre leur courage à deux mains pour aider les plus grands.

— Nous, dirent en chœur les Index, on montre du doigt, ce n’est pas mieux.

— Moi, j’ai une tendinite. Quelle idée de tenir longtemps les manettes. Ras-le-bol de tourner dans tous les sens, personne ne me demande s’il m’arrive d’avoir mal à la tête ? Il n’a pas la main légère croyez-moi ! Je pense aussi qu’il a mal à force d’être rongé. Il s’est mis en grève. Regardez-le, il est juste replié sur lui-même en attendant d’aller mieux.

— En grève ? crièrent-ils tous en même temps.

Ils se voyaient déjà enserrant les panneaux de revendications, dans le froid, les bousculades, les chants. Pas question d’avoir les mains dans les poches ! La main sur le cœur qu’ils détestent les grèves. Les gants, ça existe pourtant ! qui doit s’enduire de crème après ?

— Et comment faire pour tenir le stylo ? se lamentèrent Index et Majeur, on ne peut pas faire ça sans lui.

Ils regardèrent la main gauche.

— On ne promet rien, on n’est pas entrainé, on pourrait même dire qu’on a les mains pleines de pouces sans vouloir faire de mauvais esprit.

— J’en aurais mis ma main au feu que vous vous débineriez.

C’est alors que Pouce droit leva la tête.

— Je vais faire des pieds et mains pour vous aider, allez au boulot, il est temps d’aller se laver, s’habiller, préparer le petit déjeuner… en fait, vous m’avez bien forcé la main !

De joie, ils se frottèrent les mains.

© Isabelle-Marie d’Angèle

À très vite…

Vendredi 13 en rimes

Bonjour toi 😉

Pour certains ça porte bonheur, pour d’autres ça porte malheur. Pour ma part, ça m’est égal. Je me souviens d’avoir joué au loto juste pour voir… je n’ai rien gagné 😁 et j’ai perdu la mise 😂. En fait, je crois que c’est le fait d’en entendre parler qui me fait penser que oui peut-être, enfin, …, bref, de toute façon, je ne suis pas superstitieuse ça porte malheur (j’adore cette expression 😁).

Du coup, je me suis amusée à écrire ce texte en rimes sur le mot treize.

– Ne vous en déplaise, Thérèse,
C’est aujourd’hui vendredi treize.
Ne soyez pas mal à l’aise
Ces superstitions ne sont que des fadaises.
– Vous dites n’importe quoi Blaise,
Moi qui suis Française…
– J’ouvre une parenthèse, Thérèse,
Asseyez-vous donc sur cette chaise,
Et prenez place devant mes merguez.
– Je n’aime pas les merguez, Blaise,
Je pensais que depuis le temps vous le saviez, punaise !
– Il est vrai que vos cèpes à la mode landaise, remarqua Blaise
– Heureuse qu’ils vous plaisent, minauda Thérèse
– Oui enfin, ne ramenez pas trop votre fraise,
Pas la peine d’en faire une thèse,
Ma sauce hollandaise…
– Pas envie de devenir obèse, Blaise,
– Mais enfin Thérèse, avouez que ma sauce est balèse.
– Pas plus que ma crème anglaise, ne vous en déplaise Blaise !
Celui-ci la regarda avec ses yeux de braise. Malaise !
Thérèse n’aimait pas Blaise, mais Blaise aimait Thérèse.
– N’empêche Blaise, que nous sommes vendredi treize
Et tout ce que vous me dites sont des foutaises.
Je n’aime pas vos merguez, ni vous Blaise.
Ça, c’est la douche écossaise.

© Isabelle-Marie d’Angèle (septembre 2024)


À très vite…

Mes lectures de l’été

Bonjour toi 😉

Je ne sais pas toi, mais l’été je lis souvent des histoires légères qui me font rire, sourire, qui me font du bien et qui ne me demandent pas trop de réflexion.

Avec les deux premières auteures, je me doutais que j’allais me régaler sans jeux de mots pour la première avec sa confiserie qui rien qu’au titre donne l’eau à la bouche.

Jenny Colgan, depuis sa boulangerie au bout du monde, je n’hésite pas à acheter ses romans. Je ne suis jamais déçue. Ici, c’est dans une confiserie après une pâtisserie pour ceux qui connaissent 😉, que je me retrouve. Je te garantis que les parfums, je les ai bien sentis 😃. L’auteure a le génie d’expliquer en guise de début de chapitre ce qu’est telle ou telle friandise, avec son avis tout personnel 😉. J’ai tout aimé dans l’histoire et une fois de plus, je me rends compte si je ne le savais pas déjà que le passé te rattrape toujours. Rosie retrouve sa tante qui tenait autrefois cette confiserie. Elle est maintenant âgée et ne peut plus s’en occuper, c’est Rosie qui va prendre le relai tout en prenant soin d’elle qui n’a pas un caractère facile.

À découvrir sans hésitation.

Avec Sophie Kinsella, je participe à la pire fête de l’année et je ris. Cette auteure a le don d’inventer les situations les plus abracadabrantes et là, elle s’est lâchée, j’en souris encore en y repensant. Imagine-toi que tu n’es pas invitée à la grande réunion de famille dans ta maison d’enfance, qui vient d’être vendue. Que fais-tu ? tu restes dans ton coin en ruminant ta rancune ? Ou comme ici, tu y vas, mais tu connais parfaitement l’endroit et ses cachettes alors tu participes à tout sans que personne ne te voie. Évidemment, tu en apprends des choses 😂.

Mais, mon coup de cœur de cet été est Le Rossignol de Anne-Gaëlle Huon.

Premier roman que je découvre et j’ai été conquise. Me voilà plongée dans l’univers des oiseaux et des siffleurs. Magnifique ! Je ne t’en raconte pas plus, mais je te susurre quand même que j’ai été sincèrement émue. Que de beaux sentiments ! si j’avais pu, j’aurais lu ce roman d’une traite. Une histoire d’amitié… jusqu’au bout. J’ai volé dans la baie de somme avec les migrateurs en compagnie de ces deux gamins qui les découvraient et les imitaient, mais chut ! Écoute…

À très vite…

Blagues

Bonjour toi 😉

Jour des enfants et si on racontait des blagues ? 🤭

— Qu’est-ce qui a deux bosses et qui vit au Pôle Nord ?

 — Un chameau qui s’est perdu.

—  Dans quel pays ne peut-on pas bronzer du nez ?

— le Népal.

— Que dit un zéro à un huit ?

— Belle ceinture !

— Pourquoi les canards sont-ils toujours à l’heure ?

— Parce qu’ils sont dans l’étang !

— Comment les abeilles communiquent-elles entre elles ?

— Par e-miel !

— Quel est le comble pour un jongleur ?

— Perdre la boule !

— Comment appelle-t-on un chat qui fait des blagues ?

— Un chat-pitre !

— Que dit un escargot quand il voit passer une limace ?

— Oh, la belle décapotable ! 

— Quel est le pain préféré du magicien ?

— La baguette.

Bon mercredi 💖

À très vite…

Bavardage entre moi et moi

Bonjour toi 😉

Mais comment ça c’est déjà l’après-midi ?

Heu…

Tu parles que tu réfléchis ! Comment ça tu rigoles !

C’est ça, fais celle qui ne comprend pas !

Et tu crois que ça va marcher ? Ben voyons, c’est un peu facile !

C’est ça à demain et j’espère que tu auras un texte à proposer !

À très vite…

Humour du jour

Bonjour toi 😉

Il arrive que je sèche 😂. je suis rentrée au bercail, le temps de tout ranger, de faire le repas, bref… l’inspiration n’est pas forcément au rendez-vous. On rigole ensemble ?

Il n’y a que moi qui rigole ? 😂😂

À très vite…