En voilà une citation qui va te mettre de bonne humeur pour la journée, voire pour la saison 😉, qu’en penses-tu ? Je me souviens de fous rire au camping quand je regardais le montage des tentes 😁, ok aujourd’hui, il n’y a plus beaucoup de tentes, on est plus sur de l’hôtel de plein air 😁, et puis la queue aux toilettes avec le rouleau de PQ, et puis les bronzages blancs, rouges et les traces de maillot, quand j’y repense aujourd’hui, on n’a plus le droit de rire de rien sans être taxé de …. tout ! Ce n’était pas méchant ! Donc, d’accord avec l’ami Flaubert 😎.
As-tu des souvenirs d’été qui t’ont fait rigoler comme ça pour rien ?
Voici les toutes dernières photos de mon jardin. J’imagine qu’en septembre, il n’aura plus du tout la même allure 😁. Tu ne verras donc pas les belles de nuit qui ne sont pas encore fleuries. Par contre, tu vas pouvoir découvrir mon bougainvillée, l’agapanthe et les marguerites. Il y les roses, les mures qui arrivent, les hortensias, la lavande, les gerbéras jaunes, rouges et oranges. Quant à la dernière image, ni Monsieur Chéri ni moi ne savons ce que c’est, nous l’avions récupéré à Mimizan dans les pins, c’était tout petit, et voilà avec les mains de Monsieur comment c’est devenu. Si tu connais cet arbuste, n’hésite pas à me le dire 😉.
C’était le moment du petit déjeuner. Alors que Stefano et Héloïse picoraient dans leur assiette, Joe annonça :
— Je me suis arrangé avec Mathurin, nous partons quelques jours en camping-car.
Les enfants levèrent le nez en même temps.
— Vrai ? demanda Stefano les yeux brillants.
— On emmène Texas ? Héloïse caressait la tête du terre-neuve qui entendant son nom dressait les oreilles.
— Bien sûr, c’est vacances pour tous les quatre et lui.
— Je prépare les sacs, dit Charlie.
Branle-bas de combat, les gamins débarrassèrent la table, mais Joe les stoppa dans leur élan.
— Auparavant, je mets les choses au clair.
Tous trois le regardèrent.
— Je ne veux plus entendre parler de magie, de sorcier ou de fée qui se transforme en grenouille. Nous reprenons le cours de notre vie normale, je pense que nous en avons tous besoin. Est-ce bien compris ?
Stefano fit un grand oui de la tête. Joe fixa Charlie et Héloïse. La jeune femme vint entrelacer ses doigts aux siens.
— Promis !
Héloïse fit de même et lui murmura à l’oreille.
— J’aime bien quand on part en vacances, c’est magique aussi.
— Alors, c’est entendu.
Il ne fallut pas longtemps pour que les sacs soient prêts. Charlie décida qu’ils achèteraient le pain en route, elle ajouta deux paquets de pâtes, des œufs et du jambon, quelques fruits et yaourts et ils grimpèrent dans le camping-car. Le terre-neuve attaché se coucha aux pieds des enfants.
Joe savait parfaitement où ils s’arrêteraient. Il avait choisi un bord de lac. Les gamins ravis enfilèrent rapidement leur maillot de bain et le chien n’hésita pas à se jeter à l’eau. Joe lui lançait un bâton que l’animal partait chercher avec d’énormes éclaboussements. Quand il sortait pour le ramener à son maître, il ne manquait jamais de s’ébrouer ce qui déclenchait de grands éclats de rire chez les enfants.
Seule, Charlie peinait à se mettre à l’unisson. Elle n’avait pas osé dire que la pleine lune approchait, qu’elle devrait une fois de plus s’absenter et emmener avec elle sa fille. Elle tentait d’occulter cette part de magie de sa tête et parfois elle songeait même à renier ce don qui faisait d’elle la sorcière des oiseaux. D’ailleurs, Joe ne semblait pas avoir vu que depuis leur arrivée, les chants et les sifflements s’étaient intensifiés. Dès qu’elle levait les yeux, elle apercevait des vols très haut dans le ciel. La nature elle-même s’émerveillait de la venue de cette sorcière, mais elle était la seule à remarquer que les pâquerettes s’épanouissaient à son approche et que l’herbe frissonnait sous ses pas.
Elle se secoua et tenta une fois de plus de chasser ces pensées parasitaires.
— Regarde ce poisson !
Stefano appelait son père.
— Tu as pris ta canne à pêche ? C’est quoi, tu as vu sa couleur ?
Texas le terre-neuve sortit de l’eau et après s’être ébroué, se coucha dans le pré, le museau entre les pattes.
Surpris, Joe le taquina :
— Eh ben mon gros, déjà fatigué ?
Puis il se tourna vers son fils pour regarder le poisson.
Héloïse écarquilla les yeux et seule Charlie l’entendit :
— On dirait une sirène !
Elle n’eut pas le temps de réagir qu’un chant s’éleva, puis un cri venu du ciel lui parvint aux oreilles. Elle leva la tête et aperçut un aigle qui fonçait vers eux et tout s’enchaina à une vitesse fulgurante.
Le chien se mit à aboyer furieusement et courut vers son maitre. Joe écoutait la musique et marchait dans l’eau. Texas le suivit et l’attrapa par la chemise pour le retenir. Héloïse cria, Stefano sauta à son tour dans le lac. L’aigle plongea, Joe avait de l’eau jusqu’aux épaules et continuait d’avancer. Charlie leva les bras vers le ciel et une nuée d’oiseaux apparut, leur chant et sifflement couvrirent celui de la sirène, Joe qui avait maintenant de l’eau jusqu’au cou allait couler quand il s’éleva soudain dans les airs, l’aigle étant passé sous lui. Il le déposa délicatement sur l’herbe et s’envola. Le chant se tut, on n’entendait plus que les gazouillements familiers. Stefano et Charlie vinrent près de lui, alors qu’Héloïse disait au revoir à Senu qu’elle avait reconnu. Texas lécha son maître et laissa tomber le bout de bois à ses pieds.
— Alors mon chien, tu n’es plus fatigué ?
Comme si de rien n’était, Joe lança le bâton côté opposé au lac.
— Finalement, si on changeait d’endroit ? dit Joe. Et quelqu’un peut-il m’expliquer pourquoi je suis trempé ?
— C’est la faute à Texas répondit aussitôt Héloïse, regarde Stefano aussi est mouillé.
— Venez vous sécher les enfants, dit alors Charlie.
Alors qu’elle se dirigeait vers le camping-car, elle aperçut une grenouille qui sautait difficilement. Dès qu’elle vit Charlie, elle voulut se cacher dans les herbes, mais elle peinait à se déplacer.
— Te voilà bien punie Nymphaïa ou devrais-je t’appeler Gertrude ?
Texas arriva au galop du museau poussa le batracien qui roula sur le côté. Il s’en désintéressa aussitôt.
— Tu as vu comme elle est moche la grenouille, remarqua Héloïse. Elle n’a pas de chance, elle a dû faire une sacrée bêtise pour être comme ça.
Seule dans le camping-car, à la recherche des serviettes, Charlie prit le temps d’ouvrir son esprit pour remercier Straurius. Elle sut qu’il l’avait entendu, au léger souffle de vent qui vint lui caresser le visage.
Je n’avais pas compris et je ne comprenais toujours pas. Archibald ne m’avait jamais parlé de ses parents. Mélusine était aussi surprise que moi. J’avais beau essayé de me rappeler s’il y avait fait allusion quand nous étions plus jeunes, et force est de constater que c’était le silence radio.
Je m’étais d’ailleurs demandé pourquoi les miens ne l’appréciaient pas, peut-être qu’eux les connaissaient.
Toujours est-il que depuis qu’Archibald savait qu’ils étaient dans la région et qu’ils s’y étaient installés, il était d’une humeur massacrante et refusait le dialogue avec nous.
La semaine dernière quand il les avait reconnus sur la place du village, je ne l’avais jamais vu aussi pâle. Les habitants curieux étaient ravis d’avoir un tel scoop, mais Archibald les avait tous laissés sur leur faim en remontant dans sa camionnette, sans même un regard pour eux.
Mélusine et moi étions restées médusées, ce n’était pas du tout dans le caractère d’Archibald de se comporter ainsi, il devait s’être passé quelque chose de rudement grave pour qu’il ne veuille pas parler à ses parents.
Je ne savais plus comment faire avec eux, ils allaient quand même devenir mes beaux-parents et je ne pouvais pas les ignorer, mais la maman d’Archibald m’avait souri et m’avait souhaité tout le bonheur du monde. De toute façon, comme avait remarqué son père, ils n’étaient pas loin, si l’envie me prenait de faire plus ample connaissance avec eux, leur porte m’était grande ouverte. Je reconnaissais en eux, le caractère si chaleureux de mon amoureux.
Comme d’ordinaire, les habitants s’étaient dispersés, les parents d’Archibald étaient repartis vers leur bâtisse. Et puis, une cliente avait dit :
— Ils doivent être sacrément riches pour avoir acheté cette baraque, l’ancien propriétaire il en voulait de l’argent, il n’a pas dû baisser son prix.
Une autre avait surenchéri :
— C’est peut-être pour ça qu’il a pu faire sa boulangerie, il fait le fier, mais en fait c’est grâce à eux.
Elles avaient parlé assez fort pour que nous entendions, mais tout comme moi Mélusine fit la sourde oreille et nous avions continué à ranger.
Sur le chemin du retour, Mélusine avait remarqué :
— C’est vrai que nous ne nous étions jamais posé la question d’où venait l’argent.
Elle avait raison.
— Il n’y a pas de honte à être riche après tout ! dit-elle en me regardant.
Je tournais la tête vers elle. Mélusine n’avait pas de famille, abandonnée dès la naissance, elle avait été placée en foyer. À sa majorité, elle avait trouvé des petits boulots pour gagner sa vie et comme elle avait des doigts de fée, elle avait vite ouvert une mercerie en empruntant. Nous nous étions rencontrées par hasard, dans un bar, j’étais avec Archibald, et nous regardions un match de foot. Il y avait une ambiance de dingues. Elle était à fond et à chaque but marqué, elle se déchainait. Nous étions à la même table et tout naturellement quand Archibald m’avait offert à boire, il lui avait demandé ce qu’elle voulait. Nous avons vite compris qu’elle ne soutenait pas une équipe en particulier, juste elle applaudissait à un but et ça nous avait fait rire.
Cela faisait une semaine et c’était le silence radio du côté d’Archibald. J’avais vite réalisé qu’il était inutile de poser des questions.
J’avais donc interrogé pépé Charles, peut-être avait-il entendu quelque chose. Je compris immédiatement à sa manière de se gratter la tête qu’il savait. J’aurais dû m’en douter, il était très ami avec Clovis, celui qui tenait le bar du village où nous habitions avant. C’était là que j’avais appris à jouer au tarot avec ses potes, Jojo, Pierrot et Lulu. S’il y avait bien un endroit où les langues se déliaient, c’était chez lui ! Pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt.
— Je lui ai toujours dit à Archibald que ce n’était pas bien de rester fâché. Surtout que ce n’était pas une catastrophe de gagner au loto.
À voir ma surprise, Charles comprit que je n’étais au courant de rien. Il tenta une marche arrière.
— Ouais enfin, c’était ce qu’il se disait. Peut-être que c’était pas vrai.
— Tu veux dire que ses parents ont gagné au loto ? Une grosse somme ?
— Le pactole oui !
Jamais, je ne m’en serais doutée. Rien chez Archibald ne le laissait présager.
— Ils avaient joué chez Clovis alors tu penses bien qu’il était au courant. Il y a eu la presse et tout et tout, mais il n’a jamais dévoilé leur nom. Personne n’en a rien su. Sauf moi ! Nous étions tellement amis avec Clovis. D’ailleurs, tu savais qu’il m’envoie régulièrement des SMS ?
Charles avait tout quitté pour me suivre et abandonné ses amis. Je l’aimais comme un grand-père.
— Seulement… ce n’était pas eux qui avaient joué. Figure-toi qu’Archibald a trouvé le billet par terre dans sa boulangerie. Il ne savait pas comment faire pour savoir à qui il appartenait. Il ne pouvait pas mettre une annonce ni l’afficher dans sa vitrine. Quand le pactole a été gagné, il a été content, ce n’était pas son billet inconnu. Il n’a pas compris tout de suite, vu que le nom n’avait pas été dévoilé et il pouvait donc détruire le ticket. Sauf qu’il ne l’a jamais retrouvé. Il l’avait rangé dans un tiroir dans son laboratoire. Lorsqu’il a réalisé que c’était eux qui avaient touché la cagnotte, il ne leur a plus parlé. Il les a accusés de vol et il ne voulait pas être le fils de voleurs.
— Tu parles de la boulangerie du village où nous habitions ?
— Non, c’était celle où il était en apprentissage. Je ne sais pas si vous vous connaissiez déjà. Moi oui, parce qu’il venait chez Clovis livrer le pain.
— Et du coup, ce billet de loto ?
Pépé Charles haussa les épaules.
— Qu’est-ce que tu veux que je te dise, ses parents ont nié l’avoir volé et lui ne les a jamais crus. Il a coupé les ponts. Sa mère m’a raconté une histoire abracadabrante et…
— Parce que tu les connaissais bien ? l’interrompais-je.
Charles soupira.
— Mais oui, ça me fendait le cœur. Elle me suppliait d’intervenir, son père faisait sa tête de pioche, son fils ne voulait plus le voir, qu’il aille au diable et chacun est resté campé sur ses positions et ça dure depuis des années. Je ne savais pas qu’ils viendraient habiter par ici.
— Si tu voyais la maison, ils doivent avoir sacrément de l’argent.
— Son père a bien su s’occuper de ça apparemment. L’argent ne lui est pas monté à la tête.
— Il a dû aider Archibald pour s’installer ici et…
— Certainement pas, me coupa pépé Charles. Il n’en aurait jamais voulu. Archibald s’est toujours débrouillé seul.
Depuis, je ne savais plus comment aborder le sujet avec Archibald. Mélusine me conseillait de laisser faire le temps, ce à quoi je répliquais qu’il en avait laissé passer du temps.
Alors aujourd’hui, quand j’ai vu débarquer ses parents dans la boulangerie, je n’ai pu m’empêcher de jeter un coup d’œil dans le laboratoire.
— Ne vous inquiétez pas, il est parti, me rassura aussitôt sa mère. Je me présente, je suis Candice et voilà mon mari Victorien. C’est à vous que nous voulions. Nous aimerions assister à votre mariage, pensez-vous que ce sera possible ?
C’est donc le dernier raconte-moi ta semaine vu que le mois de juin se termine dimanche et qu’à partir du 1er juillet, je publie chaque jour le calendrier de l’été. Comme je te l’ai annoncé, le blog n’est pas en pause, mais il n’y aura pas de texte, pas d’histoire, juste une illustration de vacances.
Guidance de la semaine
C’est plutôt un challenge d’été que nous propose l‘Agenda de Parole de Sorcière.
Partir au bord de la mer,
Ramasser des coquillages et du bois flotté,
Allumer un grand feu pour la Saint-Jean,
Aller voir des feux d’artifice,
Ramasser du millepertuis et le bénir dans le feu du solstice d’été,
Ramasser 40 noix vertes le jour du solstice pour concocter un vin de noix magique,
Aller ramasser du blé et le pendre dans la maison pour attirer l’abondance,
Faire des pains aux graines,
Faire des conserves en bocaux pour savourer les légumes d’été pendant la saison sombre,
Aller dormir à la belle étoile,
Faire de longues balades à vélo,
Organiser des barbecues entre amis,
Aller dans une fête médiévale.
Je pense que je vais faire pas mal de choses de ce challenge comme la mer, les feux d’artifice, les balades en vélo, les barbecues….
Fruit magique de la semaine – La Framboise
Elle est associée aux mamelons et selon la légende, la couleur rouge de la framboise viendrait du sang d’Ida, fille du roi de Crète, mais aussi nourrice de Zeus. Cette dernière partit cueillir des framboises pour calmer Zeus enfant. Elles étaient blanches, mais s’étant griffé le sein, elle saigna et ce sang colora la framboise. [Mon agenda de sorcière — Marie d’Hennezel]
Citation de la semaine
Je m’épanouis parmi les framboises qui se mirent aux perles de rosée, les cerises écoutant les rêves aux oreilles des enfants…(Valérie Mazeau)
La semaine démarre avec 32 kilomètres à vélo, puis les jours suivants de la marche et même reprise de la salle avec le vélo elliptique.
Monsieur Chéri et moi sommes allés au cinéma découvrir le film La petite vadrouille avec Daniel Auteuil et Sandrine Kimberlain. C’était sympa, gentillet, tu passes un bon moment. Anecdote du début : Monsieur, alors que ça venait de démarrer me dit à l’oreille c’est ça qu’on doit voir, on ne s’est pas trompé de salle ? Ça commençait bien ! C’était la sortie de Vice-Versa 2, il y avait beaucoup plus de monde ailleurs, parce que nous, nous étions 7 ! 😁.
C’est ainsi que nous avons l’annonce de la sortie du Comte de Monte-Cristo avec Pierre Niney qui semble pas mal.
Terminée la lecture de La ligue des sorcières distinguées, un peu loufoque, amusante et qui ne prend pas la tête, c’était sympa à lire. J’ai commencé par contre un pavé de 682 pages de Lucinda Riley, la rose de minuit. Quand je tiens le livre dans mon lit, il ne faut pas que je m’endorme, il m’assommerait le bougre ! 😂. Je pense qu’il va me faire tout l’été 😁. Il est quand même un peu gros pour le glisser dans la valise 😉.
Je vous ai aussi tout bien ficelé le calendrier de l’été qui commencera le 1er et se terminera le 1er septembre. J’attaque donc la dernière semaine avec vous.
Aujourd’hui, 24 juin, c’est la journée la plus longue, fête de la Saint-Jean-Baptiste. Je me souviens des feux de camp que nous faisions. Nous faisions la ronde autour et les plus téméraires sautaient au-dessus. Monsieur Chéri l’a fait et ses sourcils avaient eu chaud 😂. Quand je pense à ça, j’ai l’impression que ça fait mille ans, c’est vrai que c’était au siècle dernier 😂.
C’est aussi, le jour où ma maman est partie 🙄, ça fait 12 ans. Pas un jour où je ne pense à elle ! Il faisait beau et chaud ce jour-là, le ciel était bleu. Je me souviens d’avoir pensé que pour les autres la vie continuait avec le soleil, alors que moi, il faisait tellement gris ! ça me fait penser à la chanson de Nicoletta, il est mort le soleil, quand tu m’as quittée. Bref !
Cette semaine, c’est aussi celle de l’anniversaire de Monsieur Chéri. Nous avons fait les boutiques pour le rhabiller, non pas qu’il n’ait plus rien à se mettre 😁, je ne sais pas toi, mais mon homme s’habille toujours pareil ! à croire qu’il a la flemme de prendre ses chemises dans le placard 😂. Je te dirai qu’en ce moment, c’est plutôt bermuda jeans et polo ! Il a enfin sorti ses affaires d’été !
Voilà donc les dernières nouvelles de la semaine.
Et toi ? Pars-tu en vacances ? Belle semaine à toi 💖.
C’est toujours la même musHIC, les mots qui se terminent en ique deviennent HIC et s’alambHIC entre eux et tentent de faire une histoire brHIC à Brac.
Chez SoizHIC et DominHIC quand arrive le 21 juin, c’est le HIC.
Ils avaient enfilé de jolies tunHIC pour faire la fête, mais pas facile de garder la rythmHIC.
Les deux amis ont bien essayé de manger des ChocapHIC. Complètement utopHIC cette histoire ! ne voilà-t-il pas qu’ils sont devenus allergHIC ! du chocolat, maléfHIC et pas diététHIC.
Allons, ils ne vont pas se gâcher cette journée dynamHic.
Quand est arrivé l’ami ErHIC, l’as des mathématHIC, ils ont cru que tout allait s’arranger, mais ce fut encore plus catastrophHIC. Pourtant, c’était un as pas de pHIC mais il était un peu magHIC.
Il a mis la musHIC et le voilà qui se déchaîne sur de l’AérobHIC. Personne n’a compris pourquoi une invasion de moustHIC est arrivée, peut-être qu’ils n’aimaient pas cette MusHIC. Vite vite l’anti-moustHIC pour pas que ça pHIC.
Tu ne me crois pas et pourtant c’est véridHIC. Même qu’à la clinHIC d’à côté, ce fut la panHIC. Ils tentaient de s’en débarrasser avec des élastHIC, que c’était comHIC !
ErHIC a éteint la musHic et s’est mis à chanter. Du coup, les crayons bHIC se sont mis à danser. SoizHIC n’en revenait pas, quelle drôle de fête. Elle ne savait même pas qu’elle avait autant de crayons ! Heureusement, qu’ils n’étaient pas colérHIC. C’est vrai qu’ErHIC a le cHIC pour mettre l’ambiance, il est éclectHIC celui-là ! D’accord, c’était un peu cacophonHIC, ce n’était pas le roi de la bureautHIC et pourtant tous ces mots en HIC qui s’agglutinaient pour faire une histoire ! Que vient faire ici l’alambHIC ? c’est un peu bordelHIc ! Et voilà le style calligrapHIC qui s’en mêle ! bucolHIC c’est mieux. Ah non pas alcoolHIC, c’est la fête de la musHIC quand même !
Le réchauffement climatHic pas besoin d’en parler ici, même s’il a sa place vu qu’il se termine en HIC ! Qu’ai-je encore en boutHIC ? comment ça, ça se complHIC ?
Allons plutôt danser, c’est la fête de la musHIC avec ErHIc, SoizHIC et DominHIC.