Journal de Marie-Sophie

Bonjour toi 😉.

Il est temps de retrouver mon héroïne pour l’année 2024. Si tu es un peu perdue, c’est ici que tu retrouveras le dernier épisode.

Une année de plus au compteur et quelle fin d’année !

Dès que Mélusine avait été mise dans la confidence qu’Archibald m’avait demandée en mariage, elle s’était immédiatement imaginée me faire elle-même ma robe. Je n’en étais pas encore là et j’avais eu toutes les peines du monde à lui expliquer qu’elle avait le temps. Mon amie est ainsi faite qu’elle avait compris, mais elle m’avait fait promettre de commencer à regarder des modèles. J’avais accepté en riant. Je désirais profiter de cette période avec Archibald et ne pas précipiter les choses, non pas que je n’étais pas sûre de moi, mais je ne souhaitais pas me lancer dans les préparatifs d’un grand mariage. Je n’avais plus de famille et Archibald avait éludé la question.

Je lui avais fait promettre également de ne pas en parler avec Enzo. Archibald et moi ne voulions pas que tout le village soit au courant en un rien de temps. Nous seuls déciderions de la date à laquelle nous divulguerons l’information.

Ce qui n’avait pas empêché Archibald de m’offrir la veille de Noël, une bague qu’il me passa cérémonieusement à l’annulaire de la main gauche. Je reconnus immédiatement le bijou et à voir le clin d’œil échangé entre mes deux amis, je compris le jeu auquel ils s’étaient adonnés. Enzo s’en était mêlé, mais il avait cru tout simplement à un cadeau du père Noël.

Nous avions bien travaillé également pendant les fêtes. Archibald était désormais bien accepté dans le village et le food truck, même les jours où il faisait très froid, avait bien fonctionné. Vu les températures très fraiches, j’avais apporté du café pour ceux qui souhaitaient se réchauffer. Les habitants qui préféraient le thé et avaient envie de rester discuter avaient fait chauffer l’eau chez eux et ramenaient leur bouilloire. L’ambiance était sympathique. Mélusine avait décoré le véhicule, un père Noël dansait régulièrement et grâce à une enceinte qui diffusait des chants de Noël, nous étions vraiment en fête.

Bonnet rouge et blanc sur la tête, elle et moi ressemblions à des lutins comme l’avaient remarqué gentiment nos clients. Elle nous avait confectionné des vestes rouges et vertes et j’avoue que nous avions du succès.

Enzo quant à lui était resté à la boulangerie. Affublé également d’un chapeau avec un long pompon qui lui battait le dos, d’une veste et pantalon de couleur identique aux nôtres, il était fier d’être derrière le comptoir avec son parrain et Maddie, la jeune femme à mi-temps qui nous aidait. Elle aussi avait eu droit à son bonnet rouge.

Pépé Charles allait bien, il vivait seul dans la maison au bout du jardin, mais Célestine qui avait préféré rester avec Morgan, venait lui rendre visite régulièrement. Ils avaient passé le réveillon de Noël avec nous. C’était Morgan qui avait cuisiné le chapon. Gabriel était de garde, il n’avait pas pu se joindre à nous. Ayant pris ses fonctions en tant que chef des urgences récemment, il avait été obligé d’être présent, d’autant plus qu’étant célibataire, il n’était pas prioritaire pour poser des congés. Pour fêter la nouvelle année, nous étions chez Saverio et je crois qu’il y avait également presque tout le village. Pas besoin de musique, les Basques savaient chanter et j’avoue avoir été très émue par leurs voix. C’est Archibald qui avait été très surpris quand le maire était venu le féliciter pour sa boulangerie, ses pains et son attachement à sa commune.

Me voici donc aujourd’hui devant la fenêtre. Il faisait froid, le ciel était gris. Le mug de café avait bien du mal à me réchauffer. Enzo avait intégré la maternelle. Grâce à François, il avait pu le faire en janvier. Mélusine ne voulait pas, mais son fils en avait envie, surtout que la fille de François y était depuis septembre et Enzo s’ennuyait sans sa copine de jeu. Gabriel qui avait également son mot à dire était d’accord, il arguait même qu’il aurait pu y rentrer dès trois ans, il en avait quatre, ce qui avait fait rugir Mélusine. Ces deux-là, il ne fallait pas grand-chose pour qu’ils se jettent des piques.

J’étais seule, Mélusine avait des clientes à rencontrer en revenant de l’école. Surprise, je vis Gabriel surgir dans le jardin. Il n’avait pas l’air content. Aussitôt, je pensai à un accident. J’ouvris la porte et me précipitai vers lui. L’un de mes proches était aux urgences et Gabriel venait en personne me prévenir, ça devait être grave.

Gabriel me saisit la main et plongea son regard dans le mien :

— Dis-moi que c’est une blague !

Je ne comprenais pas. Je m’étais trompée, personne n’allait mal et du coup, je souris, soulagée.

— C’est ça fous-toi de moi ! Tu ne vas pas épouser Archibald ? Vous êtes amis, ça ne marchera jamais.

Surprise par son ton et son air courroucé, je faillis éclater de rire.

© Isabelle-Marie d’Angèle (janvier 2024).

À très vite…

Agenda ironique – Janvier

Bonjour toi 😉

C’est chez Tiniak ici que ça se passe ce mois-ci. Les consignes ?

Voici donc ma participation 👇

Quel voisin !

Par la fenêtre ouverte,
Force est de constater
Que le voisin, l’oreille collée
À son bigophone, me rend verte.

Aucune discrétion chez lui,
De minuit à midi,
Il marche de long en large
Je sens pointer la rage.

Ne pourrait-il se taire ?
Ce drôle de mousquetaire.
Oh, je ne vous ai pas dit ?
Ce voisin joue la comédie.

Il se prend pour D’Artagnan
Sa flamberge battant son flanc.
Serait-il encore bon comédien,
Mais il n’en est rien.

J’entends souvent son jardin
Du soir au matin qui se plaint
Des coups d’épée sur ses marguerites
Qui tour à tour s’effritent.

Et je ne parle pas des pampres
Qui s’entourent autour de ses jambes
Pour éviter d’être fracassées
Et le retenir de les couper.

C’est pas Dieu possible
D’être aussi terrible.
Voilà que j’hallucine
Quelle drôle de trombine !

La chope à la main
Il fait le malin.
Je crie, Jean-Pierre
La mousse de ta bière
Couvre tes lèvres
Il rit et détale tel un lièvre.

Ce voisin je t’jure
Frise la caricature.
Il n’a rien d’un parangon
De modestie, ça non !

Devant sa Mégane
Il se pavane
Ce n’est qu’une Renault
Pauvre idiot !

Par la fenêtre ouverte
Force est de constater
Que le calme est revenu
Le voisin a disparu.




N'hésite pas à aller lire les textes des AgendistesIronistes 😂 ici .
À très vite…

Héloïse et Stefano

Bonjour toi 😉

Petit rappel ici de ce qui s’était passé avec Héloïse. Joe, Stefano et Héloïse ne doivent plus se souvenir de ce qui est arrivé dans le monde des sorciers. Mais, est-ce que tout va se passer comme il se doit ?

Stefano, les mains dans les poches, regardait son père. Il ne savait comment lui parler. Joe était occupé à mettre bas une chèvre. D’habitude, il aimait assister à une naissance, mais aujourd’hui, il n’avait envie de rien.

Joe attrapa le chevreau. Tout s’était bien passé et déjà la mère léchait son petit. Il était toujours ému devant ce tableau. Il leva les yeux et aperçut son fils. Il se dirigea vers lui en se nettoyant les mains.

— Alors fiston, approche-toi. Tu le baptises ?

Stefano haussa les épaules et laissa échapper un pfft comme s’il était blasé. Surpris, Joe lui attrapa le menton et le releva vers lui. Il découvrit un regard voilé. Son fils avait de la peine et ne voulait pas le montrer, la preuve en était qu’il se frottait les yeux d’un geste rageur.

Joe fit comme s’il n’avait rien vu et le prit par le cou pour l’entrainer vers le chevreau. Celui-ci tirait déjà sur les tétines de sa mère ce qui arracha un sourire au gamin.

— Tu peux le caresser ? Biquette se laissera faire, elle te connait, elle n’est pas sauvage.

Stefano tendit la main. Le poil était dur et dru au contraire de la fourrure du terre-neuve. L’animal abandonna les tétines pour regarder, surpris, qui le touchait. Il s’approcha de Stefano, posa ses pattes sur lui et le fixa dans les yeux. Stefano éclata de rire. Le bruit lui fit peur, il sauta de côté et retrouva sa mère.

— Tu appelles toutes les chèvres Biquette, remarqua Stefano. Comment peuvent-elles savoir de qui tu parles ?

Joe sourit.

— Pas faux. Je n’ai pas un troupeau non plus, elles ne sont que trois. Aurais-tu une idée pour les baptiser ?

— Elles sont trop vieilles.

— Pas tant que ça. Trouve un nom pour le bébé alors.

— Pas envie. De toute façon, si Héloïse s’en mêle il ne sera pas à moi.

Joe ne fit aucune remarque. Depuis quelque temps, il sentait bien que quelque chose avait changé avec les enfants. Même Charlie n’était plus tout à fait la même, il ne savait pas comment le définir. Parfois, un malaise s’installait entre eux, qu’elle tentait de dissiper rapidement, mais il n’était pas dupe, quelque chose clochait.

Il avait remarqué qu’Héloïse avait beaucoup grandi, trop vite à son goût, alors que Stefano son aîné de deux ans, était dans la courbe normale des gamins de son âge. Il en avait parlé discrètement à Charlie, elle avait répondu qu’effectivement Héloïse était en avance, mais rien d’alarmant. Il n’avait pas insisté.

— Le revoilà lui !

Joe suivit le regard de son fils. Un Milan noir volait dans le ciel. Rien de surprenant, il y en avait souvent dans la région.

— Je suis sûr qu’il va se poser.

Stupéfait, Joe regarda mieux l’oiseau qui se déplaçait assez haut en tournoyant. Il criait comme le font ces oiseaux.

— Qu’est-ce que tu racontes, je n’ai jamais vu ça.

— C’est que tu n’as pas fait attention. Il se pose souvent quand Héloïse n’est pas loin, comme s’il était apprivoisé.

— Impossible Stefano, sourit Joe. Le milan est sauvage, il ne s’approche pas des hommes.

— Si tu le dis ! souffla-t-il.

Il se détourna brusquement. Les chèvres avaient perdu tout intérêt à ses yeux. Il bougonna :

— De toute façon, tu ne veux jamais me croire.

Joe se leva à son tour et saisit son fils par les épaules.

— Tu sais bien que c’est faux. Je t’écoute toujours.

— Oui, mais tu ne me crois pas.

— Comment peux-tu en être aussi certain puisque tu ne me dis rien ?

— J’ai la preuve de ce que je raconte. Je les ai pris en photo avec ton téléphone et ne me gronde pas, tu l’avais laissé sur la table de la cuisine. T’as qu’à regarder.

Joe n’était pas souvent sur son portable. Il l’avait dans la poche de son jeans, mais il pouvait effectivement lui arriver de l’oublier.

Il s’en saisit et l’ouvrit. Il parcourut la galerie, mais ne vit rien. Il tendit l’appareil à son fils.

— J’en étais sûr ! Héloïse a dû me voir et elle a fait un tour de magie comme elle sait le faire et la photo a disparu.

— Mais comment tu peux raconter des trucs aussi incongrus enfin !

Stefano tapa du pied et ses yeux se remplirent de larmes.

— Je le savais que tu ne me croirais pas, c’est toujours pareil. Je suis tout seul, toi tu ne vois rien ou tu ne veux rien voir, en fait tu t’en fous.

Joe ne pouvait supporter de voir son fils sangloter ainsi, il le serra contre lui.

— Écoute-moi Stefano, nous allons enquêter ensemble.

— Sérieux ?

Stefano essuya ses larmes, plein d’espoir.

— Tope là !

Ils se tapèrent dans la main et Stefano se jeta dans ses bras.

© Isabelle-Marie d’Angèle (janvier 2024).

À très vite…

Intentions 2024

Bonjour toi 😉

Lorsque je regarde cet escalier avec écrit tout en haut Confiance écrit en gros, je me demande encore quelle idée m’est passée par la tête pour choisir ce mot phare pour l’année 2024.

Comme un escalier, je vais gravir les marches une à une à mon rythme, je ne suis qu’en janvier après tout 😏.

* Dessiner, c’est facile. Enfin, je veux dire que ce n’est pas compliqué de prendre un crayon, des feutres, un modèle parce que je ne sais pas l’imaginer (si dans ma tête, mais sur le papier, le rendu n’est pas du tout convaincant 😁), bref je ne prends pas trop de risque.

* Le tarot. Déjà là, ça me demande de l’investissement. Pour m’y être déjà attelée au cours de l’année 2023, je sais qu’il faut prendre le temps de bien comprendre. Je ne suis pas quelqu’un qui veut tout faire en vitesse pour pouvoir dire que je comprends le tarot. Les cartes, il ne faut pas les brusquer et savoir écouter ce qu’elles vont vouloir me passer comme message. C’est donc ma 2e marche.

* Le sport, 3e marche. Je dois le garder en ligne de mire, parce que je me connais et sais qu’il ne faut pas grand-chose pour me trouver une excuse pour le zapper : il fait trop froid, je suis fatiguée, je le ferai demain, j’en ai fait hier, bref, je suis la reine pour m’inventer des trucs pour le zapper😬, heureusement que Monsieur Chéri est un pro du sport, inutile de tricher avec lui, il sait comment me faire culpabiliser 😂.

* Muguette. J’atteins la 4e marche et je sais que le défi à relever n’est pas mal. Muguette est le premier roman que j’ai écrit. Mon héroïne créée de toute pièce est sortie de mon imagination quand j’étais en plein Burn out. C’est elle qui a réussi à me tenir la tête hors de l’eau. Seulement, une suite du roman attend et je n’arrive pas à m’y remettre. Au cours de cette année-là, je n’avais qu’elle dans ma tête puis des personnages sont sorties pour l’accompagner. Aujourd’hui, ils foisonnent et Muguette, non pas que je l’ai oubliée, loin de là, mais c’est une femme qui prend toute la place. Je n’avais pas de blog comme celui-ci et comme je ne souhaite pas l’abandonner, je vais devoir m’organiser.

* Écrire, j’atteins la 5e marche. Écrire ici, pour moi c’est facile, je partage, je m’amuse. Écrire une histoire, voire un roman comme Muguette, ce n’est plus du tout la même chanson. Cette marche est la continuité de Muguette. Je sais bien qu’elle m’appelle cette coquine.

* Écouter, 6e marche. Il y a pas mal d’années, j’avais fait une formation sur l’écoute. Au boulot, je recevais régulièrement les doléances des collègues, ils me racontaient leur vie, leur problème et j’écoutais. Quand je rentrais à la maison, je me demandais toujours pourquoi c’était vers moi qu’ils venaient se confier. J’ai toujours aimé le social… et puis les temps ont changé ou les gens, je ne sais pas. Le travail aussi a changé, mais pas moi et c’est là que tout s’est compliqué… le monde n’était plus ce que je connaissais, je perdais mes repères et… je n’arrivais plus à écouter ni à parler d’ailleurs. Mais est-ce qu’on m’écoutait moi ?

* Lâcher priser. La 7e marche devient difficile à atteindre. Quand j’en regarde la définition que j’ai notée dans mon cahier : c’est l’acceptation et l’adaptation aux changements, la capacité à voir la réalité telle qu’elle est sans se laisser dominer par une réalité imaginaire où tout se passerait exactement comme on l’avait prévu et imaginé. Rien que les deux mots acceptation et adaptation me font peur. Et pourtant… cet escalier n’est pas apparu par hasard. J’en suis l’auteur.

* Me voilà arrivée tout en haut et la confiance me tend les bras, me tire vers le haut, me hisse à la dernière marche. Une fois arrivée en haut, que verrais-je de l’autre côté ? Serais-je apaisée ?

Comment refaire confiance quand ce Burn out m’a fait perdre tous mes repères ? J’ai perdu totale confiance en la vie, dans les gens, en moi évidemment, mon corps m’ayant lâché, je lui en ai voulu, moi qui me croyais bien plus forte et solide 😳 je ne me reconnaissais plus. Envie de rien, peur de tout, ne plus vouloir personne, et le confinement est arrivé. Je n’avais plus d’excuse pour ne pas sortir et qu’est-ce c’était bien ! Sauf qu’on en est sorti de ce confinement et retrouver la vie normale… qu’est-ce que ça été compliqué.

Heureusement, ma famille ne m’a jamais lâchée et Monsieur Chéri a toujours été là. S’il y a bien quelqu’un en qui j’ai entière confiance, c’est bien lui et pourtant, il en a bavé. Je le sais et je m’en veux. Je ne souhaite à personne de passer par cet état et je pense qu’on n’en guérit jamais tout à fait, je le sais, mais contrairement à d’autres maladies, celle-là ne se voit pas. Insidieuse, elle est cachée au fond de moi et un simple grain de sable peut tout faire voler en éclat. Elle m’a coûté mon travail et tout ce qui en découle.

Voilà donc cette dernière marche et ce mot phare. Je le garde en tête tout comme le rire de l’année dernière que je ne lâche pas.

La confiance commence maintenant… je publie ce billet ce qui n’était pas évident.

À très vite…

Raconte moi ta semaine

Bonjour toi 😉

Ce n’est pas vraiment une semaine que je te raconte, c’est plutôt mon humeur du jour. Je reprends le rythme doucement.

O_O Humeur de la semaine : Je ne vais pas te mentir et me mentir à moi-même, je déteste les fins. Les fins d’année, les fêtes terminées, les au revoir, les séparations, les fins de vacances.

Donc, enlever le sapin, ranger les boules et les guirlandes, la couronne accrochée à la porte, les illuminations, tout ça me sape le moral. Du coup, Monsieur Chéri a laissé des guirlandes lumineuses toutes douces dans les grandes bouteilles et les lanternes, ça ne pas fait pas fête, mais ça fait du bien. Je continue d’allumer mes bougies, je m’accroche à cette ambiance. Je me demande comment font ceux qui n’aiment pas Noël, remarque, ils ont moins le cafard après 😉. J’ai eu beaucoup de chance, mes enfants sont venus en décalé, si bien que je n’ai pas cessé de faire à manger, de faire des lits et les défaire, de jouer avec tout le monde, de déballer des cadeaux et d’en offrir. Oui, mais voilà,… tout a une fin et les enfants repartis, c’est encore plus dur, la maison est vide.

Mais… j’ai encore de la chance, la fin décembre fêtant un anniversaire, pour ne pas le cumuler avec Noël, on le fête après, et ça recommence, repas, gâteau, bougies, la fête encore.

Et puis va arriver sous peu mon anniversaire, la date est retenue. Donc, pas le droit d’être triste 🤭😏.

(●ˇ∀ˇ●) Sport : Zapé pendant les vacances parce que je n’ai pas eu le temps et je n’étais pas sur place, mais, c’est repris maintenant et comment dire ? Quel diesel ! 😂 Mon corps me dit : non, mais ça va pas de me refaire ça, j’étais bien sans me bouger ! Faux, je dois me bouger sinon, je rumine. Reprise du chemin de la salle. Comment se fait-il que le vélo elliptique me semblât bien difficile et les bras trop courts ? Et le vélo ? Je ne me souvenais plus que pédaler faisait mal 🤭😂. OK, j’ai réduit un peu le temps que je faisais habituellement, mais j’ai tenu bon et le rythme est revenu.

La marche matinale avec Oxybulle aussi a repris, mais qu’est-ce qu’il fait froid ! pas d’excuse, le froid, ça réveille et ça fait circuler le sang 😂.

À très vite…

J’aime la galette

Bonjour toi 😉

Déjà le 6 janvier 🤭 et voilà que la galette arrive sur les tables (si elle n’est pas arrivée avant 😏). Quelque soit celle que tu préfères, à la frangipane, en couronne briochée, avec des pépites de chocolat ou des fruits confits, je te propose des scénarii qui se répètent chaque année 😂.

Tu as fait bombance pendant les fêtes et tu as pris la décision de faire léger oui mais…

Si tu veux absolument avoir la fève, l’astuce du jour imparable 😂

Parce que sinon tu penseras comme chaque année que ce n’est pas juste 🤭

Finalement tu l’as eue … Oups !

Et là franchement tu ne la joues pas un peu… 😂 Ce n’est qu’une fève de galette tu sais ! 🤭

Après tout, c’est vrai quoi ! 😂

Bon appétit et bonne fête de l’épiphanie ! 😋

À très vite…

Retour sur intentions 2023

Bonjour toi 😉

Il est temps de faire le bilan de ce que j’avais prévu comme intentions 2023.

Si je les reprends une par une, je suis assez fière de moi 👍💪.

* Rire qui était mon mot phare, je l’ai bien respecté.

* L’écriture et le blog, là aussi, j’ai tenu la route. Chaque jour une publication, la suite de Marie-Sophie, les poèmes, l’histoire de ma sorcière pendant le mois d’octobre, mon thriller (pas fini je te l’accorde, j’y reviendrai cette année.), mes citations, le journal de ma petite chienne, oui j’ai tenu la route.

* Lecture, je pourrai lire davantage mais l’écriture me prend beaucoup de temps. J’ai lu ce que j’aimais et j’ai pris mon temps.

* Calligraphie, je ne suis pas au point. À retravailler parce que j’en ai envie pas par obligation.

* Zentangle, j’en ai fait, mais pas suffisamment.

* Tarot, comme je regrette par manque de temps de ne pas avoir appris davantage. Devine un peu ce qui reviendra dans mes intentions 2024 ?

* Marcher, prendre l’air, là j’ai fait ce qu’il fallait et je suis fière de moi parce que ce n’était pas gagné. Reprendre le sport et la piscine, j’avoue que le défi est relevé.

* Prendre soin de moi… j’imagine que le sport en fait partie ? En fait, je ne sais pas trop faire 😬.

* Mon histoire, alors là, c’est en relisant mes intentions que je redécouvre ça… 😨😳

* Dessiner et colorier, je me suis régalée et ce n’est pas fini, je compte bien continuer pendant cette année.

* Voir des gens… j’y travaille. Je suis quand même allée au festival Les déferlantes où il y avait pas mal de monde 😁 ainsi qu’à un concert où j’étais dans la fosse collée à du monde 😁 ça compte !

Voilà pour le bilan 2023. Pas mal !

Alors que seront mes intentions 2024 ? Mon mot phare ?

Je t’en parle dans un autre billet parce que je ne suis pas tout à fait d’accord avec le mot phare choisi… je crois avoir mis la barre un peu haute.

Et toi ? Quelles sont tes intentions pour 2024 ? As-tu un mot phare ? Dis-moi tout en commentaires.

À très vite…

Jeudi poésie

Bonjour toi 😉

Voici la page de mon bullet journal. Pas facile la calligraphie 🥴😬.

Janvier, tu es le premier mois de l’année. Peut-être es-tu celui que je préfère, parce qu’on fête mon anniversaire. Pourtant tu es froid et tu me gèles les doigts.

Janvier, tu démarres l’année par un jour férié. Quand je consulte le calendrier, tu m’as toujours fait rigoler. Avoue que tu n’es pas sérieux et regarde-moi dans les yeux, commencer l’année sans travailler, l’as-tu fait exprès ? Tu as sans doute pensé sans aucune arrière-pensée, que des fêtes il fallait se remettre. Pourtant, tu offres la galette, n’est-ce pas encore une fête ?

Tu es Janvier le mois des soldes, ce n’est pas que je suive la mode, mais me faire plaisir en comblant mes petits désirs, ça me fait du bien au cœur parce que dehors il manque un peu de chaleur.

Ton ciel est souvent gris, ça, je l’ai bien compris. Lorsque je regarde par la fenêtre, je n’y vois parfois pas à un mètre. Il faut bien l’admettre, un jour peut-être, la nature va renaître.

Janvier, pour moi pas de dilemme je t’aime quand même, avec ton brouillard dont je n’ai même pas marre, ta nature endormie toujours mon amie et tes arbres tout nus comme s’ils n’étaient pas entretenus.

Janvier, le passage obligé pour que les fleurs renaissent et que le soleil dans le ciel réapparaisse.

Janvier, tu es sans âge et tu as chaque année la lourde charge de préparer jour après jour avec amour, le terrain pour que demain sans se casser les reins, le jardinier sème avec ardeur ce que deviendront plus tard des fleurs. Lui te connait bien et sait ce qui est bien pour son jardin.

Emmitouflé, il est prêt et n’attendait que toi, Janvier, pour sortir enfin les outils. Près de sa terre, il s’accroupit et la bêche, heureux de retrouver les gestes mille fois répétés.

Bienvenue à toi Janvier, si tu n’existais pas il faudrait t’inventer.

© Isabelle-Marie d’Angèle (janvier 2024).

À très vite…

Jeux en famille

Bonjour toi 😉

Je n’ai pas oublié que c’était le jour des enfants et quoi de mieux que de te proposer les jeux auxquels j’ai participé pendant ces fêtes. Entre les nouveaux et les anciens, il y a de quoi se régaler pour passer du temps en famille avec les jeunes et les seniors.

Que de fous rires en jouant au rami. C’est le jeu de cartes qui remporte toujours un franc succès.

La crapette se joue à deux. Il a fallu que je me remémore les règles, mais une fois réapproprié le jeu, c’est un jeu de patience fort sympathique.

Ici 👇 c’est le père Noël qui a apporté ça à Millie et celle-ci n’a pas hésité à proposer à MaLou, MiniMaxi et PaLou de l’essayer. Quelle rigolade pour comprendre les règles et quand nous avons réalisé qu’il était adapté aux enfants à partir de 7 ans, nous avons eu l’air malin 😄🥴. C’est un jeu fort sympa, je le recommande si tu ne le connais pas. Tu deviens un photographe dans la forêt de Loco Momo, à toi de retrouver les animaux dans ton objectif et de gagner des points. Seras-tu le meilleur photographe ?

Ce jeu 👇 au pied du sapin était pour MaLou et Palou. Traduction de Stay Cool « Reste calme » 😂😂. J’adore ce jeu. 1ère manche : Tu es le joueur actif et celui à ta droite te pose des questions auxquelles tu dois répondre en écrivant la réponse avec les dés qui ont des lettres, mais en même temps, le joueur de gauche t’en une autre à laquelle tu dois répondre à l’oral. Jusqu’à la bonne réponse et orale et écrite, ils te répètent la question sans discontinuer. Tu as un autre joueur qui tient le sablier, 30 secondes pour 4 sabliers. Il énonce à chaque fois qu’il le tourne. La 2e manche, c’est pareil, sauf que c’est toi qui gères ton sablier en disant qu’il faut le retourner, et la 3e manche, tu ne vois plus le sablier, à toi de calculer le temps pour signaler qu’il faut le retourner 😂😂😂. Je pense que tu as compris le titre du jeu 🥴😂.

C’est une extension à ce jeu 👇 que le père Noël a laissé au pied du sapin. Tu dois faire deviner par un mot, une phrase, la carte que tu as choisie. Les illustrations sont magnifiques. Chaque joueur tout comme toi met leur carte qui ressemble à ce que tu as dit comme phrase. Les joueurs doivent retrouver la tienne. Tu l’as compris, il ne faut pas trop en dire, ni pas assez, juste ce qu’il faut, sinon si tout le monde la trouve c’est que c’était trop facile et tu ne marques pas de points.

Que de bons moments en famille qui font chaud au cœur, qui font oublier tous les soucis de la vie quotidienne et qui fournissent de jolis souvenirs à glisser dans la boite pour s’en rappeler quand le moral n’est pas au beau fixe.

Bon mercredi 💖

À très vite…