Souvenirs d’enfance

Bonjour toi 😉

J’ai trouvé ça ! C’est une idée de l’illustratrice Cécile Dormeau . Bien sûr, je ne dessine pas mais pourquoi pas me souvenir ?

J’ai donc repris mes souvenirs d’enfance du 1 octobre au 11 (aujourdhui).

1 – Les pains au chocolat (pas de chocolatines, j’habitais dans le nord 😁) les briochés !

2 – Ma chienne Blackie, une épagneule noire et feu, elle a vécu 14 ans. C’était mon toutou d’amour 💖, je lui faisais l’école, je la mettais dans mon landau. Elle se laissait faire sans broncher. Je lui mettais des foulards… un amour !

3 – La collection des Alice dans la bibliothèque verte après celle de la Comtesse de Ségur dans la bibliothèque rose.

4 – Ce n’était pas une peluche, c’était un vieux coco. Un poupon qui ne ressemblait à rien 😂. Ses cheveux étaient en brosse, son pantalon était à rayures rouge, c’est ce dont je me rappelle. Un tee-shirt blanc peut-être ?

5 – Grande fan de Sheila dont je copiais les coiffures. Je recopiais ses chorégraphies. Spacer avec son bâton, je n’ai jamais réussi 😂par contre, chanter et danser avec un micro, j’étais la reine. Joe Dassin, lui est indétrônable. C’était le groupe ABBA qui avait aussi ma préférence.

6 – Je n’en sais rien. Ah si peut-être que je dansais bien, ça compte ?

7 – Mon béguin pour les célébrités ? C’était le Bobby Ewing de Dallas 😁 et va savoir pourquoi, je crois me rappeler que j’aimais bien aussi le Gérard Rinaldi des Charlots. Ah oui, il y avait aussi, Mehdi dans le Jeune Fabre 😁😂. Purée, je me souviens, il était très beau avec Véronique Jannot.

8 – Je demandais souvent Est-ce que tu m’aimes ? Cette question tourne souvent dans ma tête encore aujourd’hui.

9 – Jalouse ? Je n’aime pas ce sentiment. Je ne sais pas si j’étais jalouse, je ne le crois pas. Me sentir différente et envier ceux qui étaient Normaux pour moi, est-ce de la jalousie ?

10 – Le beurre. Je ne l’aime toujours pas et je le sens à des kilomètres à la ronde 😂. J’ai fait mon voyage de noces en Normandie 😂. Je n’ai rien pu avaler.

11 – Mon premier jour d’école, où personne n’est venu me chercher. Maman n’avait pas pu et va savoir pourquoi, je suis restée toute seule en attendant qu’on vienne. Il n’y avait pas à l’époque, le CLAE et les agents de service. La cloche sonnait et tout le monde partait et personne ne se souciait si un enfant restait seul. C’est fou comme ça a changé ! Est-ce pour ça que je déteste rester seule ?

Et toi ? raconte-moi !

À très vite…

À tous coeurs

Bonjour toi 😉

J’ai retrouvé ce texte que j’ai remis en forme et qui avait participé sur Short édition. J’étais allée en finale quand même ! 💖

Ma plume a peut-être progressé depuis, mais l’esprit romantique y est toujours. Il date de 2017.

Quand la jeune femme entra dans le bar, le courant d’air surprit l’homme attablé devant un café croissant.

— Vous êtes blessée ?

— Pas du tout, je me suis cognée au lampadaire.

— Quel lampadaire ?

— En face !

— Je suis médecin, laissez-moi voir votre blessure.

— Vous ? Médecin ?

Elle éclata de rire.

— Vous n’en avez ni la tête ni l’allure !

— Ah bon ?

Nicolas vexé lui tourna le dos. Il allait retrouver son café quand faisant volte-face, il demanda hargneux :

— Quelle tête devrais-je avoir selon vous ?

L’inconnue le détailla, tandis que le barman, amusé, tendait une serviette pour qu’elle essuie de son front le sang qui coulait.

— Cheveux en bataille, jeans et chemise de travers, mal rasé, hum ! je vous verrais bien… en jardinier !

Elle pouffa en s’essuyant le front.

— C’est sympa pour les jardiniers ! je suis médecin en vacances, ça vous va ?

— Un chocolat et un croissant, demanda-t-elle au serveur en s’installant au comptoir.

— Quelle gamine !

— Merci, flattée vraiment !

Elle picorait le croissant en attendant sa boisson. Lui, ne la quittait pas des yeux : brune, cheveux longs dénoués, écharpe enroulée autour du cou, jupe courte, bottines, blouson. Elle était classe. Il n’aimait pas sentir son cœur s’emballer en la regardant.

— Je vous plais ?

— Pas mon genre !

Il l’abandonna, retournant à son petit déjeuner.

Son chocolat servi, elle remercia d’un signe de tête, saisit sa tasse et le reste de son croissant, puis s’installa sans vergogne devant le médecin.

— Ne vous gênez pas surtout ! ronchonna Nicolas.

— Mélusine !

Elle tendit la main.

— Trente ans et organisatrice de mariages.

Devant le silence de son interlocuteur, elle insista :

— Et vous ? Prénom, âge ?

Dérangé par son audace, il avala son fond de café froid, se leva en bousculant sa chaise. Elle persista :

— La quarantaine ? Jules ? Gaston ? Léon ?

Elle s’amusait franchement et lui, il hésitait sur la conduite à tenir, elle l’agaçait prodigieusement.

— Nicolas… Un peu plus effectivement.

Il jeta un billet sur le comptoir et sortit. Mélusine termina tranquillement son chocolat en souriant.

— Alors, raconte !

Fred tarabustait son ami. En effet, Nicolas ne cessait de bougonner.

— Cette fille, je n’arrive pas à le croire, elle a un toupet ! je ne te parle même pas de son prénom, Mélusine ! un prénom pareil, ce n’est pas possible.

Il se tapait le front.

— Elle t’a ensorcelé ma parole ! riait Fred

— Même pas ! Elle est… elle m’a…

Nicolas arpentait son salon, furieux. Jamais il ne s’était laissé insulter de la sorte. Médecin, il était médecin ! Décidément, les vacances ne lui réussissaient pas.

Fred revenait à la charge.

— Comment est-elle ? Jolie ? Grande ? Blonde, brune ?

— Banale ! On ne peut plus banale ! Laisse-moi maintenant profiter de ma dernière soirée de congés. On sort ! je t’emmène chez Marco.

Mélusine terminait de se préparer, Viviane n’allait pas tarder à venir la chercher. Elle lissait ses longs cheveux noirs, quand son amie sonna à la porte.

— Prête ?

Une pétillante rouquine lui tendait sa joue.

— Et toi ? Prête à sauter le pas dans deux jours ?

— Oui, oui et oui, mais ce soir, que toutes les deux hein ? On enterre ma vie de jeune fille. Où m’emmènes – tu ?

— Surprise !

Nicolas s’était changé, rasé et entrainait Fred dans le petit restaurant adopté depuis bien longtemps. Il expliquait à son ami :

— Marco m’a demandé de lui rendre un service. Nous allons nous amuser, tu vas voir ! C’est moi qui vais porter les plats, il n’y aura pas grand monde, juste un enterrement de vie de jeune fille, si j’ai bien compris.

— Toi ? Jouer au garçon de café ?

— Tu te souviens pour payer mes études de médecine… Ah, je reviens à mes premières amours ! ajouta-t-il nostalgique.

— Bien sûr que je me rappelle, tu te débrouillais d’ailleurs très bien.

— Ce soir j’enfile smoking noir, nœud pap et chemise blanche.

— Ah oui quand même, le grand jeu ! Et je dîne où, en cuisine ? demanda malicieusement Fed, moi qui pensais passer un bon moment tranquille avec mon meilleur ami…

En disant cela, ils poussaient la porte du restaurant :

— Ah enfin ! Marco serra dans ses bras Nicolas, tu me sauves la vie, va te changer, vite !

— Tu te souviens de Fred ?

L’accolade des deux hommes montrait qu’ils se connaissaient bien.

— Nico, je t’explique le déroulement, moi je reste derrière, toi tu fais comme on en a longuement discuté, le grand jeu ! Regarde la salle, n’est-elle pas belle ? Les deux amis jetèrent un œil.

— Elle n’a jamais été aussi bien décorée, répondit Nicolas

— Ce n’est pas moi tu sais, file te changer.

Marco traitait Nicolas comme son fils et oubliait souvent qu’il n’avait plus vingt ans, il l’avait vu pourtant réussir ses examens les uns après les autres, année après année.

— Fred, je t’installe sur la table du fond, essaie de te faire discret pour ne pas déranger les… Ah, justement les voilà.

Marco l’abandonna pour accueillir ses deux clientes. Fred croisa les yeux de la rouquine.

— On va s’amuser, je la sens bien cette soirée ! pensa-t-il en se frottant les mains.

— Prenez place ici, cela vous convient-il ?

Marco avançait les chaises et débarrassait de leurs manteaux ces jolies donzelles. Viviane et Mélusine s’installèrent en souriant.

— Vous avez fait un travail remarquable, reprenait le restaurateur, ma petite salle n’a jamais été aussi belle. Cette ambiance cosy, avec bougies, fleurs et rideaux, j’avoue, je suis surpris !

— Merci, répondit Mélusine, je suis heureuse que cela vous plaise, mais votre pièce s’y prêtait tellement bien. Avez-vous trouvé la personne qui va s’occuper de nous ?

— Bien sûr, par contre… Marco hésita, un client inattendu s’est invité et je n’ai pas pu refuser de le servir, voyez-vous un inconvénient à ce qu’il soit installé, là-bas au fond de la salle ?

Mélusine fronça les sourcils, mais Viviane intervint :

— Pas de problème, ce monsieur ne nous dérangera pas.

Elle adressa un clin d’œil à son amie et Mélusine s’inclina.

— Alors, je vous laisse.

Nicolas changé, consultait le menu.

— Elles sont arrivées, dit Fred.

Marco revenait vers eux.

— Fred, tu pourras t’installer au fond.

Il hocha la tête et se sourit dans le miroir qui lui faisait face en pensant que la soirée allait être vraiment pleine de surprises. Il entra dans la salle, passa à côté des jeunes femmes et les salua poliment.

— Je vous souhaite un excellent appétit.

Il s’avançait vers sa table quand Viviane l’interpella :

— Pourquoi ne pas vous asseoir plus près de nous ?

Mélusine stupéfaite donna un coup de pied discrètement à son amie.

— Pourquoi pas en effet ?

Fred revint sur ses pas et s’installa à la table voisine. C’est à ce moment que Nicolas fit son entrée avec le plateau de cocktails, suivi de Marco, qui apercevant Fred, fronça les sourcils, mécontent, mais Viviane intervint :

— Finalement, ce monsieur ne va pas dîner seul. Accepteriez-vous de vous joindre à nous ? Et elle lui adressa un clin d’œil.

La situation échappait complètement à Mélusine ; son amie, à deux jours de son mariage, draguait ouvertement un inconnu, et… lui, là, qui se disait médecin, serveur, il était serveur ! Le smoking lui allait bien, elle devait bien l’admettre.

Fred s’installa alors face aux deux jeunes femmes. Marco se tourna vers Nicolas statufié :

— Vos cocktails. Voulez-vous aller en chercher un autre pour ce monsieur ?

Nicolas fit demi-tour, trop heureux d’échapper au regard goguenard de la femme rencontrée le matin.

Fred s’amusait franchement. La rouquine semblait avoir complètement craqué sur lui :

— Vous êtes marié ?

Mélusine ne reconnaissait pas son amie. L’enterrement de vie de jeune fille virait au cauchemar, rien ne se déroulait comme prévu.

— Non.

Fred la dévorait littéralement des yeux. Le coup de foudre existe alors, se demandait Mélusine.

Nicolas revenait avec les trois cocktails. Vraiment un bel homme, se dit-elle. Celui-ci, impassible posait les verres sur la table. Fred lui jeta un clin d’œil amusé et le remercia.

— Vous n’êtes donc pas médecin ?

Fred surpris, l’interrogea du regard. C’était la fille du café, quelle coïncidence !

— Si, mais ce serait trop long à vous expliquer.

— J’ai tout mon temps apparemment, Viviane est occupée.

Elle désignait la rouquine qui semblait subjuguée par Fred.

— Viviane ?

Nicolas contempla son ami et grâce à leurs années de complicité, il comprit aussitôt le jeu de Fred. Ses yeux se posèrent alors sur Mélusine.

— Un enterrement de vie de jeune fille qui ne se passe pas comme vous le souhaitiez peut-être ?

Mélusine soupira et balaya la salle de la main :

— J’ai tout installé, j’ai tout prévu, je voulais que cette fête soit une réussite.

— Qui te dit qu’elle ne le sera pas ? demanda Viviane en riant, mais, vous vous connaissez ? Tu es plus amusante d’habitude, c’est ma soirée non ? À mon mariage !

Elle leva son verre.

Quand les deux hommes repartirent, bien après les deux jeunes femmes, Nicolas entoura les épaules de son ami et murmura :

— Sacré farceur, va !

C’était le grand jour et précédemment, Mélusine n’avait cessé de courir à droite et à gauche, elle voulait un mariage parfait pour Viviane. Elle la contemplait dans la psyché, elles avaient choisi la robe ensemble, un satin de soie couleur champagne. Elle ajustait la tenue, quand elle glissa à l’oreille de son amie :

— Pas de regret, tu es certaine ?

— Toi, tu penses encore à cette soirée…

— Hum !

— Tout va bien, je t’assure, et puis c’était un enterrement de vie de jeune fille pas vrai ? sourit malicieusement Viviane. Prête ? Toi aussi tu es magnifique, merci, merci du fond du cœur pour tout ce que tu as fait.

Mélusine haussa les épaules, attrapa la traine de la robe, embrassa son amie et la poussa vers la porte.

Viviane, Orpheline très tôt, sa famille se résumait à Mélusine. Elles montèrent toutes deux dans la voiture décorée et se dirigèrent vers la mairie.

— Mes parents seront là, glissa Mélusine, et du côté de ton chéri ? Tu n’as pas voulu me dire…

— Papa, maman, frère et sœur, cousins cousines et son témoin, ami d’enfance.

Elles arrivèrent devant le bâtiment. Un petit groupe attendait qui applaudit à l’arrivée de la voiture. Mélusine descendit pour ouvrir la portière.

— Et maintenant, lui glissa à l’oreille Mélusine, je ne gère plus rien, c’était ce que tu souhaitais.

Viviane sourit et sortit du véhicule sous les bravos et les cris. Mélusine chercha des yeux l’heureux élu qui aurait dû être là pour l’accueillir.

Nicolas s’approcha alors et saisit la main de la future mariée.

— C’est à moi que revient l’honneur de t’emmener. Viviane lui sourit. Mélusine sans mot dire, arrangea la robe de son amie devant la famille réunie. Un homme attendait en haut des marches. Mélusine vacilla. C’était Fred.

Quand la jeune femme entra dans le bar, le courant d’air surprit l’homme attablé devant son café.

— Je m’appelle Mélusine et je suis organisatrice de mariage.

— Nicolas, je suis médecin.

Ils éclatèrent de rire.

© Isabelle-Marie d’Angèle

À très vite…

Raconte moi ta semaine

Bonjour toi 😉

Quoi de neuf ?

Humeur : Semaine en demi-teinte qui a mal commencé avec une très mauvaise nouvelle qui m’a cueillie sans que je m’y attende. Remarque, les mauvaises nouvelles tu ne les attends pas, elles te tombent dessus comme ça. Il a bien fallu faire avec et vivre comme tous les jours. Mais, cette mauvaise nouvelle engendre plein de questions et remue plein de choses que je croyais oubliées, mais qui n’ont finalement jamais été avalées et digérées. Comme disait Gustave Flaubert, Ce qui érafle les autres me déchire. Moi, j’ai des cicatrices… et quand elles se rouvrent… faut faire avec.

Bref, une semaine pas facile, mais dont j’ai à peu près réussi à relever le défi de ne pas trop m’effondrer. J’ai la chance d’avoir un Monsieur Chéri solide comme un roc 💖.

Donc que s’est-il passé de beau ?

(●ˇ∀ˇ●) Sport : Heureusement qu’il était là lui, le sport ! jamais je n’aurai cru dire ça un jour 😂. 38 kms de vélo, 6 kms de marche et… 45 min d’aquavélo. Quézaco ?

Imagine un vélo dans l’eau. (Comme dit Millie à MaLou : Tu vas faire le tour des bassins en vélo ? 😂 heu non 😁). Donc, vélo dans l’eau. Monsieur Chéri et moi étions prévenus, 45 mn de vélo dans l’eau équivaut à 1h30 de jogging 😮.

Coach et musique. Tu pédales tout le temps, mais ça, ce n’est rien … Avec le bras droit puis le gauche puis les deux, tu fais comme si tu nageais toujours en pédalant bien sûr, histoire de faire travailler les bras. Et comme c’est un peu trop facile hein, pourquoi pas rajouter un haltère dans chaque main 😏. Je te rassure, c’était un cours d’essai donc de débutant 🤪. Heureusement !

Changement d’exercice, toujours assise … mais derrière ta selle à laquelle tu te tiens, tu fais le mouvement de repousser l’eau avec ton bras droit, puis le gauche, et puis… ben, tu fais le mouvement de la brasse. C’est là que tu te demandes, mais où sont les muscles qui te permettent de te tenir comme il faut derrière ta selle sans t’y accrocher puisque tu nages… comment ils s’appellent déjà ? Les abdominaux bien sûr !

Changement d’exercice : Debout sur les pédales, donc en danseuse, tu pédales les bras sur le guidon, mais le guidon de triathlète, donc au bout du guidon très très loin, tu es presque couchée sur le vélo en danseuse 😁 tu me suis ? Et puis comme c’est trop facile, et ben, on te dit de plier les jambes toujours en danseuse 🤪 et là tu regardes la pendule, tu crois qu’une heure est passée au moins (tu en as oublié que la séance ne dure que 45 mn), tu parles ! Il te reste encore plus d’un quart d’heure ! Et puis quoi ? Et ben, si on le faisait avec les haltères ? Mais oui quoi, pédalons en rythme 500 g dans chaque main (oui on est débutant !).

Et vas -y que je me penche à droite bras derrière la nuque avec l’haltère puis à gauche. En riant, la coach dit que le coude doit toucher l’eau 😮😂😏.

Ouf ! On s’étire et qu’est-ce que ça fait du bien !

Alors moi, j’ai aimé. Monsieur Chéri pas du tout 😂. Il préfère de loin, le vélo sur route et surtout, il n’aime pas qu’on lui dise ce qu’il doit faire (c’est bien un homme ça !).

Bref, j’irai seule pendant que lui ira à la salle d’à côté.

(❁´◡`❁) Rugby : Qu’est-ce que j’en mange ! Figure-toi que je commence vraiment à m’y intéresser. De plus, la France est toujours en course. J’étais en admiration sur le match Fidji -Portugal. J’aime aussi regarder le Haka.

(*^▽^*) Inktober : C’est un défi qui se déroule entre le 1 et 31 octobre, dont le but est de produire un dessin par jour sur des thèmes bien définis. J’ai relevé ces thèmes, je ne suis pas très douée pour les dessins, mais pourquoi pas un petit texte ? À voir si je parviens à relever le défi.

Voilà pour cette semaine pas facile, mais elle est passée. Celle qui arrive va me voir revenir au vélo dans l’eau. Et toi raconte-moi !

À très vite…

Dimanche Musique

Bonjour toi 😉

Comment ça c’est normalement le samedi la musique ? Et si j’avais envie de changer ?

Je te laisse avec Charles 🎶🎶. J’adore cette chanson, elle me file la pêche !

Bon dimanche 🎶🎶🎶

À très vite…

BlaBlaBla

Bonjour toi 😉

Pourquoi mon blog ?

Il parait que c’est parce qu’on a quelque chose à dire. Sauf que je n’ai rien à dire 😏.

Et pourtant, je suis bavarde. J’écris des histoires, mais je ne suis pas écrivain 😂.

Oui je suis bavarde et c’est ainsi qu’une flopée de personnages est née sortie tout droit de mon imagination.

Parlons-en de mon imagination !

Figure-toi que ce matin en faisant ma sortie en vélo (38 kilomètres), il arrive un truc !

C’est vrai qu’avec Monsieur Chéri, on pédale vite, mais j’ai quand même le temps d’enregistrer certaines informations par exemple, une dame assise par terre.

Bizarre !

J’interroge Monsieur pour savoir si lui aussi a vu. Nous nous demandons alors si elle n’était pas tombée. Demi-tour de Monsieur qui me dit de continuer, il me rejoindra. Curieuse, j’aurais bien voulu le suivre mais bon et c’est là que mon imagination se met en branle.

*La dame est tombée et personne ne s’arrête pour la relever,

* C’est quand même un comble, surtout que ça se passait près d’une pharmacie,

* Pourvu qu’il puisse l’aider à se relever,

* Et si elle a quelque chose de casser, il faudrait appeler les pompiers,

* C’est bon, il a son portable, il pourra le faire,

* Dommage pour sa jupe blanche (j’avais eu le temps de capter ça), c’est sûr elle est fichue, surtout s’il y a du sang.

* J’aurais dû y aller, peut-être que je lui aurai fait un massage cardiaque (tu es sûre que tu sais le faire ? OK tu as appris, mais ça fait un bail quand même, il faudrait peut-être que je fasse une piqure de rappel, bof !)

* Mais non, elle n’était pas évanouie,

* N’empêche, j’aurais bien aimé être là, je n’ai pas eu le temps de voir si elle était jeune et jolie 😜😁, Monsieur va jouer à Monsieur Sauve tout le monde 😁.

* Ah le voilà, ben quand même, il en a mis du temps non ?

En 3 mots, Monsieur ruine mes élucubrations : elle lisait un livre.

Moi stupéfaite (toujours en pédalant, si si on peut être stupéfaite en pédalant 😏) tu es sûr ?

Réponse de Monsieur : Je l’ai vu tourner ses pages, je ne me suis pas arrêté.

Moi qui insiste : Et sa jupe blanche, elle va la salir assise par terre, et pourquoi là d’abord ?

Monsieur : elle est l’ombre. Peut-être qu’elle attend quelqu’un. Et puis, elle n’était pas en jupe, mais en bermuda.

Moi : Ah bon, tu l’as bien regardée alors ! 😂😂

Inutile d’ajouter qu’il a accéléré en haussant les épaules.

Non, mais quelle idée de s’assoir par terre à côté d’une pharmacie sur le trottoir pour lire un livre. Elle ne peut pas se mettre comme tout le monde sur un banc ? Comme ça, ceux qui passent en vélo ne s’imagineraient pas des histoires nulles.

Oui, mais… si elle n’avait pas été là, ce billet ne serait pas là non plus !

😂😂 😂

A très vite…

Sourires à Gogo

Bonjour toi 😉

C’est la journée internationale du sourire alors sourions ensemble 😊😊.

Plus le visage est sérieux, plus le sourire est beau – René-François de Chateaubriand
Le sourire est l’apanage de la maternité – Honoré de Balzac
Le sourire est le commencement de la grimace -Jules Renard
Le sourire est une clef magique qui ouvre bien des coeurs – Robert Baden Powell
Deux sourires qui se rapprochent finissent par faire un baiser – Victor Hugo
N’arrête jamais de sourire, même si tu es triste, car tu ne sais pas qui pourrait tomber amoureux de ton sourire – Gabriel Marcia Marquez

Nous ne saurons jamais tout le bien qu’un simple sourire est capable de faire – Mère Thérèsa
Le sourire, ce doux épanouissement qui rend la jeunesse semblable aux fleurs – Alfred de Musset
Sage, le sourire est sensible. Fou, le rire est insensible – Alain

Il n’y a rien de si beau qu’un sourire – Louis Aragon

Un sourire coûte moins cher que l’électricité, mais il donne autant de lumière – Abbé Pierre
À très vite…

Jeudi Poésie

Bonjour toi 😉

Elle est arrivée avec son seau
Pour le remplir d’eau. 
Penchée sur la margelle
Elle se penche et s’aperçoit qu’elle est belle.

Son reflet lui fait face
C’est comme devant sa glace. 
Pourtant ici, il lui semble
Qu’il tremble. 

Autour d’elle des fruits des fleurs
L’entourent pour lui faire honneur !
Il fait chaud
Sur la tête un chapeau.

Elle est arrivée avec son seau
Pour le remplir d’eau. 

À très vite…

Automne, hier et aujourd’hui

Bonjour toi 😉

🍁J’habitais dans le Nord et je rentrais des vacances. À l’époque, l’école reprenait vers le 15 septembre. L’automne s’installait rapidement, alors effectivement je remettais le manteau rapidement, le bonnet et l’écharpe ne tardaient pas.

🍁 Le parfum de l’automne dans le grand jardin reste inoubliable. Je pouvais rester des heures à le contempler, surtout tout ce mélange de couleurs de rouge. Nous avions un érable pourpre et ses feuilles rouges, je m’en souviens encore. Je faisais de jolis herbiers.

🍁 Il y avait des toutes petites pommes rouges que je ramassais avec maman pour en faire de la compote. Je me souviens, j’adorais croquer dedans, elle avait des liserés rouges dans sa chair. Je n’ai toujours pas retrouvé cette variété.

🍁 Les jours raccourcissaient vite là-bas.

🍁 Aujourd’hui, je respire toujours son parfum et regarde les arbres, mais je n’ai plus de grand jardin, ni d’érable pourpre.

🍁 Je donne à manger aux oiseaux, chose que je ne faisais pas gamine. Les oiseaux n’étaient pas non plus les mêmes, sauf les tourterelles. Elles nichaient dans les grands arbres. Ici, je n’en ai pas, alors elles nichent dans les arbres voisins.

🍁J’ai découvert la cueillette des cèpes dans le Sud-Ouest ainsi que les soirées châtaignes servies avec le Bourru, le vin nouveau pas encore tout à fait vin.

🍁 Le changement d’heure, franchement, je m’en passerais, surtout avec ces longues journées en été qui n’en finissent pas quand il fait très chaud. Les étés de mon enfance, certes il faisait chaud, mais pas comme aujourd’hui. Je suis toujours en tee-shirt et il faisait encore 19° ce matin au réveil.

🍁 Les écureuils et leurs récoltes de noix, c’est tellement beau à voir…

Et toi ? Quels sont tes souvenirs d’enfance ? Sont-ils les mêmes qu’aujourd’hui ?

À très vite…

Fenêtre sur le jardin

Bonjour toi 😉

Quand je regarde par ma fenêtre, je vois tout ça 😊.

Le rosier qui fleurit encore 🌹.

Le bégonia qui n’en finit pas de fleurir 🌸.

Les asters qui se répandent partout et prennent peu à peu toute la place 💐.

Mélangés aux belles de nuit, c’est du plus bel effet 🌼.

Et puis, il y a lui 💖🌿 mon houx.

Je vais te raconter son histoire.

Quand j’étais gamine, à Noël, comme nous avions un très grand jardin et que nous avions du houx, nous allions toujours en cueillir pour décorer la maison. C’était du houx avec des boules rouges comme celui-ci.

Les années sont passées et je n’avais pas de houx dans le jardin jusqu’à Noël dernier. Monsieur Chéri en trouve un à notre jardinerie habituelle. J’étais ravie, il avait de belles boules rouges.

Un jour, Monsieur Chéri m’appelle et me désigne les boules rouges qui n’étaient que des perles collées avec du scotch. Comment avions-nous pu nous faire avoir de la sorte ? J’étais très déçue.

Le houx n’y était pour rien et Monsieur Chéri continua de s’en occuper.

Quelle ne fut pas notre surprise de le voir avec de véritables boules rouges aujourd’hui ?

Bon, pour en cueillir des branches et les décorer pour Noël, ce n’est pas pour tout de suite, mais je suis ravie.

Comment se porte ton jardin ? Raconte-moi tout 🌼💐🌸🌹🍁.

À très vite…

Raconte moi ta semaine

Bonjour toi 😉

Dis-moi Lundi, ça te dirait que je te raconte ma semaine passée ?

Humeur : Bonne même si j’ai eu un coup de stress en allant chez le médecin remplir mon dossier de retraite. Il est envoyé. Je ne reviens plus dessus. Donc, l’humeur est bonne. Nous sommes rentrés de la campagne et j’ai retrouvé mon ordinateur. C’est toujours un peu difficile de relancer la machine à écrire 😂.

(❁´◡`❁) Lectures : J’ai terminé Mon Mari de Maud Ventura (prix du 1er roman). Comment te dire ? Je ne pouvais m’empêcher de commenter et de râler et de répéter Ce n’est pas possible, cette femme m’agace, elle n’est pas amoureuse ou alors elle aime mal. Combien de fois Monsieur Chéri m’a dit si tu n’aimes pas, cesse de le lire. Oui, mais voilà, ce bouquin est impossible à lâcher parce que tu as envie de connaitre la fin. Et quelle fin ! L’auteur a mis 3 ans pour écrire ce livre et franchement, c’est très bien construit. Ne t’attends pas à lire une histoire d’amour… enfin si… Mais je te laisse le découvrir, je risque d’en dire trop 😂.

Du coup, j’ai commencé La vie rêvée d’Ava de Sophie Kinsella et comme tous les livres de cette auteure, ça commence sur les chapeaux de roue 😂. Je ne vais pas m’ennuyer.

(●ˇ∀ˇ●) Sport : En vérifiant sur mon agenda, je n’ai pas fait grand-chose. 32 kms de vélo et 3,46kms de marche (note la précision de mon tél 😉). C’est normal, nous sommes rentrés mardi, le temps que je récupère de n’avoir rien fait 😂.

*^____^* Sortie : Monsieur Chéri adore, je dirai même que c’est une passion, aller à une foire. Quand je dis Une c’est parce qu’il est intéressé par Toutes les foires 😁. Cette semaine, c’était celle sur l’habitat et l’immobilier. Nous sommes déjà allés à celle sur les énergies renouvelables (j’adore 😛), celle de l’artisanat, celle de l’agriculture… Bref, tu as compris, moi ce n’est pas mon truc, mais alors pas du tout, mais qu’est-ce qu’on ne ferait pas par amour hein ? (Va lire Mon mari  😜).

Donc, nous voilà partis parce que nous avons peut-être l’idée de changer de cuisine. Ce qui est bien quand nous ne travaillons plus, c’est qu’en y allant le vendredi matin, il n’y a presque personne… sauf ceux comme nous 😁.

On repère le stand des cuisines et on discute un peu, on nous file des catalogues, faudra passer au magasin, on pourra vous faire une étude et blablabla…, je connais par cœur le travail des commerciaux.

C’est sans compter sur Monsieur Chéri qui m’entraine pour TOUT voir et évidemment arrive ce qui devait arriver, on se fait alpaguer. C’est un numéro très bien rodé. Nous voilà partis pour l’explication des panneaux solaires, que je connais par cœur (lors du salon des énergies renouvelables 🙄) et voilà un jeune commercial qui nous explique tout en large en long et en travers. Je pourrai presque faire le playback à sa place 😁. Ah vous faites quoi comme métier ? Ah, mais vous êtes de jeunes retraités, c’est bien ça, vous pouvez en profiter et c’est parti… Et nouvel acte, on appelle celui qui va donner le prix, mais tu sais, il va le baisser d’au moins 3 000 euros. Vous comprenez c’est le prix foire. Vous mettez un grigri là en bas du papier et…. Je les connais par cœur ! Autant Monsieur Chéri écoute religieusement, pose des questions alors qu’il connait déjà les réponses, autant moi, j’entre en scène dès qu’on parle argent. Pourquoi vous baissez autant ? Qui me dit que ce n’est pas le véritable prix et que je crois que vous me faites une sacrée réduction alors que c’est faux ? Redoutable, je suis ! On vous laisse réfléchir et on revient vers vous… Mais c’est tout réfléchi, je ne me décide jamais sur une foire où tout parait tout beau ! Et puis, je balance un j’ai faim, je ne peux plus réfléchir ! 😂.

De toute façon, nous étions venus pour regarder les cuisines n’est-ce pas Chéri ? 😂.

(´▽`ʃ♡ƪ) Musique : Voilà ce que Deezer m’a sorti comme liste de musique que j’ai écoutée beaucoup en septembre.

🎶 All by mysefl – Eric Carmen

🎶 En quelle année Georgia — Michel Sardou (nouveau titre)

🎶 C’est la vie — Mika

🎶 Et un jour une femme — Florent Pagny, Christophe Maé

🎶 The best of Andrew Sister -The Andrew Sister

🎶 Comment on fait — Vianney, Zazie

🎶 Lovebox – Cerrone, Marc lavoine

🎶 You’re the First, the last, My Everything – Michael Bublé

🎶Pardonne-moi — Louane

🎶 Entre moi, entre nous — Louis Albi

🎶 Charlie Brown Theme – Vince Guaraldi Trio

🎶 Je reste calme — Camélia Jordana

`(*>﹏<*)′ Dessin : Regarde un peu 😉

(⓿_⓿) Ce que je dois faire : Rendez-vous est pris pour l’Aquabike. Je te raconte ça la semaine prochaine.

Et toi ? Raconte-moi 😊.

À très vite…