MaLou et Millie dessinent, écrivent, bavardent.

Bonjour toi 😉

MaLou a repris du service, je crois te l’avoir dit. Millie est ravie, elle trouve son bonheur dans les livres, les carnets, les cahiers et les dessins de MaLou.

— Tu sais MaLou, je veux bien dessiner tes illustrations sur ton cahier de poésie.

Millie regarde l’écran avec les poèmes de MaLou.

— Celui-là, je veux bien le faire. Je vais m’entrainer sur une feuille et quand je serai prête, je le ferai pour de vrai sur ton beau cahier.

Celui-là c’est le poème de l’épouvantail ici avec cette illustration.

— Est-ce que ça plait MaLou ?

MaLou ne sait pas quoi dire, tellement ce dessin lui plait.

— Magnifique ma poulette 😊et j’ai vu que tu l’as signé.

— Oui, comme toi tu l’as fait en dessous de te ta poésie.

MaLou n’est pas satisfaite de son titre.

— Je ne suis pas douée en calligraphie.

— Tu sais MaLou, il faut t’entrainer. Moi, je trouve que c’est joli. Ton L est un peu… mais ça va quand même !

Elle est gentille Millie, mais MaLou n’est pas convaincue et est déçue du résultat.

— Tu en as une autre de poésie ? Je peux choisir ? Tu sais, il faut que j’arrive à la dessiner.

Elles s’installent toutes deux face à l’écran et à nouveau les textes défilent. Millie montre celui-là.

— Ce n’est pas grave si je ne fais pas celle avec le parapluie, je n’y arrive pas bien. Millie s’applique sur sa feuille avant de se lancer en vrai sur le cahier de poésie où Malou vient de recopier Un jour devant une pâtisserie ici .

— On parle du parapluie rouge dans une strophe, remarque MaLou.

Millie se gratte la tête.

— Bon d’accord, je vais essayer.

Après quelques tentatives, elle se lance.

— Il te plait ? Tu me dis la vérité, je recommence s’il le faut.

MaLou sourit et montre la dame au chapeau.

— C’est rigolo, on dirait que celle-ci est dans la vitrine.

— Ça ne va pas alors ?

— C’est très bien ma chérie, tu mets ta signature et je prends tout en photo pour mon blog demain, c’est le jour des enfants, c’est parfait.

Et voilà…

À très vite…