Romance Cupidonetmoi.com – Extrait

Léandre parut en jeans et torse-nu, ses boucles dégoulinantes sur ses épaules. Il se frotta énergiquement la tête avec une serviette. Il sentait bon le gel douche et Léonie avala difficilement sa salive. Il s’approcha d’elle pour voir ce qu’il avait à proposer comme boisson. Elle resta immobile très troublée par la promiscuité de l’homme qui s’affairait autour d’elle. Il posa la serviette sur le bord du comptoir et saisit une bouteille de vin blanc.

— Nous allons faire la fête, regarde, j’ai un moelleux avec du foie gras. Tu es partante ?

Il se tourna vers elle quêtant son approbation. Il sentit immédiatement la tension sexuelle qui s’installait. Elle le contemplait avec admiration et il ne fut pas certain qu’elle ait entendu sa question. Quand elle se rendit compte du silence pesant, elle rougit, se reprit et répondit :

— Parfait ! Je n’ai pas l’habitude de manger du foie gras comme ça.

Elle se détourna. Il posa la bouteille.

— Léonie ?

Elle se retourna trop vite et se colla à lui. Beaucoup plus petite que lui qui mesurait un mètre quatre-vingt-dix, sa bouche rencontra sa peau nue. Il la souleva et l’installa sur le comptoir.

— Ce sera beaucoup plus pratique, tu ne crois pas ? murmura-t-il de sa voix rauque.

Ils étaient tous deux face à face. Lui, toujours torse nu. Elle n’osait plus le regarder, son cœur battant la chamade. Que cet homme avait du charme ! Elle n’avait pas ressenti ça depuis des années, mais impossible de tomber amoureuse d’un agriculteur, ça ne collerait pas. Pourtant, quand il saisit son visage d’une main et que de l’autre, il fourragea dans ses cheveux, elle faillit lâcher prise.

La suite c’est ici

Mon thriller : Extrait

La photo est celle de mon atelier où naissent toutes mes histoires 🙂

Chapitre 27

Hugo Cortilla et Esteban Blaviso contemplaient avec stupeur les deux visages affichés. Les deux hommes qu’ils avaient surpris en grande conversation avec Frédéric Marteau avaient tous deux, fait de la prison.

— Convoquons-les ! dit aussitôt Esteban

— Sous quel prétexte ?

Hugo regarda son collègue.

— Nous n’avons aucun motif pour les faire venir ici et comment leur expliquer que nous les avons pris en photo ?

Le colonel Faventiny qui entrait dans leur bureau entendit la dernière phrase.

— Il y a des moments où il faut tricher avec les règles. Inventer un banal contrôle de police par exemple. Je ne vais pas vous apprendre votre boulot, les gars !

Les deux hommes contemplèrent le père de leur commandant.

— Nous allons tout reprendre depuis le début, proposa Hugo. Il y a certainement un détail qui nous a échappé.

— On ne peut pas dire mieux, grommela le colonel. Mais vous allez encore perdre du temps. À la base, pourquoi mon fils et ma belle-fille ont-ils hérité de cette maison ? Il faut chercher de ce côté. Ensuite, pourquoi la copine de Marteau a-t-elle été assassinée ? En fait, vous n’avez rien fait. Vous ne savez rien. Vous êtes des triples buses.

Le colonel Faventiny était très en colère. Hugo, vexé, se tut. Esteban, lui, se rebiffa aussitôt.

— Vous êtes dur Colonel ! Le commandant on l’aime bien, on a toujours fait ce qu’il nous disait et…

— C’est justement ça le problème l’ami, il n’est plus là, il a besoin de votre aide, alors bougez-vous. Je ne le répéterai pas deux fois.

Il sortit en claquant la porte.

— Il a raison Esteban ! Il faut qu’on se bouge le cul !

La suite c’est ici

Bonne lecture amis de passage sur mon blog 😍💟

Lords et Ladies

Les sœurs de Romagne

Le comte Rodolphe et la Comtesse Sophie De Romagne ont deux filles. Adélaïde, vingt-cinq ans, qui n’a toujours pas compris que les années ont changé et que le temps de la noblesse est révolu. Héloïse, la cadette, qui va fêter ses vingt ans, et qui au contraire de sa sœur est bien une jeune de notre époque.

Adélaïde va se marier avec Geoffrey de Lamarlière. Est-il vraiment amoureux ? Que cache-t-il ?

Héloïse semble reconnaître le palefrenier Emilio qui s’occupe des chevaux du Comte. Qui est cet Emilio qui se fait appeler Emilio De rien du tout ? Rodolphe de Romagne paraît bien le connaître pourtant !

Entre l’une qui vit au temps d’avant et l’autre qui est bien une fille d’aujourd’hui avec un nom à particule, les répliques font mouche. Vont-elles trouver le bonheur ?

A suivre ici

Nouvelle romance en concours

N’oubliez pas le thriller Un héritage empoisonné est toujours en lice ici

Vous avez dit Thriller ?

Résumé :

Coralie et Daniel Faventiny sont jeunes mariés et ont hérité d’une superbe bâtisse qui ressemble à un château. Il est commandant à la brigade criminelle, elle est médecin légiste.

Ils ne sont pas arrivés depuis dix minutes que déjà, des petites choses les intriguent comme des sels de bain autour du jacuzzi, un lit fait avec leur parure de draps, et aussi une porte qui claque alors qu’elle est censée être inhabitée depuis longtemps.

Mais de qui vient cette maison et pourquoi l’ont-ils reçue en cadeau de mariage ?

Extrait …

Ils étaient à peine à l’intérieur qu’un bruit au loin dans la maison claqua.

— Tu as entendu ?

— Sans doute un courant d’air quand nous sommes entrés.

— Il faudra vérifier les ouvertures.

— Ah ! tu ne vas pas commencer Dany, ne joues pas au flic avec moi.

Il ne répondit pas et entraina sa compagne dans l’escalier qui menait à l’étage.

— Tu as remarqué ?

— Quoi encore ?

— Il ne fait pas froid !

Effectivement, pour une maison qui devait être fermée depuis longtemps, il n’y avait aucune trace d’humidité et d’air cru.

— Et ça ne sent pas le renfermé, répliqua Daniel.

— C’est génial ! Il n’y aura pas de gros travaux à faire.

— Si c’était le cas, nous pourrions toujours la revendre. S’il ne fait pas froid, il ne devait donc pas y avoir une fenêtre ouverte, remarqua Daniel.

— Il ne fait pas non plus, une température en dessous de zéro, Dany. Dis-moi ce qui te tracasse, tu ne l’aimes pas la maison ?

— Je suis très méfiant. Mais continuons de visiter.

Coralie partit devant et poussa les portes de l’étage une à une. Elle resta pantoise face à la salle de bains.

— Tu as vu Daniel ?

Comme il ne répondait pas, elle se regarda dans le miroir. Jolie brunette aux cheveux longs toujours attachés. Pourquoi avoir une telle masse lui répétait sa collègue si tu dois souvent les remonter. Personne ne pouvait comprendre. Sans sa tignasse, elle se sentait toute nue. Et puis Daniel l’aimait ainsi.

Un jacuzzi la narguait. Dernier modèle, s’il vous plait ! Ce qui l’intrigua encore plus c’est que différents sels de bains et de gels douche étaient disposés sur le rebord. Si son homme voyait ça, il allait de nouveau se poser des questions. C’était bizarre quand même !

Deux vasques faisaient face à la glace. Elle n’aperçut aucune serviette accrochée.

Elle ressortit de la pièce et poursuivit ses investigations, en ouvrant les portes les unes après les autres. Trois chambres de dimensions raisonnables se suivaient. Elle appela à nouveau son mari. Laquelle allaient-ils choisir ?

— Daniel ?

— Je suis en bas. Viens voir la cuisine.

Elle dévala l’escalier.

— Du chêne ! mazette !

— Pour le coup, ce n’est pas moderne.

— Tu aimes chérie ?

— Je ne vais pas faire la difficile et puis franchement, quand le camion va débarquer avec toutes nos affaires, la pièce prendra une tout autre allure.

— D’ailleurs, leur arrivée est pour quand ?

Coralie regarda sa montre.

— J’imagine qu’ils ne vont plus tarder.

— Viens, continuons notre visite. Quelle chambre préfères-tu ma puce ?

Ils repartirent à l’étage. C’était bizarre de découvrir une maison qui allait devenir la leur alors qu’ils ne l’avaient jamais vue. Par rapport à leur appartement, classe, d’accord, il n’y avait pas photo, ici il y avait de la place pour recevoir leurs amis.

— J’ai réfléchi que nous pourrions pendre la crémaillère prochainement non ?

Ils étaient sur le palier et poussèrent la première porte. Coralie stupéfaite contempla le lit.

— Tu as vu ? Il est fait ! Je suis certaine qu’il ne l’était pas quand je suis venue tout à l’heure.

— La personne est rudement rapide. Quand je pense à nos galères pour bien tirer la couette.

— Daniel, je ne plaisante pas. Il y a quelques instants, tu râlais parce que tu avais entendu une porte claquer, et là, tu n’es même pas étonné ? De toute façon, je ne dormirais pas dans ces draps. Imagine qu’ils soient sales ?

Elle s’approcha pour les sentir. Un subtil parfum d’adoucissant lui chatouilla les narines.

— C’est le même que le nôtre. Fleur de coton.

En se penchant sur le lit, elle reconnut sa parure.

— Mais regarde ! C’est celle que nous avions encore hier soir !

La suite c’est ici Un héritage empoisonné 😊

N’hésitez pas à Liker pour débloquer les chapitres suivants. C’est un super challenge que je me suis fixé. Merci 🧡