Que devient Muguette ?

Bonjour toi 😘

Comment ça tu n’as pas encore terminé le tome 2 de Muguette ?

Eh bien non ! Et pourquoi donc ?

Figure-toi que j’ai repris mon bouquin et j’ai relu ce que j’avais écrit. Pourquoi a-t-il fallu que je fasse la même chose avec Noël à la maison des cœurs blessés ? Au fond de moi, je savais !

Georges mon héros est bien meilleur que le Jasmin de Muguette.

Au fil des pages, je répétais devant l’air narquois de Monsieur Chéri, c’est moi qui ai inventé ça ? Cette romance de Noël, je l’adore ! Il n’y a que moi, en fait, parce que je ne sais pas et comment le savoir, si ce que j’écris, c’est bien. Bref !

Revenons à Muguette. Je ne sais pas si le fait qu’elle ait eu une petite fille l’a assagi, toujours est-il que je ne parviens pas à lui redonner le ton mordant qu’elle avait avant.

Et Jasmin ? Je le trouve bien trop calme, sans répartie, et pas rigolo du tout. Je comprends tout à fait ma Muguette qui refuse de vivre avec lui. Me voilà bien !

J’écris trois phrases, je rature. Je laisse passer quelque temps, je m’y remets avec une autre piste, rebelote ça ne matche pas.

Trop d’idées, trop de personnages qui me titillent, parce qu’il faut bien l’avouer, le premier tome appelle une suite.

Alors, je jette tout en vrac ce qui me passe par la tête et je sais qu’il va y avoir un sacré travail de débroussaillage.

Jasmin n’est plus directeur des Impôts (pour le moment 😏), il cesse de se lamenter et reprend les rênes du domaine familial. Qu’il en impose que diable !

Je n’ai pas encore la réaction de Muguette.

Trois ans ont passé quand même et sa fille n’est plus un bébé. Je te rappelle que sa meilleure amie, Prune, avait accouché en même temps qu’elle, seulement elle a fait un déni de grossesse et refuse de s’occuper de son enfant dont elle affirme qu’il n’est pas à elle.

Tu vois un peu dans quelle galère je suis pour dépatouiller ça et que mon histoire ressemble à quelque chose qui me plaise et surtout tienne la route ?

Voilà donc l’explication du pourquoi je suis moins sur le blog 😏.

Autre chose, quand Muguette est sortie de mon imagination, elle était ma thérapie… C’était il y a plus de cinq ans… Plus apaisée aujourd’hui, Muguette l’est aussi…

À très vite…

Voilà le printemps

Bonjour toi 😉

Je célèbre le printemps à ma manière 😁, je ne sais pas si la météo est au courant que c’est aujourd’hui 😂. De ma fenêtre je vois le ciel gris et j’entends le vent souffler 🌬, il faudra lui dire quand même au ciel que c’est le printemps 😏. Voilà pourquoi, ici, il est arrivé.

Je reviens vite te parler de Muguette qui me prend un peu beaucoup de temps.

À très vite…

Agenda ironique – Mars

Bonjour toi 😉

C’est Mijo qui reprend le flambeau et ci-dessous 👇 tout est bien expliqué. Le texte commencera ainsi : C’est au cours d’un repas de famille qu’il eut une révélation. Aucun membre n’avait comme lui des yeux de merlan frit, mais tous avaient quelque chose de poissonneux. Le tonton, par exemple, c’était son air saumon.

Pour la suite… va voir chez Mijo

Voici mon texte 👇

Taquiner le poisson en famille

C’est au cours d’un repas de famille qu’il eut une révélation. Aucun membre n’avait comme lui des yeux de merlan frit, mais tous avaient quelque chose de poissonneux. Le tonton, par exemple, c’était son air saumon. Et sa fille ! une anguille ! pas moyen de capter son regard et au mieux l’approcher, elle filait à toute allure. Il n’avait toujours pas compris comment elle s’y prenait pour aller aussi vite. Elle était la reine de la queue de poisson sur la route, il en était sûr. Elle s’appelait Ondine. À force de la fixer, il en baillait comme une huitre, pire, il était comme le fruit de mer accroché à son rocher. Elle n’avait rien de à sa mère, Marina, qui riait comme une baleine à la moindre occasion. Elle faisait des vagues pour rien et soufflait comme un phoque quand son mari lui disait de se taire. Sa tante, son oncle et… sa cousine. Il en pinçait pour sa cousine, impossible ! Bon, ce n’était pas tout à fait sa vraie cousine, parce que l’oncle avec un QI d’une huitre ne ressemblait pas à son père, un requin de la finance. D’ailleurs, les deux hommes s’engueulaient tout le temps comme du poisson pourri. L’un était riche et frais comme un gardon et l’autre, bah l’autre, il était muet comme une carpe quand il s’agissait de parler boulot.

Son regard accrocha celui d’Ondine. Un beau vert océan. Il s’y perdit.

Il sursauta quand son père l’apostropha :

— Eh bien Colin, tu les manges tes oursins ? Ils ne sont pas dans tes poches ceux-là !

Il devint rouge comme une écrevisse alors que dans ses oreilles résonnait le chant des sirènes.

© Isabelle-Marie d’Angèle

À très vite…

Agenda ironique – Résultats

Bonjour toi 😉

C’est avec grand bonheur que j’annonce que c’est Jo Bougon qui est arrivée en tête, suivie de très prés par Gibulène. Encore merci pour toutes vos participations, j’ai été ravie d’accueillir l’agenda ici.

JO serait elle partante pour recevoir l’agenda chez elle ?

Je te souhaite un très joli mois de mars 💗

À très vite…